Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Bien qu’il s’ouvre sur une descente dans les profondeurs d’une grotte, Théo et les métamorphoses est chargé de lumière : celle d’un soleil immuable, parfois filmé frontalement, mais surtout celle d’un être en quête d’une vie pleine, d’une marginalité joyeuse. Au dernier chapitre de son histoire, sa voix finalement se tait, comme si la plénitude enfin gagnée rendait le verbe superflu.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
De bien belles métamorphoses qui nous sont proposées, en vertu d'une sorte d'art brut filmique où l'acteur différent, épuré, tellurique, engage toute la puissance de sa vérité corporelle et de sa force vitale dans la mise en œuvre d'un imaginaire partagé.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
À partir d’un matériau narratif plutôt sommaire, D. Odoul s’autorise à différentes expérimentations. Le résultat est un voyage tour à tour insensé et habité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Odoul saisit ce corps, son imaginaire et sa quête d’émancipation dans une mise en scène qui lui ressemble, accidentée et surréaliste. Il brise les règles du documentaire pour composer un poème de la différence. D’une énergie abrasive.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le film prend la forme d’un chemin sinueux et foutraque, bourré d’onirisme et de bizarrerie qui fascine autant qu’il déconcerte. Généreux, parfois éreintant, mais toujours traversé par une grande inventivité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
On reconnaît la griffe du cinéaste Damien Odoul (Le Souffle, La Peur), poète primitif et halluciné, qui radicalise ici son style. C’est un peu long, répétitif, mais on y déniche des images fulgurantes et hardies jamais vues ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Bernard Génin
Un pensum certes sur le droit à la différence mais foutraque et parfois gênant [...].
Cahiers du Cinéma
Bien qu’il s’ouvre sur une descente dans les profondeurs d’une grotte, Théo et les métamorphoses est chargé de lumière : celle d’un soleil immuable, parfois filmé frontalement, mais surtout celle d’un être en quête d’une vie pleine, d’une marginalité joyeuse. Au dernier chapitre de son histoire, sa voix finalement se tait, comme si la plénitude enfin gagnée rendait le verbe superflu.
Le Monde
De bien belles métamorphoses qui nous sont proposées, en vertu d'une sorte d'art brut filmique où l'acteur différent, épuré, tellurique, engage toute la puissance de sa vérité corporelle et de sa force vitale dans la mise en œuvre d'un imaginaire partagé.
Les Fiches du Cinéma
À partir d’un matériau narratif plutôt sommaire, D. Odoul s’autorise à différentes expérimentations. Le résultat est un voyage tour à tour insensé et habité.
L'Obs
Odoul saisit ce corps, son imaginaire et sa quête d’émancipation dans une mise en scène qui lui ressemble, accidentée et surréaliste. Il brise les règles du documentaire pour composer un poème de la différence. D’une énergie abrasive.
Les Inrockuptibles
Le film prend la forme d’un chemin sinueux et foutraque, bourré d’onirisme et de bizarrerie qui fascine autant qu’il déconcerte. Généreux, parfois éreintant, mais toujours traversé par une grande inventivité.
Télérama
On reconnaît la griffe du cinéaste Damien Odoul (Le Souffle, La Peur), poète primitif et halluciné, qui radicalise ici son style. C’est un peu long, répétitif, mais on y déniche des images fulgurantes et hardies jamais vues ailleurs.
Positif
Un pensum certes sur le droit à la différence mais foutraque et parfois gênant [...].