Mon compte
    Universal Theory
    Note moyenne
    2,8
    227 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Universal Theory ?

    38 critiques spectateurs

    5
    4 critiques
    4
    8 critiques
    3
    8 critiques
    2
    13 critiques
    1
    5 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    jackflash
    jackflash

    12 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 février 2024
    Une romance fantastique tournée dans des supers paysages de montagnes enneigés. L'alibi du métaverse et le traitement assez esthétique en noir et blanc ne peuvent malheureusement pas sauver ce film. Sachant qu'une hirondelle ne fait pas le printemps, Jan büllow ne saurait faire oublier que ce film est à la fois trop long, alambiqué et trop décousu.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    138 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2024
    Johannes est un jeune physicien prometteur qui travaille sur des théories révolutionnaires de physique quantique. Il est convaincu de la possibilité du multivers : plusieurs mondes parallèles au nôtre, similaires mais différents. Lorsque son mentor est invité à un congrès dans les Alpes suisses, les étranges événements qui se déroulent sur place tendent à le questionner. En salle le 21 février.

    spoiler: "Universal theory" est un film original qui reprend les codes du film noir sur fond de théories de physique quantique. À mi-chemin entre Oppenheimer, Dark et le faucon maltais, on assiste à une intrigue complexe. Trop complexe. Difficile de s'y retrouver dans les rebondissements et notamment quels personnages appartiennent à quel monde. J'ai apprécié l'ambiance très spéciale, assez old-school de la proposition, plongeant le spectateur dans une espèce d'enquête sur fond de surnaturel. Le film se permet également de petites références historiques en cette période d'après-guerre notamment sur l'holocauste et la position des scientifiques pendant la shoah.
    Pierre
    Pierre

    17 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 février 2024
    J'ai pas trop compris le fil de l'histoire du film. Je me suis perdu dedans. Certaines étaient longue et ennuyeuse. Une très bonne bande-son
    Paul B
    Paul B

    43 abonnés 979 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2024
    Le pitch de départ est original, les références au cinéma des années 1960 nombreuses, mais le rythme est si mou que l'ennui s'y fait beaucoup trop ressentir. Dommage.
    JUJUBE20
    JUJUBE20

    25 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 février 2024
    "Tout est dans tout et réciproquement" rigolait Pierre Dac et cette maxime s'applique parfaitement à ce film, mais sans la dimension comique, tant le réalisateur se prend ici au sérieux. C'est pompeux et prétentieux, fumeux et filandreux. Ah ça les référence abondent, comme s'il en pleuvait, du Murnau (les ombres qui se détachent d'un coup), du Welles (la lumière qui surgit sur un visage), de l'Hitchcock pour l'intrigue incompréhensible, du Fritz Lang spoiler: pour les complots torves
    , du Lynch pour l'histoire d'amour évanescente... C'est ultra-référencé, mais pour quel résultat ? A défaut de congrès scientifique, un pensum à la bande son, certes belle, mais envahissante, au jeu outré des comédiens dans le plus pur style expressionniste (les policiers, le concierge, la comtesse russe...) et à l'inspiration défaillante. On y comprend que pouic, ce qui peut s'accepter (d'excellents films se passent de scénarios qui tiennent), mais c'est parce que le spectateur se sent moins intelligent que le réalisateur qui le regarde en surplomb. Regardez comme je suis doué, comme je suis fort, comme je maîtrise la physique quantique ! Une longue esbrouffe, où se détache la figure de Johannes ( spoiler: très beau plan où il écoute la montagne
    ), les paysages enneigés en noir et blanc, les tunnels effrayants des cauchemars... Il y avait de quoi faire, avec moins de vanité : cela pète plus haut... et ça fait pschit.
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    23 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2024
    Une maîtrise évidente de grand cinéaste puisant dans les plus beaux répertoires du genre mais un décalage constant entre la force du réel si bien rendu et la science-fiction un peu trop ésotérique. Une impression de chef-d'oeuvre loupé et c'est dommage.
    xeniteprince
    xeniteprince

