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Votre avis sur Being the Ricardos ?
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Nicole Kidman a bien la voix (version anglaise) de Lucille et semble bien la jouer. Très bon film pour remettre les femmes en bonne forme et leur rendre justice, une à la fois. Ou deux ou trois dans ce cas ci. Ayant vu plusieurs émissions de la série originale «I love Lucy» et même récemment en DVD, je peux dire que c'était bien ça et c'était assez drôle. En plus, maintenant adulte, certains épisodes que j'ai vu en DVD avaient des blagues très adultes que je ne pouvais pas comprendre enfant.
Alain D.
Un film écrit et réalisé par Aaron Sorkin dont le sujet évoque une série à 60M de téléspectateurs. Une série où les stars de la TV Lucille Ball (Nicole Kidman) et Desi Arnaz (Javier Bardem) vont se retrouver en danger.
Le film nous offre une séquence hallucinante avec une séance de lecture du scénario du prochain épisode ; pas moins d'une quinzaine de personnes : le réalisateur, les deux rôles vedettes, les 3 scénaristes, des producteurs ... Le drame nous livre également des extraits de tournages et de répétitions du couple de vedettes. Si Nicole Kidman et Javier Bardem réalisent de belles prestations de comédie, le reste de l'histoire avec ses préoccupations d'acteurs vieillissants est répétitif, laborieux, donc moyennement intéressant.
Le film nous offre une séquence hallucinante avec une séance de lecture du scénario du prochain épisode ; pas moins d'une quinzaine de personnes : le réalisateur, les deux rôles vedettes, les 3 scénaristes, des producteurs ... Le drame nous livre également des extraits de tournages et de répétitions du couple de vedettes. Si Nicole Kidman et Javier Bardem réalisent de belles prestations de comédie, le reste de l'histoire avec ses préoccupations d'acteurs vieillissants est répétitif, laborieux, donc moyennement intéressant.
Je regarde ce film dans un contexte un peu particulier car je suis tombé sur la sitcom “I Love Lucy”, c’est donc pour cela que je comptais en savoir plus sur ce qui entoure cette série. Et c’est une véritable bonne surprise car le film est très bon dans ce qu’il propose. La mise en scène est variée et remplie d'idées et le scénario propose de nombreuses séquences intéressantes.
Je trouve que la réalisation est très bien rythmée car nous suivons un certain nombre de personnages ; mais à côté de cela, le film est parfois intercalé par des séquences d’interviews, cela donne de la crédibilité à tout ce qu’Aaron Sorkin raconte. D’autant plus que la comparaison entre la fiction et la réalité est très assidue. Sinon, la musique est vraiment belle et le cadrage très qualitatif ; globalement les mouvements de caméra sont fluides et satisfaisants. Par contre, il est vrai que le film est un peu long mais ce n’est pas très dérangeant.
Quant au scénario, il est très intéressant et il est surtout très bien chapitré ; le récit est clair et puis finalement les deux heures de film finissent par être rapides. Les différentes péripéties sont peut-être un peu trop romancées mais le résultat est efficace. D’autant plus que les personnalités des différents personnages sont bien retranscrites à l’image. Justement, les protagonistes sont attachants et jouent tous très bien ; ils arrivent à slalomer entre la comédie et le drame ainsi qu’à rester dans leur rôle.
Cela paraît évident mais je recommande grandement ce film, surtout pour les cinéphiles ; cela nous fait apprendre des choses avec un scénario très prenant et une mise en scène vivante. Sans compter qu’elle arrive à être documentaire et biopic en même temps.
Je trouve que la réalisation est très bien rythmée car nous suivons un certain nombre de personnages ; mais à côté de cela, le film est parfois intercalé par des séquences d’interviews, cela donne de la crédibilité à tout ce qu’Aaron Sorkin raconte. D’autant plus que la comparaison entre la fiction et la réalité est très assidue. Sinon, la musique est vraiment belle et le cadrage très qualitatif ; globalement les mouvements de caméra sont fluides et satisfaisants. Par contre, il est vrai que le film est un peu long mais ce n’est pas très dérangeant.
Quant au scénario, il est très intéressant et il est surtout très bien chapitré ; le récit est clair et puis finalement les deux heures de film finissent par être rapides. Les différentes péripéties sont peut-être un peu trop romancées mais le résultat est efficace. D’autant plus que les personnalités des différents personnages sont bien retranscrites à l’image. Justement, les protagonistes sont attachants et jouent tous très bien ; ils arrivent à slalomer entre la comédie et le drame ainsi qu’à rester dans leur rôle.
