Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Une œuvre sensible portée par des comédiens en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Public
par Marie-Pierre Galinon
Hugh Jackman est magistral en père tiraillé entre culpabilité, colère et désespoir face à la dépression de son fils.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Une œuvre brillante et suffocante, portée magistralement par Hugh Jackman, Laura Dern et Anthony Hopkins.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Brillant, sincère, et profondément bouleversant, le deuxième essai de Florian Zeller au cinéma se révèle être une grande réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
par J.B.
Ce drame, angoissant, dur, éprouvant, donne à ressentir la détresse des protagonistes. Cathartique, il nous confronte à nos traumas pour mieux nous en libérer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Après Le Père devenu The Father , Florian Zeller continue d’adapter ses pièces de théâtre en films. Son deuxième long-métrage transpose Le Fils en The Son , un drame sur la paternité aux allures de tragédie grecque. Un film porté par un casting époustouflant.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Moins époustouflant que The Father, The Son n’en reste pas moins un drame tétanisant, en plus d’être un objet théorique d’une grande finesse. Le talent de Florian Zeller dans tout ce qu’il entreprend en serait presque agaçant !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un peu lent, mais puissant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec la même justesse qu’il traitait de la sénescence dans The Father, le cinéaste s’attelle dans The Son à la dépression adolescente. Au côté de Laura Dern (Kate) et de Zen McGrath (Nicholas, d'une opacité troublante), Hugh Jackman livre une prestation magistrale en père (et fils) prisonnier de transmissions toxiques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Si la structure du scénario trahit un peu l’origine théâtrale de l’histoire (on ressent presque les didascalies d’arrivée sur scène des personnages), The Son est un drame poignant, où la mise en scène sobre joue d’effets de montage pour montrer les états d’âme de ses personnages.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Impitoyable et radical, Florian Zeller se débarrasse de tout artifice pour se concentrer sur l’essentiel dans un dispositif de huis clos rythmé par des joutes verbales intenses. Et se révèle un immense directeur d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Après le brillant « The Father », Florian Zeller adapte à nouveau l’une de ses pièces, « The Son », et en tire un film déchirant sur la dépression adolescente et les relations parfois dramatiques qu’elle peut engendrer avec des parents démunis face à cette maladie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Hugh Jackman confère à son personnage une belle humanité, une sincérité désarmante face à son propre père indifférent (Anthony Hopkins, magistral).
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré ses insistances, ce beau film qui n’entretient guère de rapport avec son prédécesseur, touche juste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Moins intérieur et labyrinthique que The Father, The Son adopte une mise en scène sobre et frontale qui s'attache davantage à décrire le désarroi impuissant de ses proches.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Benjamin Locoge
Florian Zeller pose des questions essentielles tout en se permettant de grands moments de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par P.C.
Après The Father, Florian Zeller continue l'adaptation au cinéma de ses pièces. Et c'est une nouvelle réussite, tant au niveau de sa mise en scène que de la direction d'acteurs.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Pas facile d'apprécier ce psychodrame ni ses protagonistes. Et pourtant, grâce aux prestations sophistiquées et subtiles de ses interprètes, il est simple de le comprendre.
L'Obs
par F. F.
Le plus inattendu, c’est de voir Hugh Jackman, le Wolverine de « X-Men », dans un rôle dramatique : il est étonnant. On retrouve aussi, avec un plaisir non dissimulé, Anthony Hopkins, 85 ans, en grand-père agressif. Il est super.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le réalisateur français Florian Zeller ne réitère pas le coup de maître de « The Father » mais signe quand même un drame jalonné de séquences fortes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Si The Son est moins surprenant, plus conventionnel que The Father, on sera tout de même emporté par un twist inattendu qui plonge le spectateur dans une violente et profonde émotion. Après tout, le cinéma ne sert-il pas à cela ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Guillemette Odicino
Classique, mais brillamment joué.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un mélodrame qui peine à dissimuler ses ficelles et échoue à émouvoir, malgré l’implication de Hugh Jackman.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un sujet fort mais le réalisateur ne retrouve pas la magie de The Father.
