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Superbe film esthétiquement parlant, avec un casting de fou qui le laisse pas le spectateurs sans avis. Le film est doux autant dans l'esthétique que dans l'histoire avec quelques scènes d'humour bien placée
Tout comme dans la vieille pub pour un célèbre soda des années 80, Asteroïd City a le goût d'un film de Wes Anderson, la saveur d'un film de Wes Anderson , le visuel et l'interprétation d'un film de Wes Anderson...et d'ailleurs c'est bien un film de Wes Anderson. Sauf que, contrairement à ses précédents, derrière son formalisme reconnaissable entre mille, il semble être cette fois complètement creux à l'intérieur.
En vérité il se passe malheureusement un peu ce qu'on craignait avec ce sympathique réalisateur et qu'on entrevoyait déjà dans son précédent film The French Dispatch: il commence à s'autoparodier.
Wes Anderson ayant un style bien à lui, la tentation de jouer la dessus pouvait effectivement être forte. Et donc bingo, par facilité ou par narcissisme (ou les deux à fois) le prodige nous fait donc un film "à la Wes Anderson" , comme en toute logique seul lui saurait le faire. Le souci c'est que dans son entreprise cinématographico-artisanale qu'il déroule tambour battant avec son casting de stars habituel : il a juste oublié un ingrédient essentiel: l'émotion.
Car on s'en fiche complètement de ses personnages et je ne vais même pas me fatiguer à vous raconter l'histoire (vous lirez le synopsis) . A aucun moment on se sent proche ou vraiment concerné par ce qui se passe à l'écran. Les événements montrés ont beau être "farfelus" ou "déjantés" ils demeurent ennuyeux. Le film ne manque pas d'imagination ou de rythme, il manque d'empathie avec le spectateur, un peu comme un autiste qui malgré ses discours et son énergie ne parviendrait pas à partager son riche univers intérieur avec d'autres personnes.
Pourtant l'émotion Wes Anderson est bien arrivé à nous en apporter dans son meilleur film The Grand Budapest Hôtel qui nous semble bien loin déjà. La aussi l'histoire était finalement futile et déjantée, la aussi le style était franchement cartoonesque, mais il y avait autre chose (et pas seulement le superbe Ralph Fiennes à la place des bien fades Tom Hanks et Jason Schwartzmann). Autre-chose que le réalisateur semble avoir provisoirement perdu et qu'il retrouvera bientôt on espère.
En vérité il se passe malheureusement un peu ce qu'on craignait avec ce sympathique réalisateur et qu'on entrevoyait déjà dans son précédent film The French Dispatch: il commence à s'autoparodier.
Wes Anderson ayant un style bien à lui, la tentation de jouer la dessus pouvait effectivement être forte. Et donc bingo, par facilité ou par narcissisme (ou les deux à fois) le prodige nous fait donc un film "à la Wes Anderson" , comme en toute logique seul lui saurait le faire. Le souci c'est que dans son entreprise cinématographico-artisanale qu'il déroule tambour battant avec son casting de stars habituel : il a juste oublié un ingrédient essentiel: l'émotion.
Car on s'en fiche complètement de ses personnages et je ne vais même pas me fatiguer à vous raconter l'histoire (vous lirez le synopsis) . A aucun moment on se sent proche ou vraiment concerné par ce qui se passe à l'écran. Les événements montrés ont beau être "farfelus" ou "déjantés" ils demeurent ennuyeux. Le film ne manque pas d'imagination ou de rythme, il manque d'empathie avec le spectateur, un peu comme un autiste qui malgré ses discours et son énergie ne parviendrait pas à partager son riche univers intérieur avec d'autres personnes.
Pourtant l'émotion Wes Anderson est bien arrivé à nous en apporter dans son meilleur film The Grand Budapest Hôtel qui nous semble bien loin déjà. La aussi l'histoire était finalement futile et déjantée, la aussi le style était franchement cartoonesque, mais il y avait autre chose (et pas seulement le superbe Ralph Fiennes à la place des bien fades Tom Hanks et Jason Schwartzmann). Autre-chose que le réalisateur semble avoir provisoirement perdu et qu'il retrouvera bientôt on espère.
