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Une histoire d’amour et de vengeance sur fond de de virilité masculine contrariée. Un OVNI violent, radical et burlesque, mais l’hystérie excessive du héros est très agaçante. 3,25
Becoming Father est un film vraiment perché, qui arrive à traiter d'un sujet grave mais avec des personnages un peu allumé du ciboulot. Le tout est à la fois très amusant et dramatique. Je n'en dévoilerai pas plus c'est un film à découvrir les yeux fermés, une belle découverte.
Un film japonais vraiment très atypique mais qui vaut d’être vu.
Certaines scènes de sexe et de violence sont filmées de manière très crue et ne font pas dans la dentelle.
Le personnage principal est un peu trop dans l’excès, mais on se laisse accrocher par l’histoire qui est intéressante.
Un bémol cependant, j’aurais mis une meilleure note si le personnage central ne hurlait pas presque du début a la fin.
C’est dommage et cela nuit a la qualité du film que j’ai sinon plutôt apprécié
Certaines scènes de sexe et de violence sont filmées de manière très crue et ne font pas dans la dentelle.
Le personnage principal est un peu trop dans l’excès, mais on se laisse accrocher par l’histoire qui est intéressante.
Un bémol cependant, j’aurais mis une meilleure note si le personnage central ne hurlait pas presque du début a la fin.
C’est dommage et cela nuit a la qualité du film que j’ai sinon plutôt apprécié
maxime ...
Becoming Father est une comédie sur une histoire d'amour pas très franche mais très drôle ! J'envoi un bémol tout de suite pour ce qui est de sa scène choc,
spoiler:
celle-ci n'est pas en revanche exempt de tirer profit de sa réussite pour croisé la blague à l'atroce, pas vraiment très malin ! Bon après le film dans sa globalité dépeint le portrait d'un couillon, donc pas de faux procès non plus ...
Le film est barge mais pourtant il tente au travers de son personnage titre de rester dans le système, tout du moins dans les clous. Il pète les plombs et devient par la suite l'énergumène déjantée dont tout le monde s'éprend. Sérieux, hormis son beau-père, tous deviennent en quelques sortes assez " admiratif " ou du moins " complice " avec ce siphonné du bocal. spoiler: L'ex petit-ami de sa compagne qui lui avance des tunes pour qu'il se fasse refaire des chicots, le père de son agresseur qui prend fait et cause pour les victimes de son fils, sa belle mère et sœur qui l'accepte elles aussi à bras ouvert et bien entendu, Yasuko, qui au départ n'a pas vraiment l'intention de s'entiché du bonhomme mais qui en tombe au final éperdument amoureuse. Il faut voir la demande en mariage qu'elle repousse sur son lieu de travail pour bien comprendre la relation dingue qui les unies.
Coté mise en scène, le film est bourrin à souhait. Le rythme est stimulant, sa narration alterné ajoute encore une petite plus value les transitions présent / passé sont vraiment astucieuses et rigolotes. Un enivrement plaisant et jouissif.
Le film est barge mais pourtant il tente au travers de son personnage titre de rester dans le système, tout du moins dans les clous. Il pète les plombs et devient par la suite l'énergumène déjantée dont tout le monde s'éprend. Sérieux, hormis son beau-père, tous deviennent en quelques sortes assez " admiratif " ou du moins " complice " avec ce siphonné du bocal. spoiler: L'ex petit-ami de sa compagne qui lui avance des tunes pour qu'il se fasse refaire des chicots, le père de son agresseur qui prend fait et cause pour les victimes de son fils, sa belle mère et sœur qui l'accepte elles aussi à bras ouvert et bien entendu, Yasuko, qui au départ n'a pas vraiment l'intention de s'entiché du bonhomme mais qui en tombe au final éperdument amoureuse. Il faut voir la demande en mariage qu'elle repousse sur son lieu de travail pour bien comprendre la relation dingue qui les unies.
Coté mise en scène, le film est bourrin à souhait. Le rythme est stimulant, sa narration alterné ajoute encore une petite plus value les transitions présent / passé sont vraiment astucieuses et rigolotes. Un enivrement plaisant et jouissif.
Moi, j'aurais titré: « Les hauts de Hurlement»
La moitié des dialogues sont hurlés.
Et un Japonais qui hurle, j'vous dis pas...
Si l'on démêle l'écheveau des multiples analepses (restons Français), on perçoit une chanson de geste héritée des Samouraïs : la victoire physique est assurée par la force mentale.
La moitié des dialogues sont hurlés.
Et un Japonais qui hurle, j'vous dis pas...
