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Votre avis sur The Whale ?
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Extrêmement déçue par ce film et surprise de l'engouement qu'il suscite chez certain.e.s... Et quelle tristesse d'observer un réalisateur de plus qui caricature son cinéma ! Impossible pour moi de conseiller ce film alors que j'ai beaucoup aimé les premiers films d'Aronofsky.
Certes l'histoire est poignante et une mine d'or pour explorer, dans le cadre d'un huis-clos théâtral, la problématique de la dépression sévère et de l'hyperphagie boulémique, du deuil, de la famille, la solitude, l'image de soi etc... mais les choix de réalisation ne sont ni au service de l'histoire, ni au service des personnages malheureusement.
En quoi était-ce nécessaire de mettre en scène une personne souffrant d'obésité morbide pour disséquer sa souffrance, pour observer avec une forme de curiosité malsaine la destruction d'un homme qui a tout mis en œuvre pour se punir, disparaître tellement spoiler: il s'en voulait d'avoir quitté son épouse et abandonné sa fille, de n'avoir pas réussi à sauvé son compagnon souffrant de dépression
?
J'ai été très gênée par ce choix de traiter la souffrance de cet homme par le biais de son obésité morbide. Clairement Aronofsky n'est pas un allié des personnes grosses et n'a pas dû s'interroger une seule seconde sur l'impact d'un tel fllm. Bien que le film nous pousse à penser le coût et l'énergie nécessaire pour se mouvoir, faire les moindres gestes de la vie quotidienne, était-il nécessaire d'avoir l'impression d'être dans un film d'action où la moindre action telle spoiler: qu'essayer de ramasser quelque chose, manger ou s'énerver était source de danger(s), voir d'une potentielle mort ?
Qu'est-ce que cela apporte à l'histoire ? Ce film présente sans aucune finesse et empathie réelle le chemin, l'histoire de vie de personnes souffrant d'obésité morbide. Je m'interroge sur une forme de curiosité mal placée/voyeurisme et quid de la représentation d'une personne grosse en castant un acteur qui a porté une "fat suit".
Toutefois la seule chose qui mérite d'être louée dans ce film, c'est l'engagement et la prestation des acteur.ices et notamment de Hong Chau. Je sais que le film se base sur une pièce mais il aurait été intéressant de prendre quelques libertés pour par exemple développer la relation qui lie le personnage principal à son infirmière/ spoiler: ex belle-soeur
. Je pourrais également me pencher sur le portrait caricatural de sa fille ado avec qui le personnage principal essaie de renouer le contact ou encore me pencher sur la dernière scène du film qui ruine la fin de l'histoire. Mais la seule conclusion à retenir est la suivante : personnellement je déconseille ce film !
Certes l'histoire est poignante et une mine d'or pour explorer, dans le cadre d'un huis-clos théâtral, la problématique de la dépression sévère et de l'hyperphagie boulémique, du deuil, de la famille, la solitude, l'image de soi etc... mais les choix de réalisation ne sont ni au service de l'histoire, ni au service des personnages malheureusement.
En quoi était-ce nécessaire de mettre en scène une personne souffrant d'obésité morbide pour disséquer sa souffrance, pour observer avec une forme de curiosité malsaine la destruction d'un homme qui a tout mis en œuvre pour se punir, disparaître tellement spoiler: il s'en voulait d'avoir quitté son épouse et abandonné sa fille, de n'avoir pas réussi à sauvé son compagnon souffrant de dépression
?
J'ai été très gênée par ce choix de traiter la souffrance de cet homme par le biais de son obésité morbide. Clairement Aronofsky n'est pas un allié des personnes grosses et n'a pas dû s'interroger une seule seconde sur l'impact d'un tel fllm. Bien que le film nous pousse à penser le coût et l'énergie nécessaire pour se mouvoir, faire les moindres gestes de la vie quotidienne, était-il nécessaire d'avoir l'impression d'être dans un film d'action où la moindre action telle spoiler: qu'essayer de ramasser quelque chose, manger ou s'énerver était source de danger(s), voir d'une potentielle mort ?
Qu'est-ce que cela apporte à l'histoire ? Ce film présente sans aucune finesse et empathie réelle le chemin, l'histoire de vie de personnes souffrant d'obésité morbide. Je m'interroge sur une forme de curiosité mal placée/voyeurisme et quid de la représentation d'une personne grosse en castant un acteur qui a porté une "fat suit".
Toutefois la seule chose qui mérite d'être louée dans ce film, c'est l'engagement et la prestation des acteur.ices et notamment de Hong Chau. Je sais que le film se base sur une pièce mais il aurait été intéressant de prendre quelques libertés pour par exemple développer la relation qui lie le personnage principal à son infirmière/ spoiler: ex belle-soeur
. Je pourrais également me pencher sur le portrait caricatural de sa fille ado avec qui le personnage principal essaie de renouer le contact ou encore me pencher sur la dernière scène du film qui ruine la fin de l'histoire. Mais la seule conclusion à retenir est la suivante : personnellement je déconseille ce film !