Cela paraît évident mais je recommande grandement ce film, surtout pour les cinéphiles ; cela nous fait apprendre des choses avec un scénario très prenant et une mise en scène vivante. Sans compter qu’elle arrive à être documentaire et biopic en même temps.
FaRem
Avec son nouveau film, Aaron Sorkin s'attarde à la fois sur une époque, sur une industrie, sur les coulisses d'une sitcom iconique et sur un couple star en l'occurrence Lucille Ball et Desi Arnaz. À la tête de la série télévisée la plus regardée du PAF, ils risquent cependant de tout perdre au cours d'une semaine décisive. Lucille Ball est notamment accusée d'être communiste, mais l'actrice est confrontée à toutes sortes d'autres problèmes dans sa vie privée et professionnelle. Une vraie immersion dans la vie de cette femme et de ce milieu, car tout est lié. L'envers du décor de ce show mythique est d'ailleurs très intéressant avec le processus de création qui est très bien détaillé au cours de ces nombreuses réunions et discussions houleuses entre les acteurs, les scénaristes, le showrunner ou les grands patrons. Cette production est un peu le microcosme d'une société puritaine et fermée comme quand il est question d'une grossesse qu'ils refusent d'évoquer à l'écran parce qu'il faudrait parler de la conception... Desi Arnaz est talentueux, il a du succès, mais il est cubain et c'est parfois un problème. Quant à Lucille, qui est la vedette du film, elle est montrée comme une femme très méticuleuse qui sait ce qu'elle veut, ce qui lui vaut quelques problèmes. J'avais un peu peur que ce soit excluant pour une personne ne connaissant pas la sitcom, mais pas du tout. Si vous êtes intéressé par ce milieu, par les coulisses d'une série de l'époque et par le processus de création, c'est un film qui mérite le coup d'œil. J'ai trouvé ce "Being the Ricardos" plutôt pas mal avec notamment une remarquable Nicole Kidman.
Aaron Sorkin, grand spécialiste de la télévision, raconte la construction d'une pièce télévisée sur une semaine (c'est une série télévisée en direct, extrêmement populaire au début de la télévision étatsunienne dans les années 1950), c'est-à-dire la préparation de l'épisode suivant: revue avec les scénaristes, les producteurs, répétition avec les acteurs, mise en scène et prise en compte des évènements qui entourent les personnages principaux. Parmi ces évènements, l'accusation de sympathie pour le communisme de Nicole Kidman (qui incarne la star de la télévision Lucille Ball) car nous sommes pendant le maccarthysme. Il y a aussi l’infidélité supposée de son mari Javier Bardem (il incarne le mari de Lucille Ball, Desi Arnaz) et les questionnements sur son mariage. Mais aussi le début de grossesse de la star, les états d'âme des acteurs secondaires de la série. Cet ensemble est donc parfait pour de multiples intrigues et sous intrigues. Ce qui permet de faire affleurer des thématiques comme le racisme (Desi Arnaz est latino), le puritanisme (il n'est pas possible d'évoquer le fait qu'elle soit enceinte), par exemple.
La forme technique est parfaite. Nicole Kidman est impressionnante et méconnaissable à la foi (prothèse, maquillage physique ou numérique, peut importe, elle a l'air en plastique). Javier Bardem met toute son énergie dans un personnage de latino, que sa star de femme a imposé dans la série.
Le film gagnerait a être réduit en durée, sans perdre de son impact et paraitrait plus riche: 25 minutes de moins ne lui feraient pas de mal.
La forme technique est parfaite. Nicole Kidman est impressionnante et méconnaissable à la foi (prothèse, maquillage physique ou numérique, peut importe, elle a l'air en plastique). Javier Bardem met toute son énergie dans un personnage de latino, que sa star de femme a imposé dans la série.
Le film gagnerait a être réduit en durée, sans perdre de son impact et paraitrait plus riche: 25 minutes de moins ne lui feraient pas de mal.
Being the Ricardos, écrit et réalisé par Aaron Sorkin, m'a bien surpris durant sa première heure mais malheureusement, la fraîcheur du film se fait de moins en moins ressentir. Durant la première, on retrouve la pâte de Sorkin : des dialogues incroyablement bien écrits et qui donnent un dynamisme au film assez impressionnant. Seulement, c'est peut être à cause de la durée relativement longue du film, mais je trouve que ce rythme effréné et passionnant s'essouffle assez vite et la deuxième heure est bien moins passionnante à suivre. La performance des acteurs restent très bonnes et la soundtrack également. Bref, loin d'être le meilleur film sur lequel Sorkin a travaillé comparé aux 7 de Chicago ou à Social Network, mais Being The Ricardos reste un film divertissant et bien écrit.
