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Antoin3
3 abonnés
32 critiques
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4,5
Publiée le 10 septembre 2023
J'ai jamais voulu autant chialer tout un film
J'ai pas compris pourquoi les gens trouvaient que c'était vulgaire. Il doit y avoir une bonne partie d'homophobie dans ceux qui ont dit ça car oui, le personnage principal est homosexuel ohlala 👹👹Et puis sa fille lui parle mal mais personnellement je n'y vois pas trop de grossophobie même si elle n'est pas très sympa à la fin avec lui, je trouve que c'est plus de la tristesse car elle peur de perdre son papa et elle veut lui dire de changer et de prendre soins de son corps
C'était bouleversant, Brendan mérite son oscar, Hong chaud ( ma reine ) n'a plus rien a prouver, Sadie est excellent elle aussi et les 2 autres acteurs aussi fin le casting était incroyable.
Beau film. Le sujet est assez difficile mais il est bien amené et surtout très bien joué par Brendan Fraser. La manière de jouer est incroyable et on ressent beaucoup d'empathie pour le personnage. Bravo Brendan !
Brendan mérite t-il un oscar... sûrement pour sa prestation, pas pour le film qui est dans l ensemble pas terrible. Cette œuvre serait bien mieux à voir en pièce de théâtre qu'en film.
Bouleversé même après le visionnage, j'écris ceci avec la plus grande honnêteté. Je me suis souvent demandé au cours du film si l'acteur principale jouait vraiment.
Les acteurs sont tous impeccables, Brendan Fraser en tête, bien sûr, mais Hong Chau, Sadie Sink, Ty Simpkins ne sont pas en reste de prestations bouleversantes. Beaucoup d’idées intéressantes mais un film long et verbeux, accentué sûrement par le concept du huis-clos. spoiler: La religiosité de la fin de film m’a profondément déçu.
Un excellent film sous forme de huis-clos par le réalisateur de requiem for a dream et du film pi . Il nous est porté par un Brendan Fraser qui nous donne une présentation magnifique et je comprends pourquoi Darren Aronofsky et Brendan Fraser ont reçu chacun un oscar et c'est mérité . Les bons points de ce film sont : la réalisation ( avec un format 4:3 ce qui est peu fréquent de nos jours ) , le jeu d'acteurs et pour finir le fait que ce film soit un huis-clos et le budget de 5 millions de dollars ( qui en a rapporter un peu plus de 50 millions ) nous prouve qu'il y a encore de bons réalisateurs qui nous donnent du très bon cinéma . Sadie Sink , Ty Simkins ( le gosse que l'on voit dans iron man 3 ) Hong Chau et Samantha Morton ( que j'ai connu dans walking dead ) sont très bon dans leurs rôle . Brendan Fraser à dû passer énormément de temps sur costume . Pour ma part il y a que deux défauts qui sont : le film ne peut ce voir qu'une fois et que Sadie Sink n'a pas reçu d'oscar pour sa prestation car elle le mérité vraiment . Je le conseille vivement et avec grand plaisir pour un vrai moment de cinéma .
Adaptation d'une pièce dont on retrouve le côté très théâtral et l'évocation de l'hyperphagie, dans un huit clos étouffant, au sentiment voyeuriste et forcément malaisant. dans cette étude de caractères, ces êtres qui se croisent ont tous des fêlures (avec une fille particulièrement antipathique), ils se déchirent, s'aident malgré eux, se révèlent aussi. Un mélodrame troublant et touchant, d'une certaine manière... et, le regard de B. Fraser est incroyablement expressif.
Énorme claque, le film est bouleversant avec un Brendan Fraser très largement oscarisable. Le film est un huit clos poignant où l'on sent toute la détresse de l'homme qu'incarne l'acteur. Mon premier Aronofsky et sûrement pas le dernier.
Un film fait pour tirer les larmes des yeux des spectateurs. Long et beaucoup de pathos. Parfois glauque et dérangeant. Un objectif un peu trop évident pour être sincère. Mais les acteurs sont excellents.
Du grand cinéma. Ce film laisse sans voix. Ticket direct pour estimer la profondeur de notre capacité à ressentir, de notre capacité à l'empathie et à l'appréciation de la beauté intérieure.
Ce qui est triste (en dehors du scénario et de l'ambiance du film) c'est qu'on sent l'éxpérience du réalisateur parce que visuellement c'est maitrisé mais c'est la tout le drame ! A cause de ce soucis du détail, on se dit qu'il va se passer quelque chose et rien c'est littéralement spoiler: 2h sur un homme en surpoids qui a une vie horriblement malsaine , alors oui on a par moments de la peine pour lui et en même temps non . En tout cas si ce film a pour but de combattre la grossophobie c'est ridicule. Il n'y a rien de glorieux à détruire sa santé et sa vie contrairement à ceux que nous dit la mode du body positivisme. Je ne vous conseille pas ce film. En conclusion je dirai que c'est honteux de faire un film comme ça quand on a les moyens et l'exposition que des gens doués n'auront jamais. Si nous appelons ce genre de films des "chefs d'oeuvres alors effectivement l'humanité est condamné à devenir des "whale" solitaires et sans gouts ni standards (comme les américains dans Wall E) !
Une "baleine" qui ne génère pas d'ennui durant deux heures, alors qu'on est constamment en intérieur au même endroit, cela prouve que les dialogues sont bons ou que l'interprétation de tous les acteurs s'avère toute aussi bonne. En outre, le thème de l'obésité autodestructrice est abordé avec justesse, interrogeant brillamment sur une forme de suicide programmé, ou d'une addiction qui semble fatale... Curieusement, et à aucun moment , on ne parle de maigrir, ce qui pourtant pourrait peut-être sauver Charlie, notre antihéros pachydermique. Ce n'est pas un film léger, certes, et c'est le cas de le dire, mais son caractère humain, un peu d'humour, et certaines trivialités de la vie quotidienne auxquelles il doit faire face ne le rendent pas non plus totalement déprimogène. Néanmoins, parmi ses défauts, on déplore peut-être un manque de visibilité sur les intentions des personnages secondaires, et ainsi sur l'intention de l'auteur. De plus, en ce qui concerne la toute fin, on hésite entre céder au grandiose pour verser quelques larmes, ou ne pas y céder en la trouvant foncièrement grotesque au point de s'en moquer. Le fait de se lever rappelle quelque peu la fin du Cercle des poètes disparus, mais pour ce film de 1989, il y avait moins à tergiverser sur sa magnificence.