Si l'on démêle l'écheveau des multiples analepses (restons Français), on perçoit une chanson de geste héritée des Samouraïs : la victoire physique est assurée par la force mentale.
spoiler:
Le noeud de l'intrigue tient au fait que Yasuko est violée lors d'une soirée très arrosée par le fils d'un des clients de Miyamoto, Takuma, alors que Miyamoto, ivre mort, dormait. Or il avait promis de toujours protéger Yasuko lorsque l'un de ses anciens amants avait fait intrusion chez elle.
Si le film dépeint une certaine société japonaise, celle des salary men et des promoteurs proches des yakusas, l'intrigue est éminemment viriliste, même si elle pointe à plusieurs reprises l'égoïsme des hommes et la vengeance prétexte à de longues séquences de violence. A ce stade, on comprend mal l'engouement d'une certaine critique, qui croit - à tort - tenir un nouveau Kitano.
Si le film dépeint une certaine société japonaise, celle des salary men et des promoteurs proches des yakusas, l'intrigue est éminemment viriliste, même si elle pointe à plusieurs reprises l'égoïsme des hommes et la vengeance prétexte à de longues séquences de violence. A ce stade, on comprend mal l'engouement d'une certaine critique, qui croit - à tort - tenir un nouveau Kitano.
Un film très étonnant : à la fois un drame et une comédie romantique.
Avec une intrigue dont je vous laisse lire le pitch et découvrir la structure complètement éclatée (le film n'est pas linéaire, il y a du flash-forward tout le temps), voilà une histoire d'amour très énervée, à connotation de critique sociale également.
À travers ce film, la société japonaise en prend pour son grade : tout d'abord les salarymen, les Yakuza, et un certain féminisme. Très gros point positif : le film est totalement imprévisible, juvénile et un peu mal élevé. A voir en double programme avec un film précédent du même réalisateur datant de 2016, Destruction Babies.
Avec une intrigue dont je vous laisse lire le pitch et découvrir la structure complètement éclatée (le film n'est pas linéaire, il y a du flash-forward tout le temps), voilà une histoire d'amour très énervée, à connotation de critique sociale également.
À travers ce film, la société japonaise en prend pour son grade : tout d'abord les salarymen, les Yakuza, et un certain féminisme. Très gros point positif : le film est totalement imprévisible, juvénile et un peu mal élevé. A voir en double programme avec un film précédent du même réalisateur datant de 2016, Destruction Babies.
C'est un drame en effet, et il faut avoir le coeur bien accroché devant certaines scènes .. Avertissement.
spoiler:
.Avertissement, il y a une scène de viol sordide et difficille pôur le spectateur, et la scène de bagarre finale est aussi peu soutenable....
....C'est( le genre de cinéma qui la première fois comme midnight express "dérange" le spectateur par sa violence (je parle autant de violence psychologique, que de violence physique, quoique celle ci soit finalement moins éprouvante sur grand écran.) .....On peut dire que les japonais vont à l'essentiel, dans ce genre de cinéma, qui peut choquer, je déconseille aux moins de quatorze ans (d'ailleurs vont ils encore au cinéma ?)...Pour en revenir au film, il est interprété par des acteurs brillants (le jeune homme héros psychopathe? ,, (Sosuke Ikematsu(, la jeune femme Yu Aoi (un charme fou et ravageur) et le violeur ( Wataru Ichinose)...Ne parlons pas des parents du rugbyman, plus que méchants et convaincants)...Bravo donc à tous les acteurs, mais aussi à la mise en scène dont le réalisme soumet le spectateur rude épreuve....En résumé ce n'est pas un film romantique, mais un film violent psychologiquement qui peut tourmenter le spectateur, jusqu'à la scène finale (l'accouchement) Et si cétait cela "deveir père" ? Je conseille, un film rare qu'il faut voir sur grand écran.....
....C'est( le genre de cinéma qui la première fois comme midnight express "dérange" le spectateur par sa violence (je parle autant de violence psychologique, que de violence physique, quoique celle ci soit finalement moins éprouvante sur grand écran.) .....On peut dire que les japonais vont à l'essentiel, dans ce genre de cinéma, qui peut choquer, je déconseille aux moins de quatorze ans (d'ailleurs vont ils encore au cinéma ?)...Pour en revenir au film, il est interprété par des acteurs brillants (le jeune homme héros psychopathe? ,, (Sosuke Ikematsu(, la jeune femme Yu Aoi (un charme fou et ravageur) et le violeur ( Wataru Ichinose)...Ne parlons pas des parents du rugbyman, plus que méchants et convaincants)...Bravo donc à tous les acteurs, mais aussi à la mise en scène dont le réalisme soumet le spectateur rude épreuve....En résumé ce n'est pas un film romantique, mais un film violent psychologiquement qui peut tourmenter le spectateur, jusqu'à la scène finale (l'accouchement) Et si cétait cela "deveir père" ? Je conseille, un film rare qu'il faut voir sur grand écran.....
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