AlloCiné
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Votre avis sur The Son ?
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The Son traite de la dépression adolescente en refusant d'expliquer les réelles raisons du profond malaise existentiel du fils des personnages incarnés par Laura Dern et Hugh Jackman. Si l'idée est en soi intéressante, le film n'évite pas le piège du psychologique présentant des personnages et des situations archétypales. Divorce difficile, image du père autoritaire qui rodé avec une apparition caricatural d'anthologie Hopkins, le film, s'il évite le piège du théâtre filmé, est étrangement figé. Difficile pour le spectateur de s'intéresser aux souffrances de personnages appartenant à des milieux très aisés et passant leurs temps dans d'immenses buildings new yorkais. Si les acteurs s'en sortent avec les honneurs, et que certaines scènes sonnent justes, l'ensemble souffre d'une fin totalement ratée, clichée et lacrymale. The son est un film, au final, assez creux qui malgré la force du sujet rate totalement sa partie mélo.
Dommage...
Dommage...
Dépressifs s'abstenir. L'histoire est touchante mais pesante. Il y a beaucoup de tact et de relative sobriété dans la réalisation. Les acteurs sont excellents, en particulier Hugh Jackman dans un rôle à contre-emploi. La nasse de la dépression adolescente contée comme jamais. C'est bien intense, c'est dur, on espère la lumière au fond du tunnel pendant tout le film mais le poids de l'inexorable plane en permanence jusqu'au dénouement final. Inspiré d'une histoire personnelle.
tellement bien joué
tellement d émotion
tellement triste
un très beau film qui me rappelle beaucoup de choses de ma vie
tellement d émotion
tellement triste
un très beau film qui me rappelle beaucoup de choses de ma vie
Ambiance mortifère pour un scénario attendu mais extrêmement bien écrit. Si la réalisation est moins inventive que The Father, le cinéma est au rdv avec des scènes d'une rare intensité au plan psychologique et émotionnel. Laura Dern est excellente et Hugh Jackman est absolument sidérant de justesse en père tiraillé et culpabilisé. New York est filmé avec froideur et donne au film une tonalité glaçante qui sert le propos.
Un film prenant et bouleversant, pour ma part très bon film dramatique réunissant des très bons acteurs
un film long pour voir et revoir les mêmes sentiments donc c'est sans intérêt. la dépression de l'ado est pénible à supporter tout au long du film parce que c'est mal joué et les autres acteurs ne relèvent pas ce long métrage. bref !!! 2h de perdues
Film magnifiquement filmé et dirigé sur un moment de vie difficile à gérer pour les parents : leur fils de 17 ans a perdu le goût de vivre et accuse ses parents de s'être séparés. D'abord habitant chez la mère puis retrouvant son père qui a une nouvelle femme et un bébé, rien n'y fait, l'adolescent ne se sent pas bien. Un couteau est retrouvé sous son lit et des cicatrices cisaillent ses bras. Il fait mine d'aller au lycée mais en fait il part seul marcher dans les rues de New York. La tournure tragique du film se ressent à tout instant. Film déchirant. On retrouve le style de The Father.
Le sujet (dramatique, la dépression chez le jeune adulte)est intéressant, mais Florian Zeller tombe dans le pathos. Ses acteurs en font trop à mon goût. Je me suis ennuyée par moments.
hug Jackman est très juste ds ce film mais le côté américain détruit le côté intime que cette histoire pourrait apporter.
dommage.
la traduction en français est mauvaise surtout pour le garçon.
dommage.
la traduction en français est mauvaise surtout pour le garçon.
Un très bon film, émouvant, poignant où chaque acteur excelle dans son personnage. Un portrait déchirant qui ose nommer, exposer la dépression chez les adolescents et la peur de l'inconnu, la psychiatrie, la détresse des parents.
Un film qui surgit comme un appel à l'aide : voilà la réalité de la dépression. Une espèce de monstre, affamé de nos peurs, de nos sentiments, une bête insatiable, et où l'amour se montre impuissant...