Première
par Thierry Chèze
Sauf que là où la mise en scène de The Father épousait à merveille la perte de mémoire progressive de son personnage principal, elle paraît ici moins fluide, plus maladroite dans sa manière d’accompagner le jeu entre réalité et imaginaire qui fonctionnait sur scène.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Un résultat moins inventif que dans The Father et artificiellement larmoyant. Dommage.
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
La modestie en trompe-l’œil du projet, qui entend sonder le malaise filial entre les quatre murs d’un foyer recomposé, cache en fait une écriture au forceps, manipulatrice et artificieuse, ne reculant devant rien pour extorquer l’émotion
Critikat.com
par Robin Vaz
On sort épuisé de cette succession d’images glacées et fascinées par les intérieurs design et les gratte-ciels new-yorkais, qui dessinent un programme rébarbatif synthétisé par l’indéridable mine déconfite de Hugh Jackman.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Sophie Joubert
The Son surligne le scénario par une musique trop présente et des flash-back appuyés, souvenirs des jours heureux sous le soleil grec, contrastant avec la noirceur du présent. Malgré l’interprétation impeccable des acteurs, dont le jeune Zen McGrath au visage impénétrable, on a du mal à croire à ces personnages tourmentés, perdus dans de beaux appartements new-yorkais (en réalité londoniens, et ça se voit).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par M. Dl
Mais l’expérience labyrinthique du premier essai se transforme ici en une psychothérapie familiale où l’on s’épanche beaucoup. Hugh Jackman ne convainc pas en chef de famille impuissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Luxe contemporain des décors, visages de stars tordus par l’émotion, velouté des violons, ralentis pontifiants : aux yeux d’un studio executive hollywoodien, ou d’une intelligence artificielle, le résultat a sans doute l’apparence parfaite du grand drame néoclassique qu’il prétend être.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Histoire d’un ado dépressif avec Hugh Jackman et Laura Dern désespérés et désespérants, le deuxième long métrage aux relents misogynes de Florian Zeller surjoue le psychodrame familial jusqu’à la nausée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Une œuvre sensible portée par des comédiens en état de grâce.
Public
Hugh Jackman est magistral en père tiraillé entre culpabilité, colère et désespoir face à la dépression de son fils.
Sud Ouest
Une œuvre brillante et suffocante, portée magistralement par Hugh Jackman, Laura Dern et Anthony Hopkins.
aVoir-aLire.com
Brillant, sincère, et profondément bouleversant, le deuxième essai de Florian Zeller au cinéma se révèle être une grande réussite.
Closer
Ce drame, angoissant, dur, éprouvant, donne à ressentir la détresse des protagonistes. Cathartique, il nous confronte à nos traumas pour mieux nous en libérer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Après Le Père devenu The Father , Florian Zeller continue d’adapter ses pièces de théâtre en films. Son deuxième long-métrage transpose Le Fils en The Son , un drame sur la paternité aux allures de tragédie grecque. Un film porté par un casting époustouflant.
Ecran Large
Moins époustouflant que The Father, The Son n’en reste pas moins un drame tétanisant, en plus d’être un objet théorique d’une grande finesse. Le talent de Florian Zeller dans tout ce qu’il entreprend en serait presque agaçant !
Femme Actuelle
Un peu lent, mais puissant.
Franceinfo Culture
Bouleversant.
La Croix
Avec la même justesse qu’il traitait de la sénescence dans The Father, le cinéaste s’attelle dans The Son à la dépression adolescente. Au côté de Laura Dern (Kate) et de Zen McGrath (Nicholas, d'une opacité troublante), Hugh Jackman livre une prestation magistrale en père (et fils) prisonnier de transmissions toxiques.
Le Dauphiné Libéré
Si la structure du scénario trahit un peu l’origine théâtrale de l’histoire (on ressent presque les didascalies d’arrivée sur scène des personnages), The Son est un drame poignant, où la mise en scène sobre joue d’effets de montage pour montrer les états d’âme de ses personnages.
Le Journal du Dimanche
Impitoyable et radical, Florian Zeller se débarrasse de tout artifice pour se concentrer sur l’essentiel dans un dispositif de huis clos rythmé par des joutes verbales intenses. Et se révèle un immense directeur d’acteurs.
