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    Being the Ricardos
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    3,3
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    ffred
    ffred

    1 691 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 janvier 2022
    Je connaissais vaguement le nom de Lucille Ball mais jamais n'avoir rien vu avec elle, et encore moins la série dont il est question ici. Mais Aaron Sorkin et un casting imposant étaient bien alléchant. J’ai très vite déchanté, je ne suis jamais rentré dedans, je n’ai pas ri et cela ne m’a pas touché. Plutôt intéressant de voir l’envers du décor de la production télé et cinéma de l'époque (les années 50), et le fond féministe est bien amené, mais rien n’y a fait. Peut être l’horrible maquillage dont est affublé Nicole Kidman y est aussi pour quelque chose. On dirait une poupée de cire sans expression dans un film d’horreur, catastrophique, un vrai ratage. Déjà qu’elle n’a pas plus rien de naturel...au naturel. Javier Bardem s’en sort mieux, et J.K.Simmons est comme toujours impeccable. Au final, j’ai trouvé le tout agaçant et peu intéressant, malgré les thèmes abordés. Grosse déception de la part du réalisateur qui restait pourtant sur une réussite avec l’excellent Les 7 de Chicago.
    RAYENE M.
    RAYENE M.

    21 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2022
    J'ai aimé le film qui m'a vraiment surpris en abordant une facette inconnu de la célèbre série américaine I LOVE LUCY don't j'étais fan et qui le faisait hurler de rire à une certaine époque.
    Une série très célèbre aux USA mais mal connue hors des frontières américaines.

    Le film est un bon rendu des coulisses avec la magnifique Nicole Kidman dans le rôle principal.
    paganini
    paganini

    8 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    partant du contexte deja laborieux d'une serie us 50's inconnue en France, la narration et la chronologie sont difficiles à suivre. Et la face de Nicolas kidman ressemblant à la petite sœur des bogdanoff n'aide pas à se plonger dans le film.
    Didier B
    Didier B

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    Un seul mot : fascinant ! Acteurs, scénario, photographie, tout est parfait. Nicole Kidman en route vers les Oscars ?
    nokidoki
    nokidoki

    77 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2022
    en route pour les oscars.
    que ce soit les premiers rôles ou les seconds rôles, tout le monde est parfait. c'est indéniable.
    ils sont au service d'un scénario joliment écrit et vraiment captivant. je n'ai pas senti les deux heures passer.
    quant à la réalisation, elle rend parfaitement cette époque, cet univers. Le responsable lumière est à applaudir, je pense personnellement que l'oscar sera à lui cette année.
    un des plus beaux films que j'ai vu cette année.
    Giorgio G.
    Giorgio G.

    3 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 janvier 2022
    Un ennui mortel dans ce film politiquement ambigu. Grande delusion le naufrage des protagonistes Kidman et Bardem. Surtout ce dernier qui est méconnaissable et sa performance nulle. Naturellement le plus grand fautif est ce metteur en scène Sorkin... A éviter absolument sauf comme somnifère.
    Audrey L
    Audrey L

    631 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 décembre 2021
    Manque le contexte, Amazon. Heureusement qu'on a eu (s'est coltiné) une année d'étude des séries américaines feuilletonnantes, et qu'entre le Dick Van Dyke Show et Les Envahisseurs, on a vu passer I Love Lucy, car autrement Being the Ricardos ne nous aurait pas parlé. L'héritage de cette série aux États-Unis est assez imposant, et le film biopic de sa vedette Lucille Ball n'était qu'une question de temps dans l'actualité qui affectionne les portraits de célébrités passées, ainsi que les sujets d'égalitarisme (I Love Lucy étant une série en avance avec son héroïne indépendante de son mari). Aussi, si vous partez sans aucun bagage de connaissance (comme la grande majorité des français qui n'a jamais eu accès à la série), sachez seulement qu'il s'agit d'un feuilleton comique hebdomadaire qui a pris place dans la période de remise en question des personnages féminins dans les scénarii des "sitcom", où jusque-là elles n'étaient que la femme au foyer bien heureuse d'accueillir Monsieur le soir et d'être tournées en bourrique. On le voit apparaître dans d'autres séries concurrentes, les femmes commencent à dire "zut", et le public de l'époque (en majorité des femmes au foyer, justement) suivent le mouvement : une héroïne qui gifle son mari quand il dépasse les bornes, lui répond, cela peut paraître acquis aujourd'hui, mais à l'époque c'était un scandale (chez ces messieurs, évidemment). Dans I Love Lucy, cela se traduit par le refus de l'actrice de jouer certaines scènes qui tournent en ridicule extrême (rendent potiche) sa Lucy indépendante. Nous suivons donc un de ces fameux coups de gueule de l'actrice, qui se mélange avec son mariage cahoteux avec son partenaire d'écran, son alcoolisme qui la ravage, les producteurs et la presse qui l'assaillent... Bienvenue dans le monde enchanté de I Love Lucy, mais pas Lucille ("Sois belle et tais-toi", pour ses producteurs). Mais, si l'on est d'une part conquis par l'idée du biopic qui nous en apprend sur le sujet (en oubliant quand même pas mal de contextualisation, certainement dans le but de faire croire que cette série était la seule dans ce cas...), on a détesté la forme soporifique qu'il prend. Nicole Kidman commence à être si retouchée qu'on a bien failli ne pas la reconnaître à l'écran, Javier Bardem de son côté faisant de son mieux pour nous sauver de l'ennui, ce qui est vain puisque le rythme est loin de suivre et que les interviews entrecoupent le récit de façon rapidement écœurante. Les deux heures de film nous ont parues interminables, et les mentions en postface nous donnent l'impression qu'on est passé à côté du sujet : on ne nous parle que de son divorce, ce qui est une information, mais il aurait été plus intéressant de toucher un mot (même court) sur l'héritage de la série plutôt copieux, dont sa suite L'Extravagante Lucy qui a construit son personnage sans son époux, une petite révolution à l'époque... Mais non, les gossips sur le divorce, c'est plus important. On aurait pu faire un beau biopic, si les scénaristes n'avaient pas lu que Closer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 décembre 2021
    Après un précédant métrage un peu fainéant et trop politique à mon goût (Les Sept de Chicago) diffusée sur Netflix : Aaron Sorkin – un des nouveaux réalisateurs incontestés du cinéma américain depuis son film Le Grand Jeu – revient en grande force avec un nouveau biopic qui se centre cette fois sur une semaine du tournage de la sitcom désormais oubliée en France I Love Lucy ! Un concept déjà mainte fois vu depuis deux décennies mais qui a l’avantage de montrer au grand publique comment se tourne ce genre d’émission tout en mettant en avant les dilemmes rencontrés par les acteurs qui les interprètes. Et là ils sont de taille car Lucille Ball l’actrice réelle qui jouer le rôle au titre de ce programme était alors accusé de communisme tandis que celui qui jouer son mari à l’écran et l’étais aussi à la ville Dasi Arnaz enchaîner les conquêtes amoureuses.