Encore un film à l'esthétique incomparable... Avec ses mystères et ses multiples interprétations... Merci Wes Anderson !
Grand fan du "Grand Budapest Hotel", j'hésite pas une seule seconde à aller voir une autre pépite de Wes Anderson. Cela dit, durant ce film, mes yeux ont perdu toute envie de voir ce qu'il y avait devant moi. Je cherchais à aimer le film mais jusqu'à la fin je suis resté bloqué sur mon siège avec une sensation de vide et de manque cruel de contenu. J'ai vu une maison de poupées sans qu'aucun enfant puisse y jouer. Le manque de connexions gâche les décors magnifiques et les musiques qui vous font rentrer dans le monde du film. Ce choc semble être présent dans la plupart des gens puisque nous sommes restés 10min après la fin du film en attente de peut-être d'un miracle digne des plus grands. Pour conclure, je pense que c'est un film à double tranchant, le film est pas sympa mais vous offre une expérience irréelle par rapport aux autres films. Une sensation d'incompréhension qui vous fera demander ce que vous êtes dans votre vie. Les deux étoiles sont pour la production du film et les 3 qui manquent sont pour faute de contenu. Anderson devrait préparer mieux son bac l'année prochaine.
J'ai beaucoup aimé ce film mais je peux comprendre qu'on puisse passer à côté.
C’est un film sur le vide, vide des émotions, vide des paysages, vide de notre société actuelle ?
Également j'ai adoré l'histoire dans l'histoire de l'histoire, une mise en abime, où s'interroger sur l'histoire jouée, s'interroger sur son soi, devient comme un puzzle burlesque.
Wes Anderson est maître pour créer des métaphores de nos conditions humaines de façon onirique et même complétement "déjantée".
Certains peuvent penser l'arrivée de l'Alien nulle mais pour moi elle est vraiment une réflexion sur nos rapports avec l'inconnu. C'est ça que j'aime dans le cinéma de Wes Anderson, il nous interroge sans nous projeter dans nos attentes.
Ils jouent avec notre 6e degré d’analyses.... Ne pas rester ancré sur " que cela veut-il dire ? " mais plutôt " est-ce que cela me touche ". Et c'est pour ça que "aimer" ou "ne pas aimer "un film reste subjectif car chacun est touché ou non...
La photo reste magique et inégalée pour moi au ciné. Merci M. Anderson de nous faire encore rêver et partir dans des contrées jamais visitées :)
C’est un film sur le vide, vide des émotions, vide des paysages, vide de notre société actuelle ?
Également j'ai adoré l'histoire dans l'histoire de l'histoire, une mise en abime, où s'interroger sur l'histoire jouée, s'interroger sur son soi, devient comme un puzzle burlesque.
Wes Anderson est maître pour créer des métaphores de nos conditions humaines de façon onirique et même complétement "déjantée".
Certains peuvent penser l'arrivée de l'Alien nulle mais pour moi elle est vraiment une réflexion sur nos rapports avec l'inconnu. C'est ça que j'aime dans le cinéma de Wes Anderson, il nous interroge sans nous projeter dans nos attentes.
Ils jouent avec notre 6e degré d’analyses.... Ne pas rester ancré sur " que cela veut-il dire ? " mais plutôt " est-ce que cela me touche ". Et c'est pour ça que "aimer" ou "ne pas aimer "un film reste subjectif car chacun est touché ou non...
La photo reste magique et inégalée pour moi au ciné. Merci M. Anderson de nous faire encore rêver et partir dans des contrées jamais visitées :)
Asteroid City. De Wes Anderson.
