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    Asteroid City
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    307 critiques spectateurs

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    francoisjhn
    francoisjhn

    30 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2023
    J'aimerais pouvoir faire une critique constructive, avec les + et les -. Mais c'est nul. Nul, nul, nul. Le casting, ok, sauve les meubles. Mais le scénario, la cohérence, l'écriture, le visuel, rien ne va.
    Hélène D.
    Hélène D.

    32 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 juin 2023
    Immense déception sur ce film, dès le devis on sent que ça va être compliqué , qu’il va y avoir trop de personnages. C’est soporiphique (je me suis endormie!) . On attend toujours une belle surprise de wes anderson et la c’est un cauchemar. Plusieurs spectateur sont quitte la salle. On s’ennuie. Le casting ne sauve pas le film. L’histoire est bancale. Manque de simplicité.
    Labaigt de Bonaparte
    Labaigt de Bonaparte

    15 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Dans un décor peu élaboré on a du mal à apprécier le film par les différentes séquences coupées par des épilogues en noir et blanc; avec un humour plutôt fade on appréciera toujours le concept de l'Amérique spatiale des années 50 mais Tom Hanks n'a plus la vigueur d'autrefois.
    gene B.
    gene B.

    10 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2023
    On aime ou on n'aime pas...
    C'est drôle, farfelu, très décousu...
    Pour capter toutes les subtilités,il faut s'accrocher, le rythme est terriblement soutenu...
    Il faudra le revoir...ou pas.
    cortomanu
    cortomanu

    79 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juin 2023
    Le style, l'esthétique, la mise en scène, les références de W.Anderson en font le chouchou des cinéphiles, étudiants en cinéma où arts appliqués.
    La construction de ses films, scénarios et dialogues fascinent les intellos où ceux qui aspirent à l'être.
    Je fais un peu partie de ce public.
    Ça ne m'empêche pas de constater que depuis un moment son cinéma s'auto parodie et tourne autant en boucle qu'à vide et n'a pas grand chose à dire.
    Il faudrait qu'un jour il se décide à faire un film et arrête d'admirer son nombril.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    711 abonnés 3 096 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Asteroid City représente, de façon paradoxale, la peur panique qu’éprouvent tous ses personnages pour le vide – absence d’un être cher, moment de transition entre deux rôles et de création pour un dramaturge, désert américain qui semble arrêter la marche du temps – par une surcharge permanente d’effets de style et de mouvements de caméra associés : comment dès lors éprouver ce vertige ? réduit à l’état abstrait de thématique verbeuse, ce dernier se heurte au balisage inutile du récit avec découpage en actes et en scènes, unités de lieux et de temps, ainsi qu’à la maîtrise démiurgique d’une mise en scène qui écrase ses êtres et ses enjeux sous des vignettes par ailleurs magnifiquement composées, la photographie étant une fois encore sublime.
    La volonté d’investir le confinement, par la quarantaine imposée à la bourgade, emprunte à diverses œuvres de science-fiction, depuis E.T. et ses tunnels (Steven Spielberg, 1982) jusqu’à la chanson mémorable de Mars Attacks! (Tim Burton, 1996) ; pour autant, elle atrophie la révolte de fantoches dévitalisés, réduits à leur fonction sociale – l’un est grand-père, l’autre photographe de guerre, l’une est scientifique en charge de l’observatoire, l’autre maîtresse d’école – sans que les circonstances ne conduisent à une implosion. L’irruption répétée de l’alien surprend moins que la végétation des corps dans un décor sans âge ; là réside la prétention auteuriste du film à constamment nous décevoir : Wes Anderson apparaît donc comme un avatar de Jordan Peele qui, dans le récent Nope (2022), s’amusait avec les codes de différents genres (western, science-fiction) et avec nos attentes affiliées ; mais un avatar désabusé de ce cinéaste qui plaçait son geste sous le patronage du spectacle et du collectif, loin du livre de belles images où le cinéma n’est qu’accessoire.
    Ninooon_brt
    Ninooon_brt

    24 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Comme d'habitude je reste insensible aux films de Wes Anderson. J'aurai aimé que la mise en abîme soit plus poussé. Je n'ai trouvé aucun intérêt au film à part ses beaux plans et couleurs. Heureusement que la courte scène avec Margot Robbie était là pour donner un peu d'humanité et de sensibilité à ce film.
    Mobiedck
    Mobiedck

