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chrischambers86
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5,0
Publiée le 22 octobre 2007
Un film grandiose à la gloire du cirque qui continue encore aujourd'hui à faire la joie de plusieurs gènèrations d'enafants! Les acteurs sont tous formidables (Charlton Heston en directeur de cirque passionnè, Cornel Wilde, James Stewart, sans oublier l'amusante Betty Hutton et Dorothy Lamour, sexy et glamour à souhait...) et la mise en scène de Cecil B. DeMille est diablement spectaculaire! Trois Oscars à Hollywood (meilleur film, meilleur scènario et un Oscar spècial de la meilleure production) viennent s'ajouter à ce chef d'oeuvre impèrissable aux multiples morceaux de bravoure (les numèros de cirque, le dèraillement du train...) et aux personnages inoubliables (le grand Sebastian, Patoche, Braden...). Un incontournable qui n'a pas pris une seule ride, qui mêle avec une habiletè rare les drames individuels...
Véritable documentaire à la gloire du cirque Ringling Bros, Barnum & Bailey, le film porte indéniablement la marque du grand spectacle cher à Cecil B. De Mille. La parade, la caravane des artistes, des animaux, des acrobates et des machinistes, la débauche de mauvais goût des costumes, le pop corn et les cacahuètes, le grand brassage du clinquant, du strass, du toc et du multicolore... le réalisateur mêle tout ça avec le goût du risque, la passion, l'amour, la jalousie, la vengeance et l'ambition tout au long de ce film aux morceaux de bravoure étincelants, et fait défiler avec une fougue enthousiaste et son sens du grandiose toute la vie grouillante du monde du cirque, tel un Monsieur Loyal admiratif. La montée du chapiteau, le dressage, l'entraînement des trapézistes, les numéros saisissants s'enchaînent et s'intègrent à l'histoire et l'enrichissent. Un fabuleux spectacle et un drame humain aux mille facettes.
Un magnifique hommage au cirque, du technicolor haut de gamme, de beaux numéros... mais tout ça ne remplit pas presque deux heures de film. On en s'ennuie pas vraiment mais l'intrigue (bien que correctement ficelée) est très simple. Au final c'est beau, coloré, mais un poil vide.
Sous le plus grand chapiteau du monde (The Greatest Show on Earth), 1952, de Cecil B. DeMille, avec Charlton Heston, Cornel Wilde, James Stewart (Patoche), Dorothy Lamour, et en spectateurs, pour vieux cinéphiles…Bing Crosby et Bob Hope. C’est du très grand et beau spectacle, auquel ne nuisent pas du tout ses 60 ans d’âge. Car l’intérêt majeur du film est de nous montrer les fabuleuses machines qu’étaient les grands cirques qui parcouraient les Etats-Unis, et même le monde, comme le cirque Barnum. Plus de 1 500 personnes vivant ensemble, se déplaçant, produisant des numéros prodigieux et entretenant un immense zoo ambulant. L’histoire d’amour entre la jeune et jolie trapéziste et le patron, sa rivalité avec le « grand » Sébastian, voltigeur dont l’orgueil le conduit à une terrible chute, l’histoire tragique du docteur-clown Patoche…tout cela est gentil mais totalement daté. En revanche, la morale du film reste d’actualité: « the show must go on ! ». Et après le spectaculaire accident des trains, la volonté et la force d’âme des gens du cirque demeurent bouleversantes. Rappelons que Charlton Heston, qui fut aussi Moïse dans Les Dix Commandements (1956) et Ben Hur (1959), pour ne citer que les péplums, est apparu pour la dernière fois à l’écran en 2002, dans des conditions pathétiques : atteint de la maladie d’Alzheimer, il n’en était pas moins le Président de la toute puissante NRA (National Rifle Association) et, interrogé par Michael Moore pour son film Bowling for Columbine sur ses prises de positions en faveur du port d’armes à feu, , notre vieux héros, très vindicatif, défend clairement une Amérique blanche, victime d’un « excès de métissage ». Moche.