    Globalement, on apprécie toujours les films de Aaron Sorkin qui s’impose un peu comme l’héritier de Spielberg. C’est un artiste qui a le sens de la dramaturgie (il a tout de même gagné l’oscar du meilleur scénario pour The Social Network en 2011) tout comme de la mise en scène (Le Grand Jeu, Les 7 de Chicago). Donc forcément quand j’ai vu qu’il s’attaquer à ce mythe du petit écran américain, je me doutais que l’on était entre de très bonnes mains. Certes , sa mise en scène est moins exaltée que dans ses précédentes réalisations, plus paisible...mais c’est toujours divinement bien écrit, les personnages sont très complexe (même si on sait qu’ils s’agit d’une biographie sur deux stars hollywoodiennes réelles) et d’ailleurs il n’hésite pas que ce soit à l’écran ou implicitement dans son écriture à montrer les acteurs Lucille Ball et Dasi Arnaz dans leurs aspects les moins reluisants tout en créant un vrai lien affectif, et leurs rendant un bel hommage. Je dirais donc que la pratique semble académique mais en réalité le fond est plus rechercher. On est fasse à une fresque qui parle à la fois de cinéma et de dilemmes politiques avec en plus des gens qui ont vraiment peur de perdre leurs gagne pain car pas assez politiquement correct. C’est une histoire qui fait profondément écho à notre époque bien qu’elle se soit dérouler en 1950 . Ce qui est presque fou et la réalité pourrait ici passer pour de la fiction. Et inversement. Ce qui est une belle victoire.

    Puis pour la première fois de leurs carrière le réalisateur américain réunis deux monstres sacrés hollywoodien qui ne s’était jamais donner la réplique avant pour joués deux autres monstres sacrés de la télévision : Nicole Kidman en Lucille Ball et Javier Bardem en Dasi Arnaz. Ce dernier sans être grandiose tient son rôle à la perfection bien que finalement il semble très effacé et semble moins travailler que son homologue féminin. Quand à Nicole Kidman, après avoir galérer pendant des années malgré quelques bonnes apparitions par çi et là dont dans de très bonnes séries télévisées, elle remonte enfin à la pente – et nous offre une performance spectaculaire. Peut-être l’une des plus belles, des plus émouvantes et des plus marquantes depuis longtemps qui pourrait même lui offrir une tant attendue et nouvelle nomination à l’oscar de la meilleure actrice. Ce qui serait amplement mériter. Bien sûr, la transformation physique tout comme le travail accompli sur la gestuelle et démarche de Lucille Ball et son alter-égo fictif est dingue. Mais finalement cette année, il y a tant d’actrices qui ont accomplis un travail similaire que cela pourrait sembler banal. Mais non ce qui est formidable c’est son travail de nuance, sa palette d’émotions et comment elle nous fait littéralement passer du rires aux larmes.

    Les seconds rôles sont pas tous très bon mais celui qui m’a toucher le plus et dont le jeu d’acteur m’as le plus surpris fus celui de JK Simmons que tout le monde connaît dans Whisplash (2014). Son rôle est peut-être l’un des meilleurs seconds rôles écrit. Bénéficiant à la fois d’un travail de développement très rechercher tout en restant ce qu’il est : un second rôle – donc un support pour faire avancer les protagonistes. Les décors, la musique, la photographie, le montage (qui comme Tick Tick Boom explore le côté documentaire) participe à cette véritable immersion à laquelle nous invite Aaron Sorkin.

    En conclusion Aaron Sorkin conclut l’année avec Being the Ricardos qui même s’il semble être une proposition plus sage de son réalisateur, reste une véritable plongée dans les coulisses du cinéma tout en étant un très beau drame psychanalyste sublimée par Nicole Kidman qui n’as rien perdue de sa verve. Un très beau divertissement pour les fêtes qui devrez plaire aux cinéphiles, pour nous définitivement le meilleur depuis Dans l’ombre de Mary et Mank.
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