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2024
    Un très grand film par un cinéaste hors normes. Du vrai cinéma d’auteur comme on en voit de plus en plus rarement.
    mem94mem
    mem94mem

    115 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2024
    Film passionnant, imprévisible, qui m'a tenu en éveil en permanence. Tout est étrange et mystérieux. Jan Bülow est parfaitement dirigé et il est omniprésent. Grande réalisation avec image et mise en scène au poil, idem pour la musique. Timm Kröger nous crée une ambiance légèrement anxiogène et addictive. J'ai pestiféré en mon sein intérieur quand j'ai compris que le film touchait à sa fin, j'aurai tant aimé que ça dure plus longtemps. C'est vraiment un film d'ambiance et c'est réussI.
    Yves G.
    Yves G.

    1 445 abonnés 3 468 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 février 2024
    Johannes Leinert présente en 1974 à la télévision allemande son livre "La Théorie du tout". Il raconte un épisode de sa vie qui s’est déroulé douze ans plus tôt dans les Grisons, où le jeune Johannes, alors doctorant en physique quantique, avait participé avec son directeur de thèse à un congrès international. Ce congrès avait été marqué par une série d’épisodes mystérieux, à commencer par la défection de son principal intervenant. Johannes y avait fait la connaissance de Maria (Olivia Ross), une pianiste aux dons étranges.

    Présenté en compétition à la dernière Mostra, "Universal Theory" (bizarre traduction française de "Die Theorie von Allem", « la théorie du tout ») est un film ambitieux et impressionnant. Ultra-référencé, il multiplie les clins d’oeil, les emprunts, les hommages, jusqu’au vertige :
    – à Hitchcock, à ses intrigues compliquées sur fond de Guerre froide ("Le Rideau déchiré", "L’Etau", "La Mort aux trousses"….) et à la musique symphonique de Bernard Herrmann ;
    – au cinéma fantastique de David Lynch et à ses mystérieuses créatures venues des confins de notre monde ou peut-être de nos cauchemars les plus morbides ;
    – à "La Montagne magique" de Thomas Mann qui se déroule dans le même écrin intemporel dans un palace international niché au sommet des Alpes enneigées ;
    – à l’expressionnisme allemand de Lang ou de Murnau et à ses héritiers dans le film noir américain jusqu’à Wenders et l’usage qu’il fait du noir et blanc dans Les Ailes du désir.

    On prend un vrai plaisir artistique et intellectuel à retrouver toutes ses références, pendant et après la séance. Elles ne nous écrasent pas moins, ne laissant guère de place à quoi que ce soit d’autre. Car, comme dans les films de Lynch, l’intrigue est passablement filandreuse, sinon totalement incompréhensible. Et, à la différence des films de Hitchcock, aucun suspense palpitant ne nous tient en haleine tout du long. Quant à l’histoire d’amour dont on comprend – sans en être tout à fait certain – qu’elle constitue le fil rouge du scénario, elle est aussi glaciale que la face nord de l’Eiger.
    Fourmi
    Fourmi

    6 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 février 2024
    Ça aurait pu être un beau film... s'il y avait une véritable intrigue. Mais on n'arrive jamais à saisir qu'est-ce qui se passe exactement: ce scénariste inexpérimenté évite de nous donner des explications à chaque fois qu'il en aurait l'occasion, en tiraillant ce mystère jusqu'à la fin. Et à la fin on n'en saura pas plus, à part la suggestion redondante et lapalissienne qu'il y a un univers parallèle: ce qui explique maladroitement toutes les incongruités! Résultat, on s'ennuie mortellement du début à la fin, malgré une photographie noir et blanc et des cadres qui s'inspirent à Hitchcock et Welles.
    traversay1
    traversay1