Nous allons mettre certaines choses au point sur l'acteur principal, tout en critiquant ce film. Pour en finir avec les propos de Charlton Heston sur les armes, il les a tenus alors qu'il souffrait de la maladie d’Alzheimer et que son interview n'avait pas été préparée. Je défis quiconque de répondre de but en blanc à des questions tordues en ayant des problèmes d'expressions liés à cette affection. Je hais les Républicains Américains autant que les "Néo-Républicains" Français, pratiquement tous plus à droite que l’extrême droite dans leurs idées, sans oser le montrer ouvertement. Grâce à eux et à leur "Champion", il apparait que seuls les honnêtes gens en France soient désarmés, puisque 3000 soldats ennemis potentiels sont entrés sur notre territoire durant le quinquennat de leur Empereur et que des 10 000 Kalachnikov de fabrication chinoise, donc peu fiable, parachutées en Libye afin de facilité la chute de Kadafi, 5 000 sont revenues clandestinement en France et hantent les caves des zones de "non-droit". Heureusement qu'en 1939, certains hommes avaient planqué leur Mas 36 en profitant de la débâcle avant la démobilisation sinon nous serions encore sous la botte Nazie. Aujourd'hui, avec 60 gendarmes, dont dix blessés par les tirs de leurs camarades et 7 morts par leur manque d’entrainement, pour arrêter trois terroristes, on a du soucis à se faire, pour notre sécurité. Sur certains points Charlton Heston avait donc raison. Comme en Suisse et même au Canada, chaque citoyen sans casier judiciaire et sans maladie mentale devrait pouvoir posséder un fusil de chasse à répétition de haute qualité par famille. Bien sûr, en bon patriote, il ne voulait pas admettre que le Canada et la Suisse ne sont ni les États-Unis, ni la France. Les morts par balles dans les deux premiers pays sont de 0,05 par armes à feu recensées, 3 par famille. Alors que dans les deux autres : US, 43 morts par calibres pour 9 flingues par famille, France : 10 dessoudés par artillerie portable pour 0.2 pétoires par famille. La bêtise n'est pas répartie uniformément sur la planète et quand la guerre éclate, on est toujours pris au dépourvu car les politiciens la préparent entre eux soigneusement, sans nous en informer. Maintenant le film est un des plus beaux chefs-d’œuvres de Cecil B. DeMil en dehors des "Dix Commandements". Ses couleurs, ses images sont magnifiques, tandis que les histoires et les destins croisées présentés par un scénario en béton sont passionnants. James Stewart tient une de ses compositions les plus touchantes et les plus pures de sa carrière, tandis que Charleton Heston, fidèle à lui-même suit la route sans faiblir un instant. Dommage que les écrans et les techniques actuelles soient réservées à des daubes sans précédents dans l'histoire artistique humaine depuis le théâtre grec. Des films comme cela me manquent vraiment sur l'écran de mon cinéma préféré loin des mastiqueurs de pop-corn et des perpétuels téléphonistes sur mobiles chinois à obsolescence programmée ...
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18 103 critiques
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0,5
Publiée le 8 mai 2021
Ce n'est peut-être pas le pire film à avoir remporté un prix mais il s'en approche. En fait à bien y réfléchir c'est probablement le pire film à avoir remporté le prix du meilleur film. Pourtant on pourrait s'attendre à ce que ce soit un film qui en vaille la peine. Il n'a presque aucune profondeur et n'est qu'une suite de scènes si on peut les appeler ainsi. Le jeu des acteurs n'est pas spectaculaire mais il est intéressant de voir Charlton Heston dans son premier rôle principal. J'ai trouvé beaucoup de personnages et le ton du film ennuyeux après un certain temps. Ce que j'ai beaucoup aimé c'est James Stewart dans le rôle du clown philosophe. Il a sauvé le film en lui donnant une couche supplémentaire dont il avait bien besoin. Malheureusement après Stewart il n'y avait pas grand-chose d'autre. La mise en scène du très respecté Cecil DeMille était inexistante. L'aspect était très bon par moments mais il ne générait pas ce sentiment magique que les classiques doivent avoir. L'écriture était en fait assez bonne compte tenu de la superficialité de la majeure partie du film. Il n'y a aucune profondeur aucune tentative valable de tirer des émotions du public et tout simplement aucune valeur artistique. Et puis bien sûr les nombreux trous dans l'intrigue tout au long du de l'histoire. Constamment ennuyeux et frustrant j'ai même eu le sentiment qu'une grande partie de ce que je regardais n'était pas seulement une représentation inexacte de la vie du cirque mais plutôt le contraire de ce qu'elle est réellement. Je ne comprends pas pourquoi ce film a remporté le prix du meilleur film mais ce n'est pas la première ou la dernière fois que les Oscars font une erreur...
