Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Autour du deuil, de la parole vraie, de l'écoute et de la création artistique, Drive My Car de Ryûsuke Hamaguchi fait naître des moments de cinéma d’une grâce absolue. Une merveille de film.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’œuvre, limpide et cristalline, dit toute la douleur d’une vie brisée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Le film le plus envoûtant de l’été.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
Le Japonais Ryusuke Hamaguchi embarque un metteur en scène et sa chauffeuse dans une Saab rouge et signe un film éblouissant sur le deuil et le pouvoir des mots.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un superbe tour de force en forme d'hommage vibrant et vivant à Ingmar Bergman.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La beauté de Drive My Car réside dans sa manière de donner chair à une série d'abstractions et de dispositifs purement théoriques, d'employer toutes sortes d'éléments du médium cinéma pour leur faire dégorger leur sensualité autonome et en faire les instruments d'une vérité singulière.
Le Parisien
par La Rédaction
Scrutant comme personne les relations humaines et les rapports amoureux, Hamaguchi nous fait chavirer avec son sens de la mise en scène, chaque plan s’avérant ciselé, émouvant et éblouissant, et servi à merveille par de magnifiques comédiens - mention spéciale à la jeune Toko Miura, qui campe avec une étonnante justesse l’intrigante Misaki.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Scénarisé et mis en scène avec un art consommé de la suggestion et des variations, « Drive My Car » confirme le talent précieux du metteur en scène de « Senses » et de « Asako I & II » et s'impose comme une nouvelle réussite majeure pour le cinéaste inclassable. Un film à découvrir de toute urgence.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Un film qui résonne indirectement avec le vécu intime de chacun·e et qui risque de briller longtemps dans la nuit noire de notre inconscient chaviré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Il y a l’ampleur, la profusion, la profondeur de champ d’un grand roman dans le film d’Hamaguchi, épopée en voiture individuelle où s’engouffre bien plus encore, au gré des nombreuses bifurcations dont son récit a le goût, entre lesquelles il fraie peu à peu un dédale de chemins imprévisibles et néanmoins limpides.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un des plus beaux films à découvrir sur les écrans en cette fin d’été.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
Un immense moment de cinéma.
Positif
par Louise Dumas
Une œuvre cohérente, attentive à la parole et à l’écoute et comptant désormais parmi les plus exigeantes du cinéma contemporain.
Première
par Thierry Chèze
Un coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Quelque chose de rare, de précieux, se produit à la vision de Drive my car : le sentiment de voir un grand cinéaste arriver à la pleine possession de ses moyens, et l’impression de découvrir le premier d’une longue série de chefs-d’œuvre à venir.
Télérama
par Jacques Morice
Un metteur en scène et sa jeune chauffeuse. Leurs échanges, de plus en plus intimes, les confrontent au passé, réparent leurs blessures. Splendide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film se met alors à osciller entre le buddy movie et le road trip initiatique, qu’entrecoupent de très belles scènes de répétitions de la pièce (ah ! cette actrice qui joue son rôle en langue des signes).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Formidable metteur en scène, d’une précision et d’une netteté de trait qui ne craignent pas de s’effacer, Hamaguchi agit en révélateur non pas tant des âmes (rien de métaphysique dans ses films) que de l’être, cette vibration à la croisée du corps et du verbe.
Critikat.com
par Corentin Lê
C’est là que le film se révèle tout à fait passionnant, dans sa manière de figurer le drame de ces existences toujours à moitié ancrées dans la fiction, dont les corps ne sont bien souvent que les vaisseaux d’une parole extérieure.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Il est intéressant de voir comment Ryusuke Hamaguchi progresse dans son art, notamment au niveau de la mise en scène et en images, et du traitement de thématiques, de préoccupations qui sont les siennes depuis ses débuts. Drive My Car constitue un moment fort de cette saison cinématographique 2021 [...].