D'habitude j'apprécie ce que fais ce réalisateur. Mais ici il a vraiment fait un film qui peut s'avérer totalement hermétique pour le spectateur. C'est l'exemple même du réal qui n'a visiblement eu personne pour lui faire des retours sur ce qu'il était en train de faire. Et encore moins de la part de ses acteurs qui sont je pense très content d'avoir la sensation de faire du cinéma indépendant expérimental.
C'est un film totalement plat, avec de jolis cadres très composés et une photographie, un décor très maîtrisés, et des acteurs qui font bien leur job. Mais alors, c'est d'une émotion sous le zéro.
Il n'y a rien qui passe, juste un vague sentiment d'être intrigué par ce que l'on voit à l'écran. Il faut être prévenu que la plupart des dialogues sont une accumulation de nom propres ou de termes techniques assez compliqués, et que du moindre enfant aux adultes, tout le monde parle plus ou moins comme un autiste brillant. Il s'ensuit alors un flot de paroles incessant et souvent pas suffisamment compréhensible ou tout simplement abscons, n'apportant pas grand chose émotionnellement mais pas forcément non plus en terme d'intrigue. D'ailleurs je mets au défis n'importe qui d'arriver à dire dans une scènes avec plus de trois acteurs dans ce film, qui est qui, de quoi ils parlent et de pouvoir orthographier leurs noms...je doute que ça marche.
C'est vraiment dommage car tout était réuni pour en faire un film léger, poétique et original, et c'est tout le contraire! Le pire étant peut être que l'on a la sensation que son réalisateur pense nous avoir fait rire, nous avoir ému à certains moments...alors que non, rien ne va.
Un film à l'image de ce BIP-BIP qui traverse le film de façon incongrue jusqu'au générique de fin, et qui n’aboutit sur aucune idée intéressante. Et pourtant étrangement en toile de fond, il y a de très nombreux thèmes abordés, mais cela aurait certainement fait un meilleur petit roman que cette chose.
En fait l'on a juste l'impression d'assister à une conférence de Stephen Hawking. C'est vaguement fascinant, mais laborieux et au final assez chiant, même si l'on a essayé de s'enthousiasmer.
D'habitude j'apprécie ce que fais ce réalisateur. Mais ici il a vraiment fait un film qui peut s'avérer totalement hermétique pour le spectateur. C'est l'exemple même du réal qui n'a visiblement eu personne pour lui faire des retours sur ce qu'il était en train de faire. Et encore moins de la part de ses acteurs qui sont je pense très content d'avoir la sensation de faire du cinéma indépendant expérimental.
C'est un film totalement plat, avec de jolis cadres très composés et une photographie, un décor très maîtrisés, et des acteurs qui font bien leur job. Mais alors, c'est d'une émotion sous le zéro.
Il n'y a rien qui passe, juste un vague sentiment d'être intrigué par ce que l'on voit à l'écran. Il faut être prévenu que la plupart des dialogues sont une accumulation de nom propres ou de termes techniques assez compliqués, et que du moindre enfant aux adultes, tout le monde parle plus ou moins comme un autiste brillant. Il s'ensuit alors un flot de paroles incessant et souvent pas suffisamment compréhensible ou tout simplement abscons, n'apportant pas grand chose émotionnellement mais pas forcément non plus en terme d'intrigue. D'ailleurs je mets au défis n'importe qui d'arriver à dire dans une scènes avec plus de trois acteurs dans ce film, qui est qui, de quoi ils parlent et de pouvoir orthographier leurs noms...je doute que ça marche.
C'est vraiment dommage car tout était réuni pour en faire un film léger, poétique et original, et c'est tout le contraire! Le pire étant peut être que l'on a la sensation que son réalisateur pense nous avoir fait rire, nous avoir ému à certains moments...alors que non, rien ne va.
Un film à l'image de ce BIP-BIP qui traverse le film de façon incongrue jusqu'au générique de fin, et qui n’aboutit sur aucune idée intéressante. Et pourtant étrangement en toile de fond, il y a de très nombreux thèmes abordés, mais cela aurait certainement fait un meilleur petit roman que cette chose.