Le Parisien
Après le brillant « The Father », Florian Zeller adapte à nouveau l’une de ses pièces, « The Son », et en tire un film déchirant sur la dépression adolescente et les relations parfois dramatiques qu’elle peut engendrer avec des parents démunis face à cette maladie.
Le Point
Hugh Jackman confère à son personnage une belle humanité, une sincérité désarmante face à son propre père indifférent (Anthony Hopkins, magistral).
Marianne
Malgré ses insistances, ce beau film qui n’entretient guère de rapport avec son prédécesseur, touche juste.
Marie Claire
Moins intérieur et labyrinthique que The Father, The Son adopte une mise en scène sobre et frontale qui s'attache davantage à décrire le désarroi impuissant de ses proches.
Paris Match
Florian Zeller pose des questions essentielles tout en se permettant de grands moments de cinéma.
Télé Loisirs
Après The Father, Florian Zeller continue l'adaptation au cinéma de ses pièces. Et c'est une nouvelle réussite, tant au niveau de sa mise en scène que de la direction d'acteurs.
CinemaTeaser
Pas facile d'apprécier ce psychodrame ni ses protagonistes. Et pourtant, grâce aux prestations sophistiquées et subtiles de ses interprètes, il est simple de le comprendre.
L'Obs
Le plus inattendu, c’est de voir Hugh Jackman, le Wolverine de « X-Men », dans un rôle dramatique : il est étonnant. On retrouve aussi, avec un plaisir non dissimulé, Anthony Hopkins, 85 ans, en grand-père agressif. Il est super.
La Voix du Nord
Le réalisateur français Florian Zeller ne réitère pas le coup de maître de « The Father » mais signe quand même un drame jalonné de séquences fortes.
Le Figaro
Si The Son est moins surprenant, plus conventionnel que The Father, on sera tout de même emporté par un twist inattendu qui plonge le spectateur dans une violente et profonde émotion. Après tout, le cinéma ne sert-il pas à cela ?
Télérama
Classique, mais brillamment joué.
Les Fiches du Cinéma
Un mélodrame qui peine à dissimuler ses ficelles et échoue à émouvoir, malgré l’implication de Hugh Jackman.
Ouest France
Un sujet fort mais le réalisateur ne retrouve pas la magie de The Father.
Première
Sauf que là où la mise en scène de The Father épousait à merveille la perte de mémoire progressive de son personnage principal, elle paraît ici moins fluide, plus maladroite dans sa manière d’accompagner le jeu entre réalité et imaginaire qui fonctionnait sur scène.
Voici
Un résultat moins inventif que dans The Father et artificiellement larmoyant. Dommage.
Cahiers du Cinéma
La modestie en trompe-l’œil du projet, qui entend sonder le malaise filial entre les quatre murs d’un foyer recomposé, cache en fait une écriture au forceps, manipulatrice et artificieuse, ne reculant devant rien pour extorquer l’émotion
Critikat.com
On sort épuisé de cette succession d’images glacées et fascinées par les intérieurs design et les gratte-ciels new-yorkais, qui dessinent un programme rébarbatif synthétisé par l’indéridable mine déconfite de Hugh Jackman.
L'Humanité
The Son surligne le scénario par une musique trop présente et des flash-back appuyés, souvenirs des jours heureux sous le soleil grec, contrastant avec la noirceur du présent. Malgré l’interprétation impeccable des acteurs, dont le jeune Zen McGrath au visage impénétrable, on a du mal à croire à ces personnages tourmentés, perdus dans de beaux appartements new-yorkais (en réalité londoniens, et ça se voit).
Le Monde
Mais l’expérience labyrinthique du premier essai se transforme ici en une psychothérapie familiale où l’on s’épanche beaucoup. Hugh Jackman ne convainc pas en chef de famille impuissant.
Les Inrockuptibles
Luxe contemporain des décors, visages de stars tordus par l’émotion, velouté des violons, ralentis pontifiants : aux yeux d’un studio executive hollywoodien, ou d’une intelligence artificielle, le résultat a sans doute l’apparence parfaite du grand drame néoclassique qu’il prétend être.
Libération
Histoire d’un ado dépressif avec Hugh Jackman et Laura Dern désespérés et désespérants, le deuxième long métrage aux relents misogynes de Florian Zeller surjoue le psychodrame familial jusqu’à la nausée.