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Note moyenne
3,9
24 titres de presse
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CinemaTeaser
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Elle
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L'Obs
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Les Echos
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Les Inrockuptibles
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20 Minutes
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Critikat.com
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Ecran Large
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GQ
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Le Journal du Geek
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Le Parisien
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Libération
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Mad Movies
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Première
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Télé 7 Jours
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Télérama
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Voici
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aVoir-aLire.com
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LCI
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Le Monde
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Marianne
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Télé Loisirs
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La Croix
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Paris Match
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
CinemaTeaser
Les meilleurs films de David Fincher ne sont pas toujours ceux que l’on croit : la preuve avec The Killer, petit film d’exploitation en apparence qui cache une bombe à fragmentation aux échos indélébiles.
Elle
Un thriller redoutablement efficace porté par Michael Fassbender qui n'a jamais été aussi bon depuis Hunger.
L'Obs
Un polar ultra-efficace et passionnant.
Les Echos
Film énigmatique et classieux, portrait d'un ouvrier du meurtre, « The Killer » raconte aussi son époque.
Les Inrockuptibles
Œuvre assez radicale, “The Killer” est au film de tueur à gages ce que “Jeanne Dielman” est à la figure de la femme au foyer : la lente et austère description d’un quotidien millimétré mais soudain perturbé par un grain de sable dans la machine, qui débouche sur un progressif et insupportable déraillement.
20 Minutes
Un film brillant.
Critikat.com
Sous ses apparats de série B, The Killer dessine un monde hyperconnecté partageant, de Paris à la République dominicaine, une valeur commune : le déchet.
Ecran Large
Derrière le simple film de vengeance tendance série B, The Killer dépoussière le genre. David Fincher y décortique notre illusion permanente du contrôle sur nos vies au coeur d'un système ultra-connecté épiant et compromettant le moindre de nos mouvements. Fascinant, glaçant et brutal.
GQ
Cette ambiguïté permanente, entre deux mondes qui se cannibalisent, entre la froideur lisse de l'imagerie high-tech et la dégueulasserie de l'humain, mais aussi au sein de ce récit ultra-balisé qui multiplie les sorties de piste inattendues, permet à The Killer d'échapper aux cadres du genre qui le fondent.
Le Journal du Geek
Moins une série B qu'une réflexion sur notre capacité à contrôler ce qui nous entoure, le film est une maestria technique et narrative qui se permet de s'écrouler par moment pour se relever avec fracas deux minutes plus tard. Un des meilleurs films de l'année.
Le Parisien
Portrait glaçant d’un assassin glacial doublé d’une course contre la montre autour du monde, le nouveau film du réalisateur de « Seven » impressionne par la maestria de sa mise en scène. Un peu moins par son manque de fond.
Libération
Le réalisateur de «Seven» et «Fight club» déploie sur Netflix sa maîtrise glacée et de celle d’un tueur à gages dans un long métrage intelligent sur et contre le spectateur.
Mad Movies
Une série B de luxe, somme toute assez classique, mais qui procure un plaisir de cinéma d'une rare intensité.
Première
Adaptant une BD française, Fincher plonge dans la tête d'un tueur à gages en pleine crise d'identité et signe un délectable thriller sarcastique. Un néo-Samouraï piraté par le mauvais esprit du Fight Club.
Télé 7 Jours
S’il souffre d’un récit mécanique, divisé en chapitres, ce film de vengeance, a priori banal, prend toutefois intelligemment à revers les codes du genre.
Télérama
Le réalisateur de “Seven” et “Fight Club” réussit un film subtil et déroutant, où excelle Michael Fassbender en génie du crime insensible et compulsif.
Voici
La précision remarquable de mise en scène, habituelle chez Fincher, assoit une ambiance presque mélancolique dont émerge un humour à froid redoutable et une rage non dissimulée à l'égard de notre époque néolibérale.
aVoir-aLire.com
Une œuvre exigeante et un point de bascule dans la carrière du cinéaste.
LCI
Malgré toute l'admiration qu'on peut avoir pour David Fincher, ce cousin intello-chic de John Wick n'est pas totalement à la hauteur de ses chefs d’œuvre. La faute à une intrigue trop linéaire, des seconds rôles un peu faiblards, hormis l'apparition jouissive de Tilda Swinton, et une conclusion un brin bâclée. Reste que grâce à sa classe visuelle et son humour noir bien dosé (...).
Le Monde
The Killer est un objet mat, qui fonctionne rondement, mais qui passe son temps à se le prouver, d’où l’omniprésence d’ustensiles électroniques, de signaux, d’émetteurs et de récepteurs, le tout ressemblant à un grand test de matériel.
Marianne
Incarnée par un Michael Fassbender plus glacial que jamais, cette fiction ultra-référencée impressionne par son savoir-faire, mais laisse un rien sceptique quant à ses intentions et son contenu.
Télé Loisirs
Un thriller étrangement atone, manquant parfois d'incarnation, mais rehaussé par son ironie mordante et l'interprétation impeccable d'un Michael Fassbender froid comme la mort.
La Croix
Il aurait fallu un peu plus d’humour ou de folie pour que l’on s’intéresse au déraillement de cette belle machine qu’est son tueur professionnel. Entre un Michael Fassbender dénué de toute expression et une mise en scène qui se prend trop au sérieux, le film ne parvient qu’à distiller de l’ennui.
Paris Match
Un exercice de style foisonnant, mais pas vraiment à la hauteur de la maestria de son auteur.