En fait l'on a juste l'impression d'assister à une conférence de Stephen Hawking. C'est vaguement fascinant, mais laborieux et au final assez chiant, même si l'on a essayé de s'enthousiasmer.
RealPrime
Compétition officielle Cannoise en Mai dernier, il est le premier de l'Américain Wes Anderson que je découvre (à ne pas confondre avec l'autre américain Paul Wes Anderson tant le style et registre est royalement opposé). Au départ présenter comme un "biopic" sur cette petite ville désertique ou essais nucléaires et concours de jeunes inventeurs se côtoyaient durant les années 60, cette 1h45 fut bien plus voir uniquement une bien longue corvée d'échanges verbaux interminable sans grand intérêt entre le casting XXL mené par Tom Hanks, Scarlett Johansson, Maya Hawke et autre Bryan Cranston. Des échanges personnellement lourds, sans intérêts et ne sauvant guère la lourdeur d'un récit sans âme ou le seul et unique point fort fut l'incroyable qualité rétro et flashy des décors et costumes. Pour le cast, je n'aurai donc profité que de Tom, Scarlett et Mya dont ma première découverte en v.o. fut très sympas. Les séquences noir et blanc en hommage aux pièces théâtrales de Broadway furent aussi incomprises que personnellement inutile au récit. La photographie hyper robotique et répétitive est, si c'en est la cas, la marque de fabrique d'Anderson, ne me donne aucunement envie d'en découvrir ses précédentes œuvres encore plus s'il n'y à comme ici, 0 musique, 0 dynamisme pour 0 envie (malgré même le rôle titre du légendaire Ralph Fiennes dans "Grand Budapest Hôtel"). Même sans attentes particulières pour cette affiche "évènement" du Festival 2023 que la presse nous vendait comme : "toute actrice et acteur se jette à chaque fois dans les productions de Wes pour son talent...", je n'arrive pas à cerner le pourquoi du comment. Un récit long et mou malgré un excellent visuel et une très belle affiche avec son cast grandiose ne sauvant finalement rien.
La moitié des personnes sont sorties de la salle...
Film prétentieux et d'un ennui mortel. Certes les acteurs sont bons et l'esthétique est au rendez vous mais ça ne suffit pas à en faire un bon film. L'intrigue est incompréhensible, il fallait commencer par là.
Film prétentieux et d'un ennui mortel. Certes les acteurs sont bons et l'esthétique est au rendez vous mais ça ne suffit pas à en faire un bon film. L'intrigue est incompréhensible, il fallait commencer par là.
En 1947 dans le Nouveau Mexique, une soucoupe volante s'est écrasée...ça c'est l'histoire avec un grand H. Il semble que le film de Wes Anderson, soit l'histoire de l'adaptation en série télévisée de ce fait divers.....la série est actée en 1999....J'ai trouvé de la magie dans ce film, une immense poésie de couleurs, de dialogues, d'images et de musique....Ne vous laissez pas dérouter par le scénario, et la complexité du script, de l'histoire.....Laissez vous portez par la poésie......C'est un moment privilégié de cinéma mettant en abime l'idée de cinéma dans les années cinquante...Un petit bijou, si l'on ne cherche pas à comprendre les personnages, le surréalisme ambiant de ce lieu où sont apparus des extraterrestres....Laissez vous portez donc, par le couleur, le lieu, le technicolor daté, mais chatoyant, la féérie des personnages, tous plus excentriques les uns que les autres...Cela va à cent à l'heure..Et quel bonheur cette distribution de visages grimés mais connus ( citons Jason Schwartzman (un habitué de Wes Anderson ( Darjeeling express)), Scarlett Johannson ( le charme), Tom Hanks ( l'expérience), Tilda Swinton , Edward Norton ( encore un habitué) Adrien Brody, Steve Carell ( manager du motel), Matt Dillon ( Mechanic, ami de Coppola), Willem Dafoe et d'autres visages déjà rencontrés chez Wes Anderson), Rien qu'avec ça j'ai pris mon pied, et je suis resté contempler le grand écran, dans une sorte. de catharsis sur le monde des séries télévisées, Mais ceci dit en croisant le regard de cette adolescente à la fin de al séance, c'est elle qui cherchait apparemment les clés du film;. ça aussi ne cherchez pas, laissez vous porter, ce sera la conclusion, de ce film , le plus complexe de Wes Anderson, mais qui vous fera rajeunie de dix ans, si vous en acceptez la poésie et l'innocence des images;. Je conseille, mais pas pour les esprits trop rationnels....