Un film qui surgit comme un appel à l'aide : voilà la réalité de la dépression. Une espèce de monstre, affamé de nos peurs, de nos sentiments, une bête insatiable, et où l'amour se montre impuissant...
incroyablement marquant et frappant dans son histoire. une histoire de dépression certes classique mais criant de réalisme, avec une réalisation juste et discrète.
vidalger
Un poil au dessous de son précédent film - The Father -, Florian Zeller réalise un film sur le mode classique et avec des acteurs de qualité sur le thème de crise d'adolescence.
Le scénario assez répétitif finit par tourner en rond. Le spectateur le plus empathique a plus de mal à éprouver quelque sympathie avec cet ado un brin dérangé que pour ses parents.
La seule finesse du film repose sur l'attitude du père interprété par l'excellent Hugh Jackman qui craint de reproduire l'égoïsme de son propre père - ici, le crépusculaire et toujours très fin Anthony Hopkins - lors de sa propre adolescence...Des retours en arrière pléonastiques et un rêve - avant-dernière scène - nuisent à la nervosité d'un montage lymphatique.
Le scénario assez répétitif finit par tourner en rond. Le spectateur le plus empathique a plus de mal à éprouver quelque sympathie avec cet ado un brin dérangé que pour ses parents.
La seule finesse du film repose sur l'attitude du père interprété par l'excellent Hugh Jackman qui craint de reproduire l'égoïsme de son propre père - ici, le crépusculaire et toujours très fin Anthony Hopkins - lors de sa propre adolescence...Des retours en arrière pléonastiques et un rêve - avant-dernière scène - nuisent à la nervosité d'un montage lymphatique.
Film remarquable sur un sujet qui touchera au cœur les parents et les enfants.
a voir de suite sans hésiter.
a voir de suite sans hésiter.
AZZZO
Avec "The father", Florian Zeller avait montré qu'il n'est pas qu'un écrivain brillant mais aussi un réalisateur de talent. L'attente était donc forte pour ce deuxième film... et la déception d'autant plus grande !
Techniquement, le film est très réussi. L'image est belle, efficace et la caméra scrute avec intelligence les sentiments des personnages. La déception vient du contenu. C'est plat, c'est simple, mièvre, sans surprise. Ce n'est pas le premier film à montrer des parents démunis face à la dépression de leur enfant et on attend de Florian Zeller un regard nouveau. Or, il n'y a rien. La scène la plus intéressante est celle avec Anthony Hopkins - le père de ce père - mais elle ne mène à rien, elle n'a pas de prolongement, elle ne fait que mettre en lumière ce que le spectateur a déjà compris. Les paradoxes de ce père-Cyparisse qui tue ce qu'il aime, auraient mérité d'être davantage creusés. Au lieu de cela, le film s'achève sur un dernier quart d'heure de mélo convenu digne d'un film de Roselyne Bosch !
"The mother" clôturera probablement la trilogie écrite par Florian Zeller. On ne veut pas faire d'histoire dans la famille mais, franchement, on espère que la mère se rapprochera du père plus que du fils. Amen.
Techniquement, le film est très réussi. L'image est belle, efficace et la caméra scrute avec intelligence les sentiments des personnages. La déception vient du contenu. C'est plat, c'est simple, mièvre, sans surprise. Ce n'est pas le premier film à montrer des parents démunis face à la dépression de leur enfant et on attend de Florian Zeller un regard nouveau. Or, il n'y a rien. La scène la plus intéressante est celle avec Anthony Hopkins - le père de ce père - mais elle ne mène à rien, elle n'a pas de prolongement, elle ne fait que mettre en lumière ce que le spectateur a déjà compris. Les paradoxes de ce père-Cyparisse qui tue ce qu'il aime, auraient mérité d'être davantage creusés. Au lieu de cela, le film s'achève sur un dernier quart d'heure de mélo convenu digne d'un film de Roselyne Bosch !
"The mother" clôturera probablement la trilogie écrite par Florian Zeller. On ne veut pas faire d'histoire dans la famille mais, franchement, on espère que la mère se rapprochera du père plus que du fils. Amen.
j'ai vraiment aimé ! le scénario est très bien et Wolverine (lol) très bon... c'est une histoire que vivent de nombreux ados de couple séparé .. tout les divorcées devraient voir ce film !
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