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FaRem
8 792 abonnés
9 636 critiques
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2,5
Publiée le 30 mars 2022
Toujours faire attention à ce que l'on souhaite ou du moins à qui on le demande... Dylan est un petit garçon qui s'installe dans un appartement avec son père. Toujours fragilisé par spoiler: le décès de sa mère, il se pose des questions. Il se demande même si sa mère aurait agi différemment s'il n'était pas "différent". Dans l'espoir d'avoir une voix, il utilise un livre de sorcellerie trouvé dans un placard sans savoir ce qu'il va provoquer. "The Djinn" est un drame horrifique qui penche de plus en plus vers l'épouvante. Quand on entend parler de djinn, on ne s'attend pas forcément à voir un survival et pourtant c'est ce qu'est ce film. Un survival en huis clos qui sait être intense et efficace grâce notamment à une ambiance anxiogène. Ce n'est pas comme ça pendant 80 minutes, car c'est un peu long à se lancer et c'est ce qui rend le film inégal malgré ses qualités. Le film de David Charbonier et Justin Powell possède également une double lecture avec une histoire symbolique qui peut être vue comme un spoiler: combat contre le deuil et le sentiment de culpabilité qui sont ici personnifiés. "The Djinn" a au moins le mérite de ne pas être simple film de djinn, mais c'est un film inégal qui alterne le bon et le moins bon.
Une nuit, un jeune garçon muet invoque un djinn pour obtenir une voix...
Le pitch est redoutablement minimaliste et le début de "The Djinn" semble laisser paraître une intrigue qui va l'être tout autant par la série d'événements qu'elle met en place autour de son petit héros : un trauma, un déménagement pour se reconstruire, une solution surnaturelle de facilité aux conséquences forcément très dangereuses, le tout dans une désormais inévitable ambiance 80's afin d'éveiller la nostalgie un brin facile des productions horrifiques de l'époque... Et puis, surprise, à partir de la fameuse invocation, "The Djinn" révèle la véritable nature de son pari conceptuel où le huis-clos va se disputer au temps réel en suivant les assauts du Djinn sur sa petite victime. En prenant le temps de nous familiariser à la géographie des lieux grâce à une gestion de l'espace assez remarquable compte tenu de leur étroitesse, la mise en scène maîtrisée va tour à tour se placer dans les yeux du petit garçon et du djinn pour inscrire dans nos têtes les points de repères de l'appartement et ensuite en faire des espèces de checkpoints à l'importance capitale dans le duel en train de se jouer. La découverte grandissante de la manière d'interférer de la créature et le jeu du chat et de la souris qui va s'ensuivre va évidemment produire une tension efficace... mais qui, forcément, vu la maigreur des enjeux cités plus hauts, va commencer à s'affaiblir à mi-parcours en donnant l'air de tourner en rond autour d'un affrontement des plus primaires. Même si sa durée est courte, il arrive clairement un moment où l'on se demande si "The Djinn" ne va être qu'un exercice de style au potentiel limité.
Eh bien non, le film réalisé par le duo David Charbonier & Justin Powell n'est pas que ça ! Par les doutes qu'il insinue chez le spectateur, le choix d'attendre aussi longtemps est risqué mais, comme son petit héros le découvrira, ce combat nocturne contre le génie malfaisant cache d'autres secrets qui vont carrément rabattre les cartes de leurs motivations dans cette lutte et établir un tout nouveau suspense sur sa finalité. En plus d'interactions bien senties (physiques ou psychologiques) pour toujours redynamiser la tension entre le démon et sa victime à l'écran, "The Djinn" aura la bonne idée de nous contredire sur les enjeux que l'on jugeait faméliques en les faisant grandir par le prisme des caractéristiques du djinn dans le but d'offrir une conclusion très roublarde, où une note d'émotion d'une réelle intelligence laissera place à un épilogue plus... inattendu.
Alors que l'on s'attendait à un énième et insignifiant film surnaturel de plus, "The Djinn" aura finalement fait figure d'agréable petite surprise par ses idées conceptuelles plutôt audacieuses. Certes, certains choix sont à double tranchant sur le ressenti du spectateur tout au long du film mais, dans un genre que l'on sait horriblement répétitif, il est bien difficile de ne pas saluer un film qui ose bousculer la platitude des conventions narratives des mortels pour se hisser vraiment à la hauteur du dessein vicieux du démon qu'il met en scène.
Après le célèbre « Wishmaster », voici un autre film d’horreur dans lequel il faut faire attention aux souhaits exaucés auprès des Djinns car ces derniers n’apportent jamais de bonheur et leur prix sera très élevé. Ici, l’accomplissement du vœu maudit arrive à Dylan, un jeune enfant muet laissé seul à la maison une soirée par son père. Malgré un scénario et des effets spéciaux minimalistes, le réalisateur parvient tout de même à créer une bonne tension et à livrer quelques moments de frayeur bien sentis. Certes, ce huis clos horrifique ne renouvellera pas le genre, mais c’est très bien joué, bien amené d’un point de vue psychologique (le trauma de l’enfant est bien brossé), c’est court, bien fait et donc très efficace !