Un film parfait pour se mettre dans l'ambiance des années 50!
Déjà, toute leur histoire d'amour n'est pas gnangnan et j'adore les passages ou Lucille remet en question ce que Desi fait les soirs et les nuits où il n'est pas là.
On voit également tout l'intêret et les problèmes qu'il y a autour du communisme à cette époque et le stress qu'il peut y avoir autour de son opinion politique.
Néanmoins, ce film n'a pas du tout fait parler en France mais je pense que c'est le fait qu'il parle d'une série américaine et ayant fait un tabac là-bas.
Dans l'aspect plus technique, j'ai pris du plaisir à voir comment était réalisé un épisode d'une série connue à l'époque.
Ce film m'a vraiment donné envie de regarder I Love Lucy.
Déjà, toute leur histoire d'amour n'est pas gnangnan et j'adore les passages ou Lucille remet en question ce que Desi fait les soirs et les nuits où il n'est pas là.
On voit également tout l'intêret et les problèmes qu'il y a autour du communisme à cette époque et le stress qu'il peut y avoir autour de son opinion politique.
Néanmoins, ce film n'a pas du tout fait parler en France mais je pense que c'est le fait qu'il parle d'une série américaine et ayant fait un tabac là-bas.
Dans l'aspect plus technique, j'ai pris du plaisir à voir comment était réalisé un épisode d'une série connue à l'époque.
Ce film m'a vraiment donné envie de regarder I Love Lucy.
Cette semaine de la vie du couple Lucille Ball-Desi Arnaz nécessitait-elle un film de 2h00. Assurément non. Il n'y a pas grand chose de captivant là-dedans.
L'intrigue principale (Lucille est elle communiste en cette période de chasse aux sorcières?) est bien mince pour meubler tout ce temps. Alors Sorkin en profite pour nous montrer le processus de création de la série I Love Lucie, avec l'insertion habile de la seule scène un tant soit peu connue dans le monde, celle vue dans Pretty Woman.
Et que dire de Nicole Kidman dont le visage est déjà naturellement figé et qui a là en plus l'air d'être totalement plastifié.
Réelle déception que ce biopic.
L'intrigue principale (Lucille est elle communiste en cette période de chasse aux sorcières?) est bien mince pour meubler tout ce temps. Alors Sorkin en profite pour nous montrer le processus de création de la série I Love Lucie, avec l'insertion habile de la seule scène un tant soit peu connue dans le monde, celle vue dans Pretty Woman.
Et que dire de Nicole Kidman dont le visage est déjà naturellement figé et qui a là en plus l'air d'être totalement plastifié.
Réelle déception que ce biopic.
Au moins on peut dire que Nicole kidman a été bien castée puisqu'elle est naturellement assez antipathique pour incarner Lucille à merveille.
Ce film est une caricature qui ne fait que dépeindre des individus friqués, assez égocentriques et déconnectés de la réalité pour penser que modifier le décor d'un show télévisé peut changer le monde et que leurs gags hebdomadaires ont une réelle importance à l'échelle cosmique. A pleurer.
Ce film est une caricature qui ne fait que dépeindre des individus friqués, assez égocentriques et déconnectés de la réalité pour penser que modifier le décor d'un show télévisé peut changer le monde et que leurs gags hebdomadaires ont une réelle importance à l'échelle cosmique. A pleurer.
Jorik V
Connu davantage pour ses scénarios réputés en or massif (de l’immense « The Social network » qui lui a d’ailleurs valu un Oscar à « Steve Jobs »), Aaron Sorkin s’était essayé à la mise en scène il y a quelques années avec un excellent thriller dans le milieu des tournois de poker porté par Jessica Chastain, « Le grand jeu ». Puis il s’est tourné vers Netflix pour le moins emballant « Les 7 de Chicago » qui revenait sur cet illustre procès dans les années 70. Ici, il s’attaque aux coulisses du tournage de l’un de soaps les plus célèbres de toute l’histoire de la télévision américaine et à ses deux stars. Précisons que, même si cela n’a rien à voir avec la qualité du film, « I love Lucy » est un programme totalement inconnu au bataillon en France. Ce qui amenuise quelque peu l’intérêt que l’on peut avoir pour « Being the Ricardos ». C’est comme si on présentait aux américains les coulisses de « Plus belle la vie ». Pas sûr que cela les passionne...