    5 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Si vous hésitez à voir ce film et pensez vous rassurer en lisant ces critiques, n'hésitez plus, cela ne sert à rien. Ce film est reçu tres différemment selon les personnes. Allez le voir et vous saurez.
    En ce qui me concerne, comme l'indique les quatres etoiles alignées au dessus de mon avis j'ai grandement aimé ce film.
    Tout d'abord c'est un film esthétique à la palette de couleur inhabituelle, à la fois haute en couleur et simple. Les acteurs ne sont pas particulièrement beaux mais ils sont beaux à regarder. La caméra capture parfaitement l'essence même de leur personnage et je trouve que ce casting de grosses têtes joue avec brio.
    L'aspect théâtrale du film est très bien dosé, j'ai particulièrement aimé la mise en scène, par exemple dans la scène où le photographe, interpreté par Jason Schwartzman, téléphone à son beau père.
    Le film aborde avec une certaine distance certains sujet importants comme la mort.
    L'atout majeur d'Asteroide City est qu'il a beau être loufoque, on entre dedans plus vite qu'on ne le pense.
    Je suis sortie de ma salle de cinema plus légère que jamais avec l'impression de moi aussi avoir le visage teinté de lumière orange et les vêtements habillés de couleur pastelles.
    Les sorties de Philippe
    Les sorties de Philippe

    53 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juin 2023
    Après avoir été révélé au monde avec le très hilarant The Grand Budapest Hotel (2013), Wes Anderson semble vouloir se couper du grand public, son style loufoque et décalé devient abscons et austère. Son précédent film, The French Dispatch (2021), en devenait carrément barbant. Ce n’est pas le cas d’Asteroid City qui revient à une narration qui capte l’attention : aux USA dans les années 50, un alien vient récupérer l’astéroïde qui a creusé un cratère, mais tout ceci n’est qu’une pièce jouée pour la télévision (mise en abime, le ticket gagnant pour remporter la critique). Dialogues et situations sont un défi permanent à la rationalité, il faut savoir «suspendre son incrédulité» pour en profiter pleinement. Tout le film est une deconstruction des triomphantes années 50 américaines (mais pas sur le mode wokiste, ouf). Chaque plan est minutieusement construit, c’est du théâtre de l’absurde, et c’est très bien fait. Pour amateurs, ou tout à chacun qui veut expérimenter un dépaysement complet pendant une heure trois quarts. Plus d’infos sur mon Instagram "Les sorties de Philippe"
    laurence l
    laurence l

    141 abonnés 1 136 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2023
    En dehors du decort et des acteurs je ne sais pas ce que j'ai vu... Un méli mélo de scènes qui ne se raconte rien de cohérent... Dommage pour un réalisateur qui avait un style à part... Très déçue et des personnes sont sortis de la salle...
    Cinévore24
    Cinévore24

    350 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Le cinéma si singulier de Wes Anderson, on finit par le reconnaître entre mille : une mise en scène très ciselée, millimétrée, avec ses travellings et ses mouvements de caméra horizontaux, ses plans symétriques (à la Kubrick) et son mélange de ratios ; une esthétique haute en couleurs, avec ses vrais/faux décors, sorte de mélange entre les codes du cinéma et du théâtre ; un casting impressionnant, interprétant des personnages absurdes, se tenant droits comme des i et parlant d'une manière étrangement monocorde et rapide.

    Un cinéma qui, à mes yeux, avait atteint son summum avec le superbement délirant et poétique «The Grand Budapest Hotel» (2014). Un cinéma qu'Anderson répète depuis plusieurs années maintenant, et qui, à mes yeux, commence malheureusement à atteindre ses limites.

    Un sentiment de répétition qui commençait déjà un peu à transparaître dans son précédent «The French Dispatch» (revu il y a quelques mois), et qui est encore plus visible dans ce «Asteroid City».

    Alors attention, cette histoire d'une toute petite ville américaine dans les 50's, faisant face au passage aussi furtif que marquant d'un alien puis mise en quarantaine par l'armée, n'est pas un mauvais film, loin de là.

    Au niveau formel, tout est toujours soigné dans ce nouveau décor désertique et jaunâtre, et chaque plan semble ressembler à une œuvre d'art fourmillant de détails et où tout est à sa place. Et on ne va pas se mentir, ce genre de beauté visuelle est devenue rare au cinéma ces dernières années, et elle fait toujours du bien à nos yeux.

    Un bien bel écrin, méticuleusement soigné, mais qui en même temps ne permet jamais vraiment à l'émotion d'émerger tout au long du film.

    Voilà la contradiction principale de Wes Anderson : à vouloir tout maîtriser (mise en scène, jeu, rythme) et ne jamais laisser la place à l'imprévu, tout finit par sembler un peu figé à l'intérieur de son cadre.

