Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CNews
par La rédaction
Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sans chronologie particulière, dans un désordre narratif correspondant au désordre traumatique, au flottement cotonneux de l’état de choc et de sidération, le drame sensible d’Isaki Lacuesta explore le labyrinthe psychologique complexe de Ramón González et de sa compagne.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Noémie Merlant et Nahuel Pérez Biscayart font entrer en scène des fantômes qui n’ont jamais cesser de nous hanter.
Le Parisien
par La Rédaction
Les immenses prestations qu’y livrent Nahuel Perez Biscayart et Noémie Merlant contribuent à en faire un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Julien Rousset
Bien que maladroit, inégal, le film d'Isaki Lacuesta saisit avec justesse la solitude irrémédiable des victimes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Ce film-témoignage évoque, avec beaucoup de pudeur, sans jamais sombrer dans le mélo racoleur, le traumatisme des victimes et leur gestion intime de cette épreuve qui les a percutés tous différemment.
Télérama
par Cécile Mury
Impossible de ne pas penser au récent Revoir Paris, d’Alice Winocour, qui traitait un sujet identique, avec moins de longueurs, mais autant de sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Hélas, ce récit cathartique peine à émouvoir, et s’avère fastidieux avec ses longueurs et ses dialogues démonstratifs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Filmés la majeure partie du film en caméra portée, les personnages agissent chacun selon le registre qui lui a été d’emblée assigné. Cette absence de point de vue qui abandonne le film à son mode binaire nuit à la puissance du propos. Et ne fait, hélas, que rendre plus visibles les faiblesses de la réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Adapté du récit du rescapé du Bataclan, un film par endroits pertinent, mais au minimum maladroit dans sa représentation des événements.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
À part la mise en scène à bonne distance de l’attentat qui montre la terreur sans tomber dans le voyeurisme, le film ne laisse jamais véritablement de trace.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le film semble étrangement faire du sur-place, tournant et retournant autour de son nœud central, comme impuissant à l’appréhender.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
La comparaison avec Revoir Paris joue en sa défaveur malgré la justesse du duo Noémie Merlant - Nahuel Pérez Biscayart.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Long, trop long, souvent complaisant, Un an, une nuit ressemble à un tableau clinique du stress post-traumatique dans une mise en scène et un montage étonnamment sensationnalistes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
[...] Isaki Lacuesta se penche sur le quotidien d'un couple franco-espagnol durant les mois qui ont suivi les attentats du 13 novembre 2015 [et où] chacun fait face à sa manière au traumatisme subi. [...] Le problème est qu'une fois cette dichotomie établie, les personnages n'évoluent qu'à peine, les positions redondantes de chacun se transforment vite en clichés.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce n’est pas le parcours ni la psychologie des personnages – très crédibles Noémie Merlant et Nahuel Pérez Biscayart – qui posent problème, mais la manière dont le film rejoue le fameux soir de l’intérieur de la salle à coups de flash-back progressifs entretenant un vague suspense.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Certes, le calendrier des sorties ne joue pas en faveur de ce film espagnol, adapté des mémoires d’un survivant du Bataclan. Mais l’ombre d’Amanda et de Revoir Paris écrase ce récit autour d’un couple de rescapés de cette funeste nuit de novembre 2015 tentant de se reconstruire chacun à sa manière, lui en extériorisant, elle dans le déni.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNews
Bouleversant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sans chronologie particulière, dans un désordre narratif correspondant au désordre traumatique, au flottement cotonneux de l’état de choc et de sidération, le drame sensible d’Isaki Lacuesta explore le labyrinthe psychologique complexe de Ramón González et de sa compagne.
Le Dauphiné Libéré
Noémie Merlant et Nahuel Pérez Biscayart font entrer en scène des fantômes qui n’ont jamais cesser de nous hanter.
Le Parisien
Les immenses prestations qu’y livrent Nahuel Perez Biscayart et Noémie Merlant contribuent à en faire un grand film.
Sud Ouest
Bien que maladroit, inégal, le film d'Isaki Lacuesta saisit avec justesse la solitude irrémédiable des victimes.
Télé 7 Jours
Ce film-témoignage évoque, avec beaucoup de pudeur, sans jamais sombrer dans le mélo racoleur, le traumatisme des victimes et leur gestion intime de cette épreuve qui les a percutés tous différemment.
Télérama
Impossible de ne pas penser au récent Revoir Paris, d’Alice Winocour, qui traitait un sujet identique, avec moins de longueurs, mais autant de sensibilité.
Le Journal du Dimanche
Hélas, ce récit cathartique peine à émouvoir, et s’avère fastidieux avec ses longueurs et ses dialogues démonstratifs.
Le Monde
Filmés la majeure partie du film en caméra portée, les personnages agissent chacun selon le registre qui lui a été d’emblée assigné. Cette absence de point de vue qui abandonne le film à son mode binaire nuit à la puissance du propos. Et ne fait, hélas, que rendre plus visibles les faiblesses de la réalisation.
Les Fiches du Cinéma
Adapté du récit du rescapé du Bataclan, un film par endroits pertinent, mais au minimum maladroit dans sa représentation des événements.
Les Inrockuptibles
À part la mise en scène à bonne distance de l’attentat qui montre la terreur sans tomber dans le voyeurisme, le film ne laisse jamais véritablement de trace.
Libération
Le film semble étrangement faire du sur-place, tournant et retournant autour de son nœud central, comme impuissant à l’appréhender.
Ouest France
La comparaison avec Revoir Paris joue en sa défaveur malgré la justesse du duo Noémie Merlant - Nahuel Pérez Biscayart.
aVoir-aLire.com
Long, trop long, souvent complaisant, Un an, une nuit ressemble à un tableau clinique du stress post-traumatique dans une mise en scène et un montage étonnamment sensationnalistes.
Cahiers du Cinéma
[...] Isaki Lacuesta se penche sur le quotidien d'un couple franco-espagnol durant les mois qui ont suivi les attentats du 13 novembre 2015 [et où] chacun fait face à sa manière au traumatisme subi. [...] Le problème est qu'une fois cette dichotomie établie, les personnages n'évoluent qu'à peine, les positions redondantes de chacun se transforment vite en clichés.
L'Obs
Ce n’est pas le parcours ni la psychologie des personnages – très crédibles Noémie Merlant et Nahuel Pérez Biscayart – qui posent problème, mais la manière dont le film rejoue le fameux soir de l’intérieur de la salle à coups de flash-back progressifs entretenant un vague suspense.
Première
Certes, le calendrier des sorties ne joue pas en faveur de ce film espagnol, adapté des mémoires d’un survivant du Bataclan. Mais l’ombre d’Amanda et de Revoir Paris écrase ce récit autour d’un couple de rescapés de cette funeste nuit de novembre 2015 tentant de se reconstruire chacun à sa manière, lui en extériorisant, elle dans le déni.