Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
BartoSourire
1 critique
Suivre son activité
0,5
Publiée le 6 juillet 2023
Je n'ai RIEN compris.
Le déroulé est incompréhensible, les personnages insipides, la fin sortie de nulle part... J'ai vraiment eu l'impression que le réalisateur m'avait balancé des scènes au hasard, tout en me disant "si si il y a quelque chose à comprendre tu vas voir". Le seul point positif qu'on puisse noter à travers les scènes, c'est de se dire qu'il y a Scarlett Johansson. Puis juste après, on se fait surprendre par les décors et l'alien que j'aurais pu faire moi-même en 3D (et c'est peu dire, croyez-moi).
La personne qui m'a accompagné n'arrêtait pas de rire à côté de moi, elle m'a même dit "mais non il n'y a rien à comprendre". Soit. J'aurais plutôt dû prendre le temps de finir sa pizza que j'ai pris à emporter mais qui malheureusement a fini à la poubelle plutôt que de suivre ses choix douteux en matière de cinéma.
Difficile d'aller plus loin dans l'analyse vu le contenu. Heureusement que j'ai eu une place gratuite par un inconnu (que je salue chaleureusement).
Quel casting ! Le panel d’acteurs est incroyable, ils jouent tous aussi bien les uns que les autres (sauf peut-être les plus jeunes), big up à Scarlett Johansson dans son triple rôle & à Jason Schwartzman excellent. Bryan Cranston se fond dans son rôle d’introducteur aussi. Cette mise en scène ultra théâtralisée est pleine d’humour et de références cinématographiques, on baigne dans l’univers de Wes Anderson picturesque et décalé, concentré ou décentré sur une multitude de détails comiques et une mise en abîme de l’art (qu’on ne comprend pas forcément à la fin ?). L’alien est d’un drôle aussi avec ses grand yeux !!!
Malheureusement triste de dire ça d'un film de Wes Anderson après tous les bons moments passés avec lui mais ici je suis très déçu de ce film. Les conditions n'étaient peut être pas réunies: fatigue, chaleur, séance de 19h et pas très bien installé mais je me suis très rapidement ennuyé! Quelques passages drôle notamment avec les enfants, le style colonie de vacances assez caractéristique, la forme est comme toujours très soignée, colorée, avec ses fameux plans symétriques, les animations stop motion ou autre mais le fond est assez insipide. Collection d'acteurs talentueux (rarement vu un casting aussi riche) mais sans profondeur, les coupures intermittentes en noir et blanc pour nous rappeler les coulisses du théâtre cassent la dynamique et n'apportent pas grand chose, trop d'histoires parallèles, bref très rapidement j'ai trouvé le temps long et on ne sait jamais trop où l'on va en terme de scénario.. Dommage, mais après the French Dispatch que je n'avais pas apprécié, force est de constater que le film suivant est encore pire et j'espère retrouver un jour cette magie qui a opéré plusieurs fois avec lui!
Comme à son habitude Wes Anderson nous éblouie de ses plans cinématographique de qualité mais j'en ressort avec une impression de vide. On à l'impression d'un paraître prépondérant ce qui laisse place à une histoire fade sans ligne directive et à des personnages sans profondeur.
Bon, un 2.5 par respect pour Wes Anderson qui nous a quand même livré quelques oeuvres majeures comme Moonrise Kingdom ou The Grand Budapest Hotel. On retrouve tout ce qui fait sa signature des couleurs acidulées aux personnages style bande dessinée et un casting impressionnant; il y aussi quelques bonnes trouvailles (le Road Runner). Mais passées les premières 15mn qui surprennent et font sourire, l'ennui s'installe et on se lasse de cette histoire sans queue ni tête. La même sensation était déjà apparue après le French Dispatch, mais là il finit clairement par tourner en rond au point de l'auto caricature. On attend impatiemment un rebond et des idées neuves.
Je n'ai pas forcément l'habitude d'aller voir ce genre de film au cinéma, et pourtant je devrais en prendre l'habitude car ceci est du cinéma à l'état pur. Une vraie proposition artistique, coloré, décalé. Mise en scène, décors et réalisation très originale. Vraiment pas mal. Que dire du casting. Un défilé des plus grands acteurs et actrices d'Hollywood qui prennent du plaisir à jouer pour Wes Anderson, plaisir communicatif, j'ai bien aimé.
Ce film est un vase clot contenant tous les ingrédients favoris du réalisateur, mais dans lequel le spectateur n'est pas invité...très frustrant à regarder et faussement profond
Mais quel bonheur de voir un film de Wes Anderson au cinéma pour la première fois, sûrement le film le moins accessible du réalisateur, notamment parce que c’est le plus Wes Anderson de tous les Wes Anderson, peut être aussi à cause de la mise en abîme et de la complexité du scénario. Le rythme aussi est assez lent et particulier. Certains reprocheront au réalisateur de privilégier l’esthétique au reste, de plutôt faire une performance artistique et un cinéma froid et sans émotions, je ne suis absolument pas d’accord, alors oui c’est certes visuellement absolument parfait et incroyable, vraiment c’est techniquement impressionnant et personnellement ça me suffit mais le film n’est pas qu’une belle photographie, de beaux décors et des costumes très jolis, c’est aussi un long métrage qui soulève des questions profondes. Le casting est évidemment inouï, on gardera seulement Scarlett Johansson, Jason Schwartzman, Maya Hawke, Tom Hanks et Adrien Brody qui sont tous des acteurs incroyables et qui chez Wes Anderson le sont encore plus et la BO d’Alexandre Desplat est toujours excellente. Bref, un film visuellement unique et impressionnant avec de très bons acteurs et un scénario peut être un peu fouilli mais très bien écrit tout de même.