Film pas bon, auto critique pied dans le cactus, techniquement bon même si certains changements de plans donnent l’envie de vomir.
Du wes anderson comme on l’aime, un film efficace avec des beaux plans sur absolument tout le film .
Une cata ok le casting est dingo mais personne ne sait pourquoi il est là quel est le propos du film les décors et les costumes qui sont sympa auraient pu être juste un court métrage pourquoi en faire un film sans but sans histoire sans intérêt... d'un ennuis faites attention si vous êtes fatigués ont peut s'endormir d'ennuis.
Wes Anderson ici a choisi de faire un plus petit film que d'habitude. Un film "coquet". Quand le film se finit j'ai eu cette impression de "et ?", "Déjà", "pourquoi ?". Ça ne veut pas dire que c'est nécessairement mauvais mais c'est une sensation un peu déroutante et désagréable. Le film pourtant se voudrait assez ambitieux entre ses 20 personnages, son côté méta, son histoire d'astéroïde. Mais Wes Anderson rigole de ça mais peut être le problème c'est qu'il ne nous fait pas trop rire. On ne comprend rien aux scènes du théâtre qui semblent être pleines de sous entendus métaphoriques, les personnages sont tous des petites poupées sans émotions auquel il est difficile de s'attacher si on ne les a pas créé. Mais le film reste tout de même confortable. C'est joli, c'est simple, ce qui doit arriver arrive (les histoires d'amour), et on n'est pas non plus perdu (en même temps on a pas vraiment envie de s'investir). Encore une fois c'est très joli et le côté maison de poupée trouve ici sa version voyage dans le désert. Tout en couleur et en finesse, Wes Anderson prouve encore une fois qu'il est un maître de l'esthétique ! Bref Astéroïd City n'est pas incroyable mais appréciable, je pense que j'aimerais le revoir en hiver, prêt du feu en sachant que c'est peut être un des Wes Anderson les moins ambitieux et ce n'est pas très grave !
faible , peut faire plus mal!
on dirait que des marmots mal dégourdis racontent une histoire sans intrigue.
laissez les grandir!
eux, ils savent ce qui est drôle !
on dirait que des marmots mal dégourdis racontent une histoire sans intrigue.
laissez les grandir!
eux, ils savent ce qui est drôle !
Une pièce de théâtre en cours de production en noir et blanc , l'histoire qu'elle raconte en couleurs. Un casting dans le casting.
J'ai trouvé cette mise en scène complexe voire totalement incompréhensible ou inutile. Il est clair que le but n'est pas d'être lisible au premier abord mais l'onirisme a ses limites et ici elles me semblent atteintes. Alors oui les acteurs sont super, certaines situations amusantes, mais j'y ai vu une succession de sketchs plus ou moins réussis plutôt qu'un film...
J'ai trouvé cette mise en scène complexe voire totalement incompréhensible ou inutile. Il est clair que le but n'est pas d'être lisible au premier abord mais l'onirisme a ses limites et ici elles me semblent atteintes. Alors oui les acteurs sont super, certaines situations amusantes, mais j'y ai vu une succession de sketchs plus ou moins réussis plutôt qu'un film...
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