    3 531 abonnés 4 818 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2024
    Le sentiment d'étrangeté, celui de se trouver en présence d'un objet fascinant et insaisissable, n'est pas si fréquent au cinéma et de ce fait Universal Theory n'est certainement pas à prendre à la légère. Ses références aussi, sont marquantes, de Thomas Mann, avec cet hôtel situé dans les Alpes suisses, aux films d'espionnage de la guerre froide ou encore à l'expressionnisme allemand, en somme des sources redevables à Hitchcock, Lang, Le Carré et on peut même pousser jusqu'à Lynch. Un exercice de style donc, avec une dose de romantisme noir et une intrigue aussi opaque que Le faucon maltais. Après, pour apprécier le film et son atmosphère ou au contraire pour le considérer comme une vaine tentative, c'est non seulement une question de sensibilité mais aussi de moment puisque le film requiert un temps effectif de cerveau disponible. Ce qui manque à Universal Theory pour atteindre le pic de l'envoûtement est peut-être l'absence de charisme de ses deux interprètes principaux, masculin et féminin. Dans un cinéma comme celui-ci, qui privilégie la forme au fond, à force de distordre ce dernier de manière répétitive, les ténèbres ont été préférées à la lumière et la déchéance à la lumière. Un peu d'esprit ludique n'aurait certainement pas nui à un ensemble désespérément sérieux dans sa fantaisie cosmique et temporelle.
    Les sorties de Philippe
    Les sorties de Philippe

    50 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2024
    Lors d’un congrès de physique dans les Alpes suisses en 1962, le jeune Johannes Leinert défend une théorie sur l’existence de mondes parallèles. Mais personne n’y croit, pas même son directeur de thèse, qui la refuse d’une façon vigoureuse, qui étonne même... Les mystères s'accumulent durant ce congrès : la présence fantomatique de Karin, cette jeune pianiste qui l’obsède et semble savoir beaucoup de choses sur lui… Et ces personnes victimes d’accidents étranges dans la montagne… Ces souterrains… Un film sur la fragilité de la réalité, qui demeure dans l’ambiguïté jusqu’à la résolution finale. Tourné dans un beau noir et blanc, avec une musique qui rappelle celle des films expressionnistes allemands, on est séduit par cette atmosphère bizarre. Une très originale réussite.
    sameplayerparis
    sameplayerparis

    34 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 février 2024
    Même si on est sensible aux clins d'oeil appuyés au cinéma noir, à Hitchcock, Fritz Lang, etc.... on se perd totalement dans un scénario confus, sombre, inintelligible et finalement inintéressant. Et c'est long, c'est long....
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    338 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2024
    Film à mi chemin entre l'expressionisme allemand période Fritz Lang et un récit d'anticipation sur le multiverse "Universal Theory" peut désarçonner par son choix d'une construction puzzlesque qui ne suit pas un récit linéaire mais alterne des séquences tirées de rêves et d'une réalité proche du métaverse.
    L'image est superbe dans un Noir et Blanc léché et en plan large..
    N'essayez pas de comprendre forcément le propos et laissez vous porter par le film et des personnages mystérieux.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    165 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2024
    Comme le laisse parfaitement entrevoir la bande-annonce, Universal theory est délibérément un film vintage nous replongeant dans le cinéma des années 1940 et 1950. De sombres mystères entourent un colloque scientifique qui se tient dans un hôtel au fin fond des Alpes Suisses.
    Un vrai plaisir de cinéma se dégage de ce récit que le scénario, la mise en scène et surtout la musique rapprochent de certains vieux Hitchcock en noir et blanc. La mélodie symphonique qu'on entend continuellement dans chaque plan est sans doute le trait le plus explicite de ce retour aux sources hollywoodien.
    Il m'a cependant semblé que le film commençait à patiner au bout d'un certain temps. Le rythme se casse, le fil se perd, malgré quelques rebondissements assez bien sentis.
    spoiler: Puis arrive la séquence finale, fondée sur un dispositif qu'on ne verrait jamais au milieu du XXe siècle. Une voix off se met en effet à commenter les agissements du personnage sur le temps long. Le tout se termine sur un habile plan où son et image se rencontrent en une subtile évocation de la femme disparue.

    Bref, Universal theory est un bel essai, agréable à regarder et qui mérite peut-être une seconde vision pour être apprécié pleinement.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top