    Certes, j'ai pu esquisser quelques sourires durant la projection, notamment grâce à Jason Schwartzman (acteur fétiche d'Anderson) et aux jeunes acteurs du film.
    Mais dans l'ensemble, tout est trop appliqué pour se laisser réellement embarquer dans cette histoire qui tourne assez vite en rond (faite de discussions philosophico-perchées et d'une mise en abyme noir&blanc pas très passionnante), et cela finit par créer une sorte de distance entre le film et le spectateur.

    L'impression d'avoir vu un film du "trop" (à l'image de son long casting, dont on ne perçoit certains que durant quelques secondes) et du "pas assez". Du très bel artisanat, mais qui ne surprend plus vraiment, tellement on finit par connaître la formule.

    L'impression que le cinéaste a trouvé sa zone de confort et ne veut plus vraiment en sortir.
    Le cinéma, à mes yeux, est une histoire de contrôle ET de lâcher-prise. Voilà ce que je souhaite à Anderson pour son prochain film : revenir quelque part à ses premières œuvres, peut-être plus fragiles, mais plus vivantes aussi.
    RedArrow
    RedArrow

    1 683 abonnés 1 538 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juin 2023
    Je ne pensais pas que cela arriverait un jour mais voilà, force est de constater que je sors déçu d'un film de Wes Anderson.

    Déjà, et j'en avais bien conscience, le côté film à sketchs de "The French Dispatch" permettait au génie visuel du metteur scène de l'emporter sur tout le reste, avec le trésor d'un éventail de son style et de son maniérisme pour faire illusion au-delà de segments manquant d'émotions et d'autres arguments impactants (seul des plans du premier d'entre eux, qui arrivait justement à contredire cette impression générale, me sont d'ailleurs restés en mémoire). Mais, vu l'expérience unique que propose Wes Anderson avec son cinéma si atypique, j'avais préféré me faire volontairement piéger par le mirage des articles d'un journal papier ainsi portés à l'écran, les yeux éblouis par la perfection maniaque d'un nombre incroyable de scènes.

    Toutefois, même si Wes Anderson revient aujourd'hui avec un long-métrage en apparence plus centré sur l'histoire d'une cohabitation fantaisiste de personnages suite à la venue d'un alien (ce cadre n'est en réalité qu'une pièce de théâtre dont un présentateur nous dévoile les coulisses durant les interludes), "Asteroid City" tend à confirmer que quelque chose est en train de se gripper au sein de son travail d'orfèvre (du moins, de mon point de vue).

    Pas sur la forme, évidemment. Dans ces décors d'Amérique éternelle figée dans des couleurs pastels, le talent du bonhomme paraît une fois de plus être à son paroxysme, se montrant toujours plus inventif dans un festival de compositions symétriques, de mouvements latéraux et de trouvailles absurdes par l'image qui provoque un émerveillement constant devant la construction d'un univers forcément unique en son genre et vecteur de sourires.
    De la même façon, quand "Asteroid City" s'éloigne de son cadre principal et devient une espèce de satire de la scène théâtrale new-yorkaise des années 50 (on peut y reconnaître un ersatz d'Arthur Miller et d'autres figures incontournables de l'époque) pour servir une approche méta des événements de la pièce, on se régale de la beauté de ces pastilles en noir et blanc, qui épousent elles-mêmes les effets du théâtre, avant de se replonger invariablement à l'intérieur de la bulle colorée et fantasque d'Asteroid City.
    Oui, Wes Anderson est toujours au sommet de son art en termes de cinéma pur... mais "Asteroid City" nous fait demander dans quel but.

    Car, si l'enfermement à ciel ouvert des protagonistes de la pièce est une logique régurgitation de notre propre période ubuesque de confinements, ce monde semble aussi rendre captif tout ce que Wes Anderson a déjà plus ou moins exploré dans ses précédentes oeuvres, où ses héros se voient immobilisés de façon à la fois littérale et existentielle, où la rencontre de diverses dépressions peut déboucher sur quelques étincelles d'espoir, où une jeunesse capable de renverser les conventions établies connaît ses premiers amours, où le spleen côtoie les aspirations innocentes pour montrer avec dérision les vicissitudes de non-sens de la folie humaine... Bref, "Asteroid City" ressemble à un pot-pourri de la filmographie de son auteur avec lequel il ne paraît plus savoir quoi dire de nouveau ou, et c'est le pire, susciter de l'émotion. À l'exception des personnages de Jason Schwartzman (un père photographe prisonnier de la mort sa femme) et de Scarlett Johansson (une simili-Marylin Monroe prise au piège de sa condition), tous deux un peu plus développés et touchants que les autres à travers leurs échanges par les fenêtres de leurs mobil-homes (une des plus belles idées du film), "Asteroid City" ne fait finalement que répéter un peu trop facilement tout ce que l'on tient comme acquis de Wes Anderson sans parvenir à le transcender ni en à dégager la même puissance d'harmonie entre le fond et le génie de la forme qu'auparavant.

