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JAMES W.
16 critiques
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3,0
Publiée le 29 juin 2023
J'ai mis 3 etoiles pour Hugh J (quel acteur) c'est simple il fait tout le film... Et 3 étoiles pour la chutte... Sinon c'est un peu l'ennui tout le long les événements se répètent... Les autres acteurs sont pas terribles à part le médecin a la fin qui a une bonne repartie j'ai trouvé 😅
Après les souffrances et les affres de la vieillesse, Florian Zeller livre un second film sur celles de l'adolescence. Creusant toujours le sillon de la paternité et de l'héritage. Alors que "the father" nous saisissait par l'originalité de sa construction et sa puissance, "The Son" s'avère assez classique et prévisible. Nous sommes encore dans une sorte de huis-clos. Malgré une réalisation réussie qui emprisonne ses personnages dans un univers assez froid (sauf les flash back en Corse qui son remplis de lumière) et malgré une interprétation juste, je n'ai pas vraiment été ému par cette histoire qui méritait davantage de relief. J'ai trouvé Hugh Jackman parfait mais son personnage est un peu fade. L'histoire manque d'aspérité, les dialogues évacuent les "non-dit". Ca reste un bon film mais qui ne laissera pas une empreinte comme ce fut le cas avec "The Father" qui m'avait bouleversé. La faute à une écriture un peu paresseuse - un comble pour un film réalisé par un auteur. Sur ce sujet, assez rarement traité, du fossé qui existe entre parents et adolescents, on sera toutefois frappé de voir un homme à qui tout réussi, brillant et sans défaut, frappé d'impuissance face à la douleur ordinaire de son enfant. Ce n'était pas un choix de Florian Zeller mais choisir une figure de super-héro (Wolverine) pour incarner ce personnage fait son petit effet.
The son sonne comme un plaidoyer ou un cri du cœur pour les adolescents qui souffrent de mal-être et de perte de repaires jusqu'à se torturer eux mêmes.
Après The Father, Florian Zeller essaie de renouveler le hold up qu'il a réalisé avec son précèdent film. Pour cela, il réunie tous les éléments : un casting très bon (surtout Hugh Jackman et Vanessa Kirby en tête); une réalisation épurée et un thème musical très présent et qui donne le rythme au film.
Mais Zeller ne réussit pas le doublé espéré; en effet; le film tourne autour de son sujet sans vraiment l'aborder dans le détail. Certes, on comprend que cet adolescent est mal mais on passe trop de temps à la réaction des parents. Les différents retournements sont "malheureusement prévisibles" et la dernière partie du film est trop courte. En résumé, le film manque d'un équilibre qui le pénalise.
Cependant, cela n'enlève rien aux qualités du réalisateur Français et qui confirme son talent pour raconter des récits de la vie de tous les jours.
Sujet intéressant mais traité trop grossièrement, avec une fin prévisible. Le doublage et la voix française de Hugues Jackman sont vraiment maivais. J'espère que les spécateurs n'en tireront pas comme leçon qu'il faut laisser leurs enfants aux psychiatres.
Très dur. Je n’en dirais pas trop mais cette nouvelle production de Florian Zeller, après « The Father » est vraiment réussi. On est plongé encore une fois au cœur d’une famille qui ne va pas bien. Qui souffre. On fait face à des événements réels, très bien réalisés. Avec un Hugh Jackman à couper le souffle. Terrible, mais vraiment prenant.
Retrouvez mon avis sur : https://mediashowbydk.com/la-syndicaliste-the-son-mon-crime-65-la-terre-davant/
The Son est le deuxième long-métrage de Florian Zeller, après The Father en 2021. Il s’agit d’un excellent film dramatique qui, après la démence sénile, nous confronte à un sujet très épineux : la dépression adolescente. Une nouvelle fois, plutôt de tenter d’expliquer ou de justifier ce mal-être, le réalisateur français chercher à nous déstabiliser en nous positionnant en tant que membre de la famille de cet adolescent qui n’a plus le goût de vivre. Tout comme ses parents qui ne parviennent pas à l’aider, nous sommes impuissants face à cette tragique situation et cela amène à des scènes très intenses, qu’elles soient déchirantes, émouvantes ou bien sidérantes. Le scénario est maîtrisé de bout en bout aussi bien dans les dialogues que dans sa structure, avec de nombreux renversements de situations qui permettent de maintenir un rythme soutenu.
