Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré un scénario mince comme du papier à cigarette, malgré des dialogues raplapla, ce road movie parisien a la grâce. Pourquoi ? Parce qu'il propose une formidable immersion urbaine (...) On retrouve ici le plaisir sensoriel éprouvé à la vision de nombreux films américains (souvent policiers), qui savent prendre le pouls d'une ville.
Ouest France
par La rédaction
Une sorte de road-movie dans les quartiers tendance de Paris, avec des anti-héros qui eux aussi sentent beaucoup l'air du temps (...) Parmi eux, Mikaël Fitoussi, omniprésent avec son faux air d'Adrian Brody, de la première à la dernière image, avec nonchalance et vitalité. Il donne son charme léger à cette chronique tendrement insouciante.
Télérama
par François Gorin
Voici un portrait de glandeur où l'anachronisme le dispute à l'air du temps. Le cocktail a des vertus plus stimulantes qu'assommantes. (...) Mikaël Fitoussi donne beaucoup à ce personnage gourmand, et sa complicité avec le réalisateur David Lanzmann (fils de Jacques) est évidente.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Sur un scénario très mince, David Lanzmann parvient à montrer qu'il a le sens du cadrage et signe un film sympathique à la gloire des flâneries insouciantes dans Paris.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Cela fait un bien fou de voir (...) de nouvelles ou trop rares têtes, à commencer par celle du prometteur Mickael Fitoussi, ainsi que la sublime Elina Lowensohn (...) le film aurait gagné à tendre vers davantage d'abstraction et à se perdre avec plus de folie dans le cours accidenté des faits et gestes de son beau personnage.
Libération
par Gilles Renault
(...) un premier film qui, s'il n'est pas exempt de maladresses, manifeste néanmoins sur la durée un charme diffus (...) on saura gré à Doo wop et son côté Klapisch light, par la force des choses (moyens ric-rac) de ne pas tirer sur la corde sensible pour, au contraire, assumer la désillusion latente d'un microcosme citadin nourri de galères et de combines.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Ce portrait d'un jeune looser gardant la foi malgré les épreuves n'est pas dénué de charme (...) Pourtant, aucune émotion réelle ne transpire de l'histoire, sans doute parce que le cinéaste refuse d'imposer tout enjeu à son personnage.
Paris Match
par Alain Spira
Doux et sauvage, ce film ne fait qu'effleurer les émotions.
Première
par Isabelle Danel
Il y a de la musique, du désarroi post-adolescent, des références vaguement écrasantes, un (petit) ton et une (grosse) envie de filmer.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Malgré quelques errements vains, une seconde partie moins convaincante que la première et un fétichisme un chouïa énervant (...), le résultat possède un certain charme, voire même un ton. Le scénario ressemble trop à une succession de vignettes à travers lesquelles tout un chacun est libre de se retrouver.
Brazil
par Caroline Vié
David Lanzmann nous rend vite pénible ce loser genre poète maudit au regard de cocker et au chapeau vissé sur le crâne qui accumule les conneries en essayant de réussir dans la musique.
Fluctuat.net
par Laure Naimski
Ziggy, qui évolue dans cette chronique urbaine façon road movie ou Paris se dit Paname et s'éveille à 5 heures, manque d'épaisseur. Tout ça est un peu trop lisse et non, décidément, le funk ne vaut pas le blues a-t-on envie de dire au jeune cinéaste-musicien. (...) le jeune cinéaste s'emmêle un peu les pieds dans des situations convenues.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Rarement a été donné à voir un film aussi inepte. Une mythologie puérile et démodée.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Plombé dès le début par une posture nonchalante qui ne le quittera plus, l'itinéraire paresseux de ce loser sans étoffe prouve au moins que son réalisateur sait composer son cadre. Pour le reste...
Zurban
par Charlotte Lipinska
(...) le réalisateur ne parvient pas à s'affranchir de ses références à la Nouvelle Vague. La forme libertaire du film vire à l'exercice de style et ne comble pas les creux du scénario. Oui, c'est beau une ville la nuit. Encore faudrait-il qu'il s'y passe quelque chose...