Si c'est du Wes Anderson, alors bon vent! Même si des stars qui font les figurants, c'est du jamais vu.
Je n'ai rien aimé ni du fond ni de la forme. J'ai bien écrit "je", car je n'oserais pas dire "on" même si la tentation est extrême.
Rien aimé sauf l'oiseau animé qui marche d'un pas de dame en talons hauts dans le désert. Il rappelle Bip Bip. C'est dans les dernières secondes du film.
Rien aimé sauf la chanson de la deuxième partie du générique de fin, c'est-à-dire quand la salle s'est vidée. Il s'agit de la mise en musique de ce que psalmodient cette brochette de stars (il n'y a que des stars dans ce film), un peu avant la fin. "You can't wake up if you don't fall asleep".
Cette ultime chanson pourrait d'ailleurs bien expliquer le pourquoi du comment. J'ai dû louper le moment de s'endormir. Donc je ne me serais jamais réveillé ?!
Hyper beau, hyper drôle, hyper intensif, hyper poétique, hyper imaginatif... Que ne lit-on pas ! Si ce film devait me convertir au style et obsession de Wes Anderson, c'est hyper raté.
En revanche, il va me travailler longtemps, car il n'est pas question de classer ce film comme nul. Il donne envie d'une barbe à papa quand on en sort.
Je suis fan de wes Anderson pour tous les chef d'œuvre qu'il a sortie . Mais asteroid city est vraiment sans interet , c'est le vide intersidéral , , wes Anderson utilise les recette habituelle on reconnais son style . Le problème c'est que en dehors de son style y'a rien , c'est une belle coquille vide .
Visuellement c'est beau mais niveau histoire dialogue on s'endort première fois que je quitte une salle de ciné
Un peu déçu par l univers de Wes Anderson récemment Des idées et des moments de solitude Lier un univers fictionnel et un pseudo reportage ne fonctionne pas
Tout d'abord j'ai préféré Asteroid City à the French Dispatch qui était une cruelle déception. Je reconnais toutes les qualités au cinéma de Wes Anderson et je reconnais toutes les qualités que ce film possède. Très coloré, à la mise en scène millimétrée, Asteroid City est un film techniquement maîtrisé. Comme à son habitude, Wes Anderson nous offre une DA somptueuse. Le scénario est ambitieux et le casting est plus que 5 étoiles, habituel pour les films de ce réalisateur. Mais toutes qualités reconnue je ne suis pas un fan du cinéma d'Anderson et ce film est dans la pure tradition d'un film de Wes Anderson. Je n'ai donc pas été spécialement conquis devant ce film qui m'a fait quand même passer un agréable moment.
Wes Anderson est clairement l'un des réalisateurs contemporains les plus en vogue. Tous ses films à l'esthétique si unique sont attendus au tournant, et Asteroid City n'échappe pas à la règle. En voyant les bandes-annonces, la grande question était de savoir si cette esthétique du cinéaste texan n'allait pas commencer à lasser les spectateurs... Même si on continue de se délecter de ces décors et de ces mouvements de caméra impeccables, je ne peux nier que Wes Anderson se caricature de plus en plus. La couleur et la symétrie apporte une satisfaction oculaire indéniable, mais ce décor de papier sert-il vraiment le propos engagé de l'auteur ? Dans ce long-métrage, on peut répondre oui : tous ces personnages sont des marionnettes prisonnière d'une ville cartonnée et désertique, critique probable des confinements qui nous ont tous touchés durant la pandémie. Le cinéaste ne s'arrête pas là et aborde d'autres thèmes importants, à savoir ce qu'un acteur, au-delà de son jeu, vaut et peut apporter en tant qu'artiste ou encore l'illogisme de la doxa américaine, qui spoiler: ne va pas sourciller pour un essai nucléaire ou une fusillade mais s'affoler pour la venue d'un extraterrestre, à priori inoffensif. Il est vrai que l'art naît de la contrainte, mais Wes Anderson use des mêmes contraintes depuis plus de 20 ans! En conséquence, les choix de mises en scène originaux sont aujourd'hui limités. Il faut quand même souligner la justesse de la composition du cadre dans certains plans, en particulier spoiler: les champs-contrechamps entre Midge et Augie, tous deux surcadrés par leur fenêtre : acteurs dans la vie et acteurs dans le film. La mise en abyme est un autre ressort classique du cinéma d'Anderson ; spoiler: Asteroid city nous en propose non pas une, mais bien deux ! Cependant, la navigation entre ces trois niveaux de réalité finit par faire perdre le fil au spectateur. Par ailleurs, les personnages n'ont pas d'objectif précis dans ce film spoiler: (si ce n'est de sortir de la ville) et les rendent forcément moins attachants que dans The Royal Tenenbaums ou Isle of Dogs. On a encore le droit à une pluie de grands acteurs dont on vient par moments à se demander l'utilité spoiler: (Margot Robbie, Jeff Goldblum...). Pour terminer sur une note un peu plus positive, la bande-originale dans son ensemble est appréciable et garde une dimension poétique inhérente à l'oeuvre du cinéaste malgré l'absence d'Alexandre Desplat. Il y a une seule chose sur laquelle le réalisateur déroge à sa règle, c'est qu'il ose brièvement le plan incliné. Je l'avais déjà dit dans ma critique sur The French Dispatch il y a deux ans : j'ai envie de voir Wes Anderson péter un plomb, créer une rupture dans son cinéma et casser son esthétique. On a tous envie de le voir sortir de sa zone de confort et montrer qu'il est capable d'aborder le cinéma avec une approche plutôt freudienne.