De plus, la mise en scène est certes moins percutante que celle dans The Father mais demeure redoutable et soignée : l’utilisation du hors champs, la photographie léchée et un montage honorable. Enfin, le réalisateur Florian Zeller s’entoure d’un quintet d’acteurs formidable et tous offrant de puissantes interprétations : Hugh Jackman bouleversant, Laura Dern émouvante, Vanessa Kirby fascinante, Zen McGrath déchirant mais également le retour du charismatique Anthony Hopkins dans son précédent rôle.
Bouleversant de vérité et réalisme un rôle taillé sur mesure pour Hugues Jackman (son plus beau rôle à mon sens)son implication est totale on le sent habité par ce rôle de père aimant démuni et torturé.Cest un film très émouvant sur l'implication des parents dans le présent et le devenir de leur enfant, tout parent devrait regarder ce film car effectivement cela n'arrive pas à tous mais pas qu'aux autres également une situation qui semble stable peut vite nous échapper selon les décisions prises et les évènements qui gravitent autour de l'enfance et l'adolescence. Comme on dit "un cas d'école " FIlm superbe donc servi par un excellent casting et qui nous fait méditer sur notre condition de parent. A voir et revoir.
The Son de Florian Zeller (The Father) avec Hugh Jackman (The Greatest Showman, Real Steel), Laura Dern (Jurassic Park, Le Fondateur) et Zen McGrath et pour moi un film où je n'ai pas réussi à rentrer dans cette histoire qui m'a un peut ennuyer.
Deuxième film de Florian Zeller après The Father que je n'ai pas encore vue cette fois ci Nicolas 17ans et un ado comment dire énervant il ne va plus en cours et passe le reste de sont temps a culpabiliser sa belle mère c'est ce que j'ai compris du film.
Pour commencer pas les points positifs son casting le retour du grand Hugh Jackman au quelle j'ai eu un peut du mal a m'accrocher j'ai plus l'habitude de Wolverine et dans The Greatest Showman cette fois ci il a un rôle dramatique comme je le disais ou j'ai eu du mal a m'accrocher il y a comme même quelques passage que j'ai aimé surtout la fin qui et poignant on a aussi Laura Dern qui en fait toujours trop c'est Laura Dern mais sa fait toujours plaisir de la revoir a l'écran puis on a Zen McGrath que je pense je vais pas lui faire de cadeaux dans cette critique il m'a énervé a chaque fois que je le voyais je voulais lui en mettre une puis la VF n'arrange pas la manière comment il et avec sa belle mère et sont père cette attitude ça m'a énervé le moment où il et a l'hôpital moi clairement je l'aurai laisser.
Concernant les points négatif c'est sont histoire j'ai pas réussi à me plonger dedans je m'attendais a un ado plus rebelle pas un faux dépressif alors qu'il a tout pour être heureux je rappelle que j'ai pas vue la Bande Annonce je ne savais pas sur trop quoi tombé, j'ai du peut être raté un truc dans le film mais ma question pourquoi il et comme ça ? Alors qu'il a aucune raison il a tout pour être heureux. Il y a quand même des passages que j'ai aimé avec Anthony Hopkins, la fin qui et poignante et quelques passage sympathique avec Hugh Jackman et Beth incarné par Vanessa Kirby (Fast & Furious: Hobbs & Shaw,Mission impossible: Fallout)au quel je me suis un peut accroché c'est tout.
Pour résumer deuxième film de Florian Zeller après The Father qui j'espère sera mieux Hugh Jackman, Laura Dern, Vanessa Kirby et Anthony Hopkins que j'ai bien aimé Zen McGrath qui et vraiment le point noir de ce film il m'a énervé tout le long je m'attendais a un autre style d'histoire je sais même pas pourquoi il et comme sa et qu'il trouve pas l'excuse que sont père c'estait mit avec Beth pendant qu'il était avec Kate pour résumer il trouve plusieurs excuses qui sont pas valables et puis la VF n'arrange pas du tout. En écrivant cette critique sa ma encore énervé en repensant aux images du film.