un film de plus de 2h20 qui franchement se regarde oui a quel que bon passage mais qui sincèrement beau pas toujours intéressant les 20 voir 25 dernière minute de film sont fortes, intense , qualité, et ruche en émotion ce qui nous a pas était livrer durant les autres minute du film car beaucoup de passage sont inutile, n'apporte rien à l'histoire et font perdre un temps précieux au film . Des animaux des numéro bon plutôt plaisant à regarder. James Stewart méconnaissable dans sont rôle et un Charlton Heston qui a arrêter sont char de ben hur pour être patron de cirque et diriger tous ce petit monde a la baguette, ce deux grand acteur sont excellent dans leur rôle respectif.
résumer ; Le manager d'un grand cirque engage un nouveau trapèziste, meilleur que la belle Holly pourtant amoureuse du grand patron. Mais s'ensuit des intrigues amoureuses et policières qui nuiront au cirque en question.
Cecil B. DeMille était connu pour ses fresques épiques telles "Les Dix Commandements" ou "Sanson et Dalila", avec "Sous le plus grand chapiteau du monde", il nous entraîne dans le monde du cirque pour un mélodrame pas passionnant pour un sou où se mêlent intrigues amoureuses lourdes, des rivalités entre artistes anecdotiques et tout un tas de sous-intrigues qui n'apportent pas grand chose comme celle avec James Stewart. Bref, c'est tellement lourd dans tous les départements que je n'ai pris que peu de plaisir sur ces longues 150 minutes.
Cecil B.DeMille rend un sublime hommage au monde du cirque à travers cette production à grand spectacle réjouissante et grandiose, portée par un casting solide, et récompensée par l’Oscar du meilleur film. 3,75
Film à très grand spectacle sur un cirque hors norme, « sous le plus grand chapiteau du monde » vaut surtout pour ces divers numéros de cirque spectaculaires, son bestiaire et la variété de ses personnages. Mais d’une manière générale le film a quand même vieilli. Les acteurs sur jouent, le trait de beaucoup de personnage est grossier et la voix off est franchement lourde. Les deux heures et demie passent cependant très bien, c’est un bel hommage au cirque et à ses artistes mais aussi une illustration du cinéma américain de cette époque.
Sans doute le plus beau film sur le cirque de toute l'histoire du cinéma.Un immense metteur en scène,des figurants professionnels animaux compris (les éléphants)comme il n'est plus possible d'en trouver,des moyens techniques à la hauteur du reste (accident des trains)des hommes beaux comme des Dieux (Heston et Wilde)des femmes qui ne pensent qu'aux hommes et l'amour fou qui va jusqu'au meurtre. Tout est réuni pour un grand mélo dans un décors hors du commun.De Mille ne nous laisse jamais le moindre répit et quelques plans baignent d'émotion(dialogue entre Patoche et sa mère)...Difficile de ne pas être heureux devant ce spectacle.
J'ai voulu voir du grand spectacle mais j'y ai trouvé beaucoup d'ennui dans cet étalage luxueux de morceaux de cirque. Je ne parle même pas des intrigues qui sont plutôt lassantes et banales comme tout. Des dialogues également niaiseux. Le péplum avait meilleure allure je trouve.