Ceci posé, Sorkin fait le choix malin de se concentrer sur une semaine charnière dans l’histoire de ce show et de la vie de ses deux acteurs principaux, un couple joué par Nicole Kidman et Javier Bardem. Les deux sont irréprochables avec une mention pour madame qui aurait juste dû dire non aux prothèses de maquillage. En effet, entre sa chirurgie esthétique personnelle et les grimages censés la faire ressembler à Lucille Ball, on est dubitatif. Heureusement que la star est bonne comédienne et parvient à faire passer émotions et expressions malgré ce ravalement de façade! Ce choix hasardeux ne sert en rien « Being the Ricardos » mais plutôt le dessert... Comme si les prothèses était un raccourci ou un passage obligé pour les Oscars. La preuve, l’actrice a bien dérocher une nomination pour ce rôle! Sinon, on apprécie toujours les dialogues aux petits oignons concoctés par Sorkin, un vértiable orfèvre en la matière, ainsi que toutes les anecdotes sur Hollywood surtout, son monde et ses tournages, mais aussi sur cette série. Cet aspect parfois documentaire, instructif et très dense (trop peut-être) enchantera les cinéphiles.
Mais et il y a un gros mais : « Being the Ricardos » part un peu dans tous les sens au niveau des thèmes et sujets traités et on se demande si une mini-série n’aurait pas davantage rendu hommage à ce show et ses acteurs tout en étant un format plus adapté à l’histoire narrée ici. A vouloir trop en mettre, cette œuvre apparaît parfois brouillonne. Entre les aspirations de l’actrice à devenir une comédienne sérieuse, la chasse aux sorcières concernant les communistes (la partie la plus intéressante et paradoxalement celle plus mise de côté) ou encore les problèmes privés du couple star, deux heures ne suffisent pas pour approfondir tous ces sujets. Et le film de n’en choisir véritablement et malheureusement aucun. Cette impression de survoler ou d’assister à une sorte de making-of interdit du show persiste et n’est pas forcément bonne. On ne s’ennuie pas, on prend plaisir même parfois, mais un tel projet (avec ses interviews de vrais participants au show intégrés au montage...) sent la fausse bonne idée. Et surtout le film de niche destiné à une toute petite catégorie de spectateurs. Sorkin est sur le déclin qualitatif avec son troisième film, espérons que le quatrième soit meilleur ou qu’il se consacre à l’écriture.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Ceci posé, Sorkin fait le choix malin de se concentrer sur une semaine charnière dans l’histoire de ce show et de la vie de ses deux acteurs principaux, un couple joué par Nicole Kidman et Javier Bardem. Les deux sont irréprochables avec une mention pour madame qui aurait juste dû dire non aux prothèses de maquillage. En effet, entre sa chirurgie esthétique personnelle et les grimages censés la faire ressembler à Lucille Ball, on est dubitatif. Heureusement que la star est bonne comédienne et parvient à faire passer émotions et expressions malgré ce ravalement de façade! Ce choix hasardeux ne sert en rien « Being the Ricardos » mais plutôt le dessert... Comme si les prothèses était un raccourci ou un passage obligé pour les Oscars. La preuve, l’actrice a bien dérocher une nomination pour ce rôle! Sinon, on apprécie toujours les dialogues aux petits oignons concoctés par Sorkin, un vértiable orfèvre en la matière, ainsi que toutes les anecdotes sur Hollywood surtout, son monde et ses tournages, mais aussi sur cette série. Cet aspect parfois documentaire, instructif et très dense (trop peut-être) enchantera les cinéphiles.
Mais et il y a un gros mais : « Being the Ricardos » part un peu dans tous les sens au niveau des thèmes et sujets traités et on se demande si une mini-série n’aurait pas davantage rendu hommage à ce show et ses acteurs tout en étant un format plus adapté à l’histoire narrée ici. A vouloir trop en mettre, cette œuvre apparaît parfois brouillonne. Entre les aspirations de l’actrice à devenir une comédienne sérieuse, la chasse aux sorcières concernant les communistes (la partie la plus intéressante et paradoxalement celle plus mise de côté) ou encore les problèmes privés du couple star, deux heures ne suffisent pas pour approfondir tous ces sujets. Et le film de n’en choisir véritablement et malheureusement aucun. Cette impression de survoler ou d’assister à une sorte de making-of interdit du show persiste et n’est pas forcément bonne. On ne s’ennuie pas, on prend plaisir même parfois, mais un tel projet (avec ses interviews de vrais participants au show intégrés au montage...) sent la fausse bonne idée. Et surtout le film de niche destiné à une toute petite catégorie de spectateurs. Sorkin est sur le déclin qualitatif avec son troisième film, espérons que le quatrième soit meilleur ou qu’il se consacre à l’écriture.