1h20 interminable! Le gamin joue en permanence les yeux écarquillés. Le père est vieux sans charisme. Le scénario tient à 1 fil. Ce djinn là n'a rien avoir avec les légendaire djinns orientaux. Il prend des formes différentes anthropomorphes banales. La caméra subjective est invasive et nous permet de visiter l'appartement avec le regard du djinn : aucun intérêt et long! Un seul jump scare minable! La fin est inattendue ce qui nous vaut une étoile...
Un chouette petit film d'horreur sans prétention. L'enfant joue bien, on arrive à se mettre à sa place facilement, quelques ficelles un peu faciles mais de bons moments de peur, j'ai bien aimé.
1h20 dans un 60m2 c'est un peu long, malgré une atmosphère plutôt oppressante qui nous fait tenir jusqu'au bout. On remarque vite le mini budget du film qui pourrait clairement être un long métrage d'une école de ciné. Le scénario quand à lui est très très simpliste et sans réel sens. J'ai été intrigué car tombé dessus en pleine nuit, mais je ne le conseille pas vraiment.
Déjà, vous ne serez pas soulé par les dialogues, il n'y en a quasiment pas. On est devant un film à très petit budget : très peu d'acteurs, l'action se déroule au même endroit, effets spéciaux quasi nuls. Niveau ambiance "horreur", j'ai vu bien mieux. Je n'ai pas sursauté un instant. Des scènes qui traînent clairement en longueur pour combler le temps. N'apporte rien de nouveau au genre, un garçon trouve un livre de sortilèges, va en invoquer un, et bien sûr pas sans contrepartie. Par rapport aux plus mauvaises critiques, l'histoire tient quand même la route. Le scénario n'est pas ouf, pas de bonds dans le canapé. Je mets 2,5 car j'ai quand même regardé jusqu'au bout, mais ne vous attendez pas à un super film d'horreur ni d'épouvante.
Un huit clos qui n'apporte pas grand chose et ne renouvelle en rien le genre. Une histoire basique, qui tourne en rond, aux effets horrifiques éculés. En plus de la culpabilité c'est tout de même terrible ce que cet enfant doit surmonter! Par chance le film est court.
Un film, espérons le, sans prétention, car pas spécialement réussi, dans ce huit clos peu effrayant. Avec, un petit nouveau, Ezra Miller, qui se retrouve d'ailleurs au casting de deux films d'horreur de David Charbonier et Justin Powell sans qu'on sache vraiment pourquoi
Non mais c'est une blague... je me suis mis devant ce film le soir d'Halloween (rien que ça) et quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai vu le rendu et l'état du film... car c'est pas dur on a l'impression d'etre devant un film réalisé par un ado pour un projet de fin d'études... non mais j'ai jamais vu un truc aussi amateur de toute ma vie ! Pourtant l'histoire partait bien mais alors quand le Djinn arrive c'est à mourir de rire... on dirait mon père puis mon grand père au ralenti dans le salon ! Bon au moins à défaut d'avoir peur, on a bien ri mais ce film est une arnaque pure... je ne m'en remettrai jamais !
Les reactions du gamins sont pas logiques, des fois il a des bonnes idees pour avoir le djinn mais apres il fait une erreur, ses reactions sont incomprehensibles il a tendance a oublier le djinn des fois et puis le djinn disparait aparait on comprend rien. Pourquoi ce grimoire est dans cette maison on nous explique pas.il ya que la fin qui est bien. Un aveugle contre un muet voila le film car le djinn est aveugle pourquoi? Jen sais rien, et heureusement pour le gosse car le film aurait durer encore moins longtemps il dure 1h20 mais puree que c'etait long
2,5 / 5 Parce que l'histoire est vraiment pas mal . Le hic c'est que le manque de dialogue est vraiment trop présent , la musique et les bruitages prennent trop le dessus...
Un jeune garçon muet, mais débrouillard fait un voeu, à savoir retrouver la parole, mais il y a une contrepartie fâcheuse en compensation. La musique est prenante au début, mais devient rasante au fur et à mesure. Pourquoi parler de la musique, eh bien parce qu'il n'y a quasiment pas de dialogues. Le jeune acteur est bon. Malheureusement le film n'est relativement captivant que bien trop tard (dernier tiers du film).
Un petit huit clos d'épouvante au petit très petit budget , à noter quand même la performance du jeune acteur est plus que convainquante et sans dialogue svp ! Et l'atmosphère étouffant du djinn qui s'empare de l'habitation donne au film un peu plus de hauteur ... 1h16 largement suffisant pour ce genre de film !