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le Japonais Hamaguchi met en mouvement un film bouleversant sur le deuil, par le truchement d’une adaptation sophistiquée et magnifiquement mise en scène de la tragicomédie d’Anton Tchekhov Oncle Vania , pièce sur l’amour, l’ennui, le désarroi existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un beau film, profond, littéraire - donc bavard -, un rien élitiste, mais qui enchantera les lecteurs de Murakami, dont il reflète la subtilité d’écriture au carrefour de la vie et de la création.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Emilio Meslet
Déjà lauréat, en mars, du grand prix du jury de la Berlinale 2021 pour Wheel of Fortune and Fantasy, le réalisateur japonais a reçu, lors du dernier Festival de Cannes où il faisait figure de favori de la presse internationale, le prix du scénario. Une récompense largement méritée qui vient saluer la minutie et la finesse de l’écriture de son Drive My Car (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce récit raffiné, soulevé par le grand esprit de Tchekhov, touche le temps d’une scène au sublime, dans une forme de cinéma-théâtre : Hamaguchi filme la grâce dépouillée de la langue des signes qui exprime avec une éloquence étonnante la poésie mélancolique de la pièce Oncle Vania.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Adapté d’une nouvelle de Haruki Murakami, Prix du scénario au dernier Festival de Cannes, Drive My Car chuchote, envoûte, porté par une grâce intemporelle. La beauté dure trois heures et a un nom: Hamaguchi Ryusuke.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
S'il n'évite pas les répétitions, le récit diffuse de l'émotion en continu, notamment à travers les silences, magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Un récit de deuil(s) d’une finesse d’écriture et d’observation telle qu’elle ne fait que confirmer l’évidence : Ryûsuke Hamaguchi est en train de bâtir une œuvre remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
C’est une leçon cinématographique que donne à nouveau le conteur nippon, un film d’une densité romanesque rare qui prend le temps de développer en profondeur la psychologie de ses personnages principaux, sans oublier de conserver le « mystère ».
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bande à part
Autour du deuil, de la parole vraie, de l'écoute et de la création artistique, Drive My Car de Ryûsuke Hamaguchi fait naître des moments de cinéma d’une grâce absolue. Une merveille de film.
L'Obs
L’œuvre, limpide et cristalline, dit toute la douleur d’une vie brisée.
LCI
Le film le plus envoûtant de l’été.
La Croix
Le Japonais Ryusuke Hamaguchi embarque un metteur en scène et sa chauffeuse dans une Saab rouge et signe un film éblouissant sur le deuil et le pouvoir des mots.
La Septième Obsession
Un superbe tour de force en forme d'hommage vibrant et vivant à Ingmar Bergman.
Le Monde
La beauté de Drive My Car réside dans sa manière de donner chair à une série d'abstractions et de dispositifs purement théoriques, d'employer toutes sortes d'éléments du médium cinéma pour leur faire dégorger leur sensualité autonome et en faire les instruments d'une vérité singulière.
Le Parisien
Scrutant comme personne les relations humaines et les rapports amoureux, Hamaguchi nous fait chavirer avec son sens de la mise en scène, chaque plan s’avérant ciselé, émouvant et éblouissant, et servi à merveille par de magnifiques comédiens - mention spéciale à la jeune Toko Miura, qui campe avec une étonnante justesse l’intrigante Misaki.
Les Echos
Scénarisé et mis en scène avec un art consommé de la suggestion et des variations, « Drive My Car » confirme le talent précieux du metteur en scène de « Senses » et de « Asako I & II » et s'impose comme une nouvelle réussite majeure pour le cinéaste inclassable. Un film à découvrir de toute urgence.
Les Inrockuptibles
Un film qui résonne indirectement avec le vécu intime de chacun·e et qui risque de briller longtemps dans la nuit noire de notre inconscient chaviré.
Libération
Il y a l’ampleur, la profusion, la profondeur de champ d’un grand roman dans le film d’Hamaguchi, épopée en voiture individuelle où s’engouffre bien plus encore, au gré des nombreuses bifurcations dont son récit a le goût, entre lesquelles il fraie peu à peu un dédale de chemins imprévisibles et néanmoins limpides.