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Ufuk K
"Being the Ricardos" diffusé sur Amazon Prime Vidéo, est un biopic dramatique bien médiocre. En effet je ne connaissais pas l'histoire de Lucille Ball et Desi Arnaz interprétés par Nicole Kidman et Javier Bardem accompagné également de J. K. Simmons ( tous les trois nommés aux oscars injustement je trouve), je me suis vraiment ennuyé devant le sort de Lucille Ball accusé de communisme et aux prises avec son mari qui lui est infidèle, bref cela fut une perte de temps à voir juste pour les décors, et la présence de ses acteurs.
Si la sitcom "I love Lucy" est inconnue en France, c'est un monument de la télévision américaine. Elle réunissait plus de 60 millions de téléspectateur sur NBC dans les années 50. Ce biopic est intéressant et Nicole Kidman brille de mille feux. Elle vient de recevoir le Golden Globes pour sa performance. J'ai préféré pour ma part le précédent film d'Aaron Sorkin, les septs de Chicago, mais ça se regarde bien un dimanche soir au coin du feu ;-)
Benito G
I love Lucy : l'histoire d'un programme télévisuel à succès au début des années 50, en pleine chasse aux sorcières que beaucoup n ont pas connu mais qui pour l époque mettait la femme en avant (répondant à son mari etc...). Et parcemé de problème de couple, à la vie comme à l'écran. On ne peut renier la belle photographie embrumée mais qui n empêche pas l ensemble d être assez fade et relativement long (on ne passe pas a côté de quelques longueurs). On a l impression que le film a été mis en scène mais pas trop chronologiquement et même si on se doute d un duo d'amour qui tout de même n ont pas l'air de donner ce à quoi ils sont capable et ceux a quoi on les a déjà vu dans d autres productions. Mais même cette histoire d amour n arrive guère à nous toucher, limite plus a nous ennuyer qu autre chose. Enfin j ai pas ressenti d intérêt à leur égard, chose clé tout de même dans le film où dans ce genre de film. On tourne toujours autour de des sujets qui n aboutissent pas vraiment et ne s avère pas vraiment consistant. Bref un scénario, enfin un film pas vraiment intéressant et en plus assez longuet. On comprend assez vite pourquoi le film n a pas eu de sortie ciné...lol.
Bien sûr que le casting trois étoiles est à l'aise, mais cela n en fait pas en soit un bon ou ici plutôt un mauvais ou un film sans grand intérêt. Vite vu, vite oublié... J'espère que Nicole K. rehaussera de sa personne dans sa prochaine prestation. grosse déception, même si j attendais pas grand chose à la base.
Bien sûr que le casting trois étoiles est à l'aise, mais cela n en fait pas en soit un bon ou ici plutôt un mauvais ou un film sans grand intérêt. Vite vu, vite oublié... J'espère que Nicole K. rehaussera de sa personne dans sa prochaine prestation. grosse déception, même si j attendais pas grand chose à la base.
selenie
Très vite on comprend que ce qui intéresse le réalisateur-scénariste est le processus de création de la sitcom culte et non pas l'accusation de communisme ou les adultères de l'époux. On comprend très vite que Aaron Sorkin voit plus loin et décrypte en fait la société américaine du début des années 50. Ainsi pêle-mêle le film aborde les sujets du racisme, de la position de la femme, de comment est perçu le public, de la position dominante des publicistes, la télévision qui commence à devenir le média n°1 des ménages américains... etc... Sans compter enfin tout le processus de création d'un épisode de la série, entre les égos, les talents ou pas, les tabous qu'il faut taire... etc... Les acteurs sont absolument fabuleux même Nicole Kidman malgré un visage botoxisé à l'extrême qui gâche un peu le glamour. Outre le petit blocage physique, on regrette un côté trop "idéalisé" de Desi Arnaz. Mais les dialogues vifs et percutants de Aaron Sorkin, la mise en scène inspirée (belle utilisation du hors champ), et surtout une immersion dans les coulisses de la sitcom vraiment passionnante font que le film est un bon moment de cinéma.
Site : Selenie
Site : Selenie
SebLefr3nch
Un nouveau biopic ou Nicole Kidman se transforme physiquement pour interpréter Lucille Dalle, la célèbre vedette de la télé américaine d'après-guerre. Concrètement, le film est bien fait en se focalisant sur une semaine décisive dans la carrière de l'actrice lorsqu'elle fût accusée d'être communiste en pleine chasse aux sorcières. Javier Bardem l'accompagne pour notre plus grand plaisir. Le couple fonctionne bien à l'écran mais le classicisme du film nous laisse un peu sur notre faim.
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