    Dès lors, "Asteroid City" se résume à un exercice de style certes magnifique visuellement mais pour lequel on peine en permanence à vibrer. Et, alors que les événements intrinsèques à Asteroid City se laissent malgré tout suivre avec un certain plaisir grâce aux audaces de la caméra, l'artifice méta du making-of de la pièce devient de son côté carrément lassant, comme un surplus redondant ne produisant qu'un véritable effet lors d'une superbe séquence finale de discussion d'une cage d'escalier à une autre (mais c'est malheureusement tout).
    Pour conclure, le film est un peu à l'image de sa liste incroyable d'interprètes qui ferait pâlir n'importe quel directeur de casting américain actuel, une flopée d'acteurs prestigieux venus sans doute chercher autre chose dans un cinéma à part mais réduits, à quelques exceptions près, à l'état de figurants se fondant dans les décors d'Asteroid City pour ne plus délivrer grand chose, à part être positionnés comme des pantins dans l'imaginaire des plans toujours aussi somptueux d'Anderson.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2023
    Encore une fois, Wes Anderson nous plonge dans son univers particulier. Il est remarquable de voir comment à chaque nouveau film, le réalisateur Américain arrive à nous proposer un monde différent, mais tout aussi riche que le précédent. C'est un véritable délice de découvrir Astéroid City. Cette fois-ci, nous retrouvons une touche des années dans l'Ouest désertique américain. Le travail sur la colorimétrie accentue l'immersion afin de vivre une expérience unique.

    Pour autant, le style Anderson continue de porter les mêmes défauts. Ce cinéma des plus esthétique empêche le développement de forte émotion. Nous sommes dans le beau, dans le lisse avec une absence totale de brut. Un parti-pris qui peut autant emballer que répugner. Le choix d'inclure le déroulé d'Astéroid City au sein d'une pièce de théâtre coupe par moment le rythme. Toutefois, cela permet de prendre du recul sur les différentes situations avec des discours intéressants des acteurs de la pièce.

    Comme souvent avec Wes Anderson, il y a une pléthore de stars. On est forcément ravis de voir Scarlett Johansson, Tom Hanks, Edward Norton, Steve Carell ou encore Bryan Cranston. Leur jeu correspond bien à leurs personnages. Cela donne un certain engouement. Le revers de la médaille est que l'accumulation de nom parait par moment inutile. Par exemple, il y a une frustration de voir des talents comme Willem Dafoe, Margot Robbie ou Sophia Lillis aussi peu exploité.
    Six Nez Filent
    Six Nez Filent

    5 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2023
    On reconnaît toujours la patte Wes Anderson : des plans parfaitement cadrés, le souci du détail exacerbé, un casting bourré de talent. Malheureusement l'ennui est de mise dans Asteroid City. C'est à se demander si l'ennui n'est pas le sujet du film ? Le film embrasse le théâtre et nous offre donc 3 actes dans une bourgade désertique où un astéroïde s'est écrasé. Le film est lent, très peu lisible et sans grand message. Désolé Wes mais là tu m'a déçu !
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 144 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juin 2023
    Wes Anderson n'a plus rien à raconter. Il fait toujours de belles images mais semble désormais obsédé par la forme au détriment d'un fond qui n'a plus grand chose à dire. Ce formalisme exacerbé, s'il n'est pas dénué d'intérêt, ne sauvé pas le film de l'ennui. Jouant sur un découpage en acte et scènes de théâtre et de perpétuelles mises en abyme. Asteroid city apparaît comme un objet daté très post Nouvelle Vague. Daté, presque ringard dans son écriture, le film, malgré ses trois d'humour, demeure froid, figé. Il y a quelques scènes intéressantes, notamment l'arrivée de l'alien, mais le film, servi une fois de plus par un casting quatre étoles, ne dit pas grand chose. Un cinéma assez vain mais plaisant pour la rétine, voilà ce qu'est devenu le cinéma de Wes Anderson. Il est loin le temps de la famille Tennenbaun, de Fantastic Mr. Fox et de l'île aux chiens...
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