Marianne
Un des plus beaux films à découvrir sur les écrans en cette fin d’été.
Ouest France
Un immense moment de cinéma.
Positif
Une œuvre cohérente, attentive à la parole et à l’écoute et comptant désormais parmi les plus exigeantes du cinéma contemporain.
Première
Un coup de maître.
Sud Ouest
Du grand art.
Transfuge
Quelque chose de rare, de précieux, se produit à la vision de Drive my car : le sentiment de voir un grand cinéaste arriver à la pleine possession de ses moyens, et l’impression de découvrir le premier d’une longue série de chefs-d’œuvre à venir.
Télérama
Un metteur en scène et sa jeune chauffeuse. Leurs échanges, de plus en plus intimes, les confrontent au passé, réparent leurs blessures. Splendide.
20 Minutes
Le film se met alors à osciller entre le buddy movie et le road trip initiatique, qu’entrecoupent de très belles scènes de répétitions de la pièce (ah ! cette actrice qui joue son rôle en langue des signes).
Cahiers du Cinéma
Formidable metteur en scène, d’une précision et d’une netteté de trait qui ne craignent pas de s’effacer, Hamaguchi agit en révélateur non pas tant des âmes (rien de métaphysique dans ses films) que de l’être, cette vibration à la croisée du corps et du verbe.
Critikat.com
C’est là que le film se révèle tout à fait passionnant, dans sa manière de figurer le drame de ces existences toujours à moitié ancrées dans la fiction, dont les corps ne sont bien souvent que les vaisseaux d’une parole extérieure.
Culturopoing.com
Il est intéressant de voir comment Ryusuke Hamaguchi progresse dans son art, notamment au niveau de la mise en scène et en images, et du traitement de thématiques, de préoccupations qui sont les siennes depuis ses débuts. Drive My Car constitue un moment fort de cette saison cinématographique 2021 [...].
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Japonais Hamaguchi met en mouvement un film bouleversant sur le deuil, par le truchement d’une adaptation sophistiquée et magnifiquement mise en scène de la tragicomédie d’Anton Tchekhov Oncle Vania , pièce sur l’amour, l’ennui, le désarroi existentiel.
Franceinfo Culture
Un beau film, profond, littéraire - donc bavard -, un rien élitiste, mais qui enchantera les lecteurs de Murakami, dont il reflète la subtilité d’écriture au carrefour de la vie et de la création.
L'Humanité
Déjà lauréat, en mars, du grand prix du jury de la Berlinale 2021 pour Wheel of Fortune and Fantasy, le réalisateur japonais a reçu, lors du dernier Festival de Cannes où il faisait figure de favori de la presse internationale, le prix du scénario. Une récompense largement méritée qui vient saluer la minutie et la finesse de l’écriture de son Drive My Car (...).
Le Dauphiné Libéré
Ce récit raffiné, soulevé par le grand esprit de Tchekhov, touche le temps d’une scène au sublime, dans une forme de cinéma-théâtre : Hamaguchi filme la grâce dépouillée de la langue des signes qui exprime avec une éloquence étonnante la poésie mélancolique de la pièce Oncle Vania.
Le Figaro
Adapté d’une nouvelle de Haruki Murakami, Prix du scénario au dernier Festival de Cannes, Drive My Car chuchote, envoûte, porté par une grâce intemporelle. La beauté dure trois heures et a un nom: Hamaguchi Ryusuke.
Le Journal du Dimanche
S'il n'évite pas les répétitions, le récit diffuse de l'émotion en continu, notamment à travers les silences, magnifiques.
Les Fiches du Cinéma
Un récit de deuil(s) d’une finesse d’écriture et d’observation telle qu’elle ne fait que confirmer l’évidence : Ryûsuke Hamaguchi est en train de bâtir une œuvre remarquable.
Paris Match
C’est une leçon cinématographique que donne à nouveau le conteur nippon, un film d’une densité romanesque rare qui prend le temps de développer en profondeur la psychologie de ses personnages principaux, sans oublier de conserver le « mystère ».