Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
L’art de Hong Sang-soo en est désormais arrivé à ce stade suprême de frugalité, de modestie et de délicatesse qu’il n’a plus besoin de jouer sur autre chose que sur l’ampleur des vides qui parsèment ses récits, maître du manque et des lisières, qui ne saisit plus de la douleur d’aimer que le versant aveugle, indicible.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Derrière son minimalisme, son noir et blanc laiteux, sa concision et la fausse simplicité de sa forme, le film de Hong Sangsoo atteint, une fois de plus, ce qui constitue l’essence même du cinéma : un art de montrer qui est aussi un art de penser.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Le flux et le reflux des émotions, au cœur du cinéma de Hong Sang-soo, s’incarnent ici tout entiers dans le visage de la jeunesse qui, telle une mer changeante, conjugue émerveillement et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Un film centré sur la jeunesse, ses élans et ses désillusions, mais qui est fait de touches éparses, de décalages et de décentrages, et où le hors-champ et le hors-temps dominent. Une heureuse esquisse en noir et blanc aux traits fins et énigmatiques, parfois teintée d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Ce qui est si beau et vivifiant ici, c’est la façon dont le cinéaste va porter à nouveau sa caméra du côté des jeunes et y opposer la figure des aîné·es, surtout des hommes, dépassé·es et languides, qui ont pu habiter sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Opus volontairement mineur d’une filmographie prolifique, Introduction parvient cependant par on ne sait quel sortilège à imprimer à l’esprit sa mélancolie de neige, de bitume et de sel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Les enjeux paraissent limités, mais Hong Sang-soo est un grand cinéaste, qui, avec trois fois rien - la neige qui tombe au ralenti, la mer comme un horizon mal défini -, parvient à nous faire ressentir le vertige existentiel de son frêle anti-héros.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Comparé à d’autres opus du chantre coréen, celui-ci est mineur. Mais dans son cours limpide, sa concision et son froid neigeux, on puise malgré tout de quoi se régénérer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une œuvre subtile et réussie, malgré une impression de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Introduction est une sorte de petit théâtre concis, existentialiste sinon métaphysique, de la vie et de ses conventions, qui voit Yeong-ho tenter d’exister entre ses rêves de comédien, ses devoirs de fils et ses envies de fuite.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce nouveau film de Hong Sangsoo, léger et séduisant mais nébuleux, laisse un peu sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Hubert Niogret
Toutefois, un danger guette Hong Sang-soo, la réduction du concept du film et l’improvisation d’une partie des développements qui, par leur répétition de film en film, finissent par aplatir l’originalité du cinéaste.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame intimiste, qui pâtit d'un récit déstructuré brouillant inutilement les pistes, souligné par un rythme languissant et hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La rédaction
La poésie et le minimalisme de Hong Sang-soo ont encore frappé. Mais il se répète un peu.
Première
par Thierry Chèze
A force de se démultiplier à chaque poste – réalisateur, producteur, scénariste, chef op’, monteur, compositeur… – le cinéma de Hong Sang-Soo finit par étouffer. On le regarde avec admiration mais sans passion. En attendant le suivant…
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
L’art de Hong Sang-soo en est désormais arrivé à ce stade suprême de frugalité, de modestie et de délicatesse qu’il n’a plus besoin de jouer sur autre chose que sur l’ampleur des vides qui parsèment ses récits, maître du manque et des lisières, qui ne saisit plus de la douleur d’aimer que le versant aveugle, indicible.
Le Monde
Derrière son minimalisme, son noir et blanc laiteux, sa concision et la fausse simplicité de sa forme, le film de Hong Sangsoo atteint, une fois de plus, ce qui constitue l’essence même du cinéma : un art de montrer qui est aussi un art de penser.
Critikat.com
Le flux et le reflux des émotions, au cœur du cinéma de Hong Sang-soo, s’incarnent ici tout entiers dans le visage de la jeunesse qui, telle une mer changeante, conjugue émerveillement et mélancolie.
Culturopoing.com
Un film centré sur la jeunesse, ses élans et ses désillusions, mais qui est fait de touches éparses, de décalages et de décentrages, et où le hors-champ et le hors-temps dominent. Une heureuse esquisse en noir et blanc aux traits fins et énigmatiques, parfois teintée d’humour.
Les Inrockuptibles
Ce qui est si beau et vivifiant ici, c’est la façon dont le cinéaste va porter à nouveau sa caméra du côté des jeunes et y opposer la figure des aîné·es, surtout des hommes, dépassé·es et languides, qui ont pu habiter sa filmographie.
Libération
Opus volontairement mineur d’une filmographie prolifique, Introduction parvient cependant par on ne sait quel sortilège à imprimer à l’esprit sa mélancolie de neige, de bitume et de sel.
Paris Match
Les enjeux paraissent limités, mais Hong Sang-soo est un grand cinéaste, qui, avec trois fois rien - la neige qui tombe au ralenti, la mer comme un horizon mal défini -, parvient à nous faire ressentir le vertige existentiel de son frêle anti-héros.
Télérama
Comparé à d’autres opus du chantre coréen, celui-ci est mineur. Mais dans son cours limpide, sa concision et son froid neigeux, on puise malgré tout de quoi se régénérer.
L'Obs
Une œuvre subtile et réussie, malgré une impression de déjà-vu.
La Septième Obsession
Introduction est une sorte de petit théâtre concis, existentialiste sinon métaphysique, de la vie et de ses conventions, qui voit Yeong-ho tenter d’exister entre ses rêves de comédien, ses devoirs de fils et ses envies de fuite.
Les Fiches du Cinéma
Ce nouveau film de Hong Sangsoo, léger et séduisant mais nébuleux, laisse un peu sur sa faim.
Positif
Toutefois, un danger guette Hong Sang-soo, la réduction du concept du film et l’improvisation d’une partie des développements qui, par leur répétition de film en film, finissent par aplatir l’originalité du cinéaste.
Le Journal du Dimanche
Un drame intimiste, qui pâtit d'un récit déstructuré brouillant inutilement les pistes, souligné par un rythme languissant et hypnotique.
Ouest France
La poésie et le minimalisme de Hong Sang-soo ont encore frappé. Mais il se répète un peu.
Première
A force de se démultiplier à chaque poste – réalisateur, producteur, scénariste, chef op’, monteur, compositeur… – le cinéma de Hong Sang-Soo finit par étouffer. On le regarde avec admiration mais sans passion. En attendant le suivant…