La performance de Hugh Jackman en tant que père désemparé par la dépression de son fils est remarquable.
C’est un drame dur, oppressant, presque œdipien. En effet, on ressent spoiler: l’affection profonde de l’enfant pour son père qui ne supporte pas que ce dernier soit allé rejoindre une Autre que sa mère. Se sentant alors incomplet, comme privé à tout jamais de son père, l’enfant a perdu le sens de vivre. Il bascule alors dans une dépression profonde..
Certains diront qu’elle est exagérée.. Il est vrai que du point de vue psychopathologique, il y a trauma que s’il y a répétition d’évènements traumatisants, autrement dit, il y a dépression profonde que s’il y a eu dans un premier temps un psychotraumatisme infantile ayant fragilisé l’enfant, suivi plus tard d’un choc émotionnel venant réactiver le premier. Or,spoiler: le fils semble avoir eu, avant cette séparation, une enfance plutôt heureuse et des parents aimants.
Aussi, la scène qui confronte le père et le fils au sujet de la carabine est très symbolique. Incapable de répondre à la question de son fils sur pourquoi il garde la carabine de son père malgré son aversion pour la chasse, le père démontre spoiler: implicitement qu'il n'a pas été en mesure de tirer un trait sur son passé douloureux qui continue à le hanter. En cherchant à devenir un meilleur père que le sien (comme le montre la scène poignante avec Anthony Hopkins), le père reproduit involontairement les mêmes erreurs et perpétue ainsi le cycle de la douleur.
La fin tragique où l'enfant se tue avec la carabine de son père, objet destructeur et en même temps garant de la malédiction, souligne la notion d'inconscient et de répétition des schémas destructeurs.
Comment une vie familiale assez ordinaire avec divorce et recomposition peut tourner au drame indicible vis-à-vis d'adolescents trop sensibles. Le film décrit bien le désespoir des parents, et le désespoir de cet ado qui ne comprend même pas lui-même son "mal de vivre". Les flash backs sont habiles à nous montrer le bonheur de l'enfance (un petit clin d'oeil aux calanques de La Ciotat). Plusieurs scènes sont marquantes : dispute père-fils, entretien collectif avec le psychiatre qui force la décision (on y parle d'impulsion suicidaire et de détachement de réalité), entretien père Anthony HOPKINS avec son fils Hugh JACKMAN, danse de Hugh sur Tom JONES ("It's not unusual"). Le twist final est aussi habile, qui nous fait douter de l'issue fatale. Mais l'émotion n'est pas vraiment au rdv car les jeux d'acteurs sont trop théâtraux, grimaçants et surjoués. Points très positifs : belle photographie et musiques composées par le magistral Hans ZIMMER!
Forcément c'était une affiche tentante : Florian Zeller, le réalisateur du très bon The Father en 2021, revient avec The Son avec en tête d'affiche Hugh Jackman ! Pourtant contrairement à ce dernier film, The Son manque clairement de subtilité. Même si la base de l'histoire est poignante, même si nous n'avons rien à dire sur les comédiens de talent, le sujet est traité avec maladresse, se montre très accusateur, très maladroit. On est un peu trop dans le cliché en fait. The father avait une justesse extrêmement touchante, parlant de la fatalité dramatique d'une maladie qui peut toucher n'importe qui. Ici, on pourrait croire à un extrait d'un livre religieux qui veut te montrer les châtiments qui s'abattent quand on divorce ! Non, on n’a pas accroché à l'histoire, et malgré la réalisation très correct, on a pas su apprécier la séance. Dommage !
L adolescence, les relations suite au divorce de parents, les états d âmes et ces parents perdus ... un film abordant tous ces thèmes avec une certaine finesse - accompagné des jeux justes des acteurs - cela donne un bouleversant témoignage d une détresse sourde et silencieuse.
The son est le nouveau film de Florian Zeller. Cette fois ci, il montre une famille fragmentée avec le fils en souffrance et des parents désemparés. Émotions assurées dans un film à la réalisation maîtrisée.