L'Humanité
Malgré un scénario mince comme du papier à cigarette, malgré des dialogues raplapla, ce road movie parisien a la grâce. Pourquoi ? Parce qu'il propose une formidable immersion urbaine (...) On retrouve ici le plaisir sensoriel éprouvé à la vision de nombreux films américains (souvent policiers), qui savent prendre le pouls d'une ville.
Ouest France
Une sorte de road-movie dans les quartiers tendance de Paris, avec des anti-héros qui eux aussi sentent beaucoup l'air du temps (...) Parmi eux, Mikaël Fitoussi, omniprésent avec son faux air d'Adrian Brody, de la première à la dernière image, avec nonchalance et vitalité. Il donne son charme léger à cette chronique tendrement insouciante.
Télérama
Voici un portrait de glandeur où l'anachronisme le dispute à l'air du temps. Le cocktail a des vertus plus stimulantes qu'assommantes. (...) Mikaël Fitoussi donne beaucoup à ce personnage gourmand, et sa complicité avec le réalisateur David Lanzmann (fils de Jacques) est évidente.
Le Monde
Sur un scénario très mince, David Lanzmann parvient à montrer qu'il a le sens du cadrage et signe un film sympathique à la gloire des flâneries insouciantes dans Paris.
Les Inrockuptibles
Cela fait un bien fou de voir (...) de nouvelles ou trop rares têtes, à commencer par celle du prometteur Mickael Fitoussi, ainsi que la sublime Elina Lowensohn (...) le film aurait gagné à tendre vers davantage d'abstraction et à se perdre avec plus de folie dans le cours accidenté des faits et gestes de son beau personnage.
Libération
(...) un premier film qui, s'il n'est pas exempt de maladresses, manifeste néanmoins sur la durée un charme diffus (...) on saura gré à Doo wop et son côté Klapisch light, par la force des choses (moyens ric-rac) de ne pas tirer sur la corde sensible pour, au contraire, assumer la désillusion latente d'un microcosme citadin nourri de galères et de combines.
MCinéma.com
Ce portrait d'un jeune looser gardant la foi malgré les épreuves n'est pas dénué de charme (...) Pourtant, aucune émotion réelle ne transpire de l'histoire, sans doute parce que le cinéaste refuse d'imposer tout enjeu à son personnage.
Paris Match
Doux et sauvage, ce film ne fait qu'effleurer les émotions.
Première
Il y a de la musique, du désarroi post-adolescent, des références vaguement écrasantes, un (petit) ton et une (grosse) envie de filmer.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
Malgré quelques errements vains, une seconde partie moins convaincante que la première et un fétichisme un chouïa énervant (...), le résultat possède un certain charme, voire même un ton. Le scénario ressemble trop à une succession de vignettes à travers lesquelles tout un chacun est libre de se retrouver.
Brazil
David Lanzmann nous rend vite pénible ce loser genre poète maudit au regard de cocker et au chapeau vissé sur le crâne qui accumule les conneries en essayant de réussir dans la musique.
Fluctuat.net
Ziggy, qui évolue dans cette chronique urbaine façon road movie ou Paris se dit Paname et s'éveille à 5 heures, manque d'épaisseur. Tout ça est un peu trop lisse et non, décidément, le funk ne vaut pas le blues a-t-on envie de dire au jeune cinéaste-musicien. (...) le jeune cinéaste s'emmêle un peu les pieds dans des situations convenues.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Positif
Rarement a été donné à voir un film aussi inepte. Une mythologie puérile et démodée.
TéléCinéObs
Plombé dès le début par une posture nonchalante qui ne le quittera plus, l'itinéraire paresseux de ce loser sans étoffe prouve au moins que son réalisateur sait composer son cadre. Pour le reste...
Zurban
(...) le réalisateur ne parvient pas à s'affranchir de ses références à la Nouvelle Vague. La forme libertaire du film vire à l'exercice de style et ne comble pas les creux du scénario. Oui, c'est beau une ville la nuit. Encore faudrait-il qu'il s'y passe quelque chose...