Quelle claque ce film !! Rien de commun avec ce que j'ai vu jusqu'a maintenant.....
Un huit clos principalement dans une pièce de l'appartement.
La métamorphose de Brendan Fraser , je ne l'avais pas reconnu en homme mega OBESE.
Pitié ou dégout , que de sentiments profonds qui ne laissent pas indifférents... A voir..
Un huit clos principalement dans une pièce de l'appartement.
La métamorphose de Brendan Fraser , je ne l'avais pas reconnu en homme mega OBESE.
Pitié ou dégout , que de sentiments profonds qui ne laissent pas indifférents... A voir..
Excellent film. Oppressant, angoissant, dégoûtant même parfois. La dignité humaine elle même est remise en question face à cet homme qui abandonne et ressemble à ce qu'il pense être un monstre.
De nombreux thèmes sont abordés. La dépression, les troubles du comportement alimentaire (boulimie), le suicide, l'obésité morbide, l'alcoolisme, la religion et les sectes, le pessimisme et l'optimisme voire la naïveté, l'homophobie (sur plan politique : les droits LGBT aussi)...
Ce personnage est attachant et détestable, il a abandonné tout et on lui en veut pour ça. Pourtant, il semble mourir en paix et dans l'acceptation. Comment aider quelqu'un qui ne veut plus continuer ? C'est la question que se film pose aussi. Ce personnage est détestable car il fait souffrir, il aurait pû faire différemment mais ne l'a pas fait, il se déteste, il s'auto-flagelle, il veut qu'on lui dise qu'il est dégoûtant, il s'excuse tout le temps mais n'agit pas, il vit dans le passé...il est naïf et pense qu'il pourra se racheter juste avant de mourir : n'est ce pas trop facile ? On se demande après le film que penser de ce personnage : n'était-il pas juste centré sur lui même en essayant de racheter sa conscience ? Ou au contraire, très empathique...au fond, on peut aussi y voir quelqu'un qui a décidé d'abandonner, et qui jusqu'au bout, se flagelle. Beaucoup d'interprétations sont ouvertes mais cela fait vraiment réfléchir. Je regrette juste d'avoir mangé une pizza avant de regarder le film car assister à un suicide dans une ambiance huis-clos, ça remue l'estomac.
Le film a choisi un point de vue "pathos", on ne respire pas, on a pitié. À la fin, on ressent une certaine libération.
spoiler: Le personnage du livreur fait mal. Il nous déçoit. La dure réalité nous frappe quand on voit son air de dégoût et c'est poignant. De même pour le précheur, qui après avoir montré sa profondeur, nous montre sa fermeture d'esprit et son homophobie. Y a t'il une morale à tirer de ce film ? Je ne suis pas sûre. Pour moi, c'est un film cru qui montre ce qu'on ne montre jamais d'habitude : l'absence d'espoir, le suicide, et l'acceptation (la paix). Pour autant, la vie de cet homme ne sera jamais souhaitable pour quiconque. A voir si vous avez les tripes !!
De nombreux thèmes sont abordés. La dépression, les troubles du comportement alimentaire (boulimie), le suicide, l'obésité morbide, l'alcoolisme, la religion et les sectes, le pessimisme et l'optimisme voire la naïveté, l'homophobie (sur plan politique : les droits LGBT aussi)...
Ce personnage est attachant et détestable, il a abandonné tout et on lui en veut pour ça. Pourtant, il semble mourir en paix et dans l'acceptation. Comment aider quelqu'un qui ne veut plus continuer ? C'est la question que se film pose aussi. Ce personnage est détestable car il fait souffrir, il aurait pû faire différemment mais ne l'a pas fait, il se déteste, il s'auto-flagelle, il veut qu'on lui dise qu'il est dégoûtant, il s'excuse tout le temps mais n'agit pas, il vit dans le passé...il est naïf et pense qu'il pourra se racheter juste avant de mourir : n'est ce pas trop facile ? On se demande après le film que penser de ce personnage : n'était-il pas juste centré sur lui même en essayant de racheter sa conscience ? Ou au contraire, très empathique...au fond, on peut aussi y voir quelqu'un qui a décidé d'abandonner, et qui jusqu'au bout, se flagelle. Beaucoup d'interprétations sont ouvertes mais cela fait vraiment réfléchir. Je regrette juste d'avoir mangé une pizza avant de regarder le film car assister à un suicide dans une ambiance huis-clos, ça remue l'estomac.
Le film a choisi un point de vue "pathos", on ne respire pas, on a pitié. À la fin, on ressent une certaine libération.
spoiler: Le personnage du livreur fait mal. Il nous déçoit. La dure réalité nous frappe quand on voit son air de dégoût et c'est poignant. De même pour le précheur, qui après avoir montré sa profondeur, nous montre sa fermeture d'esprit et son homophobie. Y a t'il une morale à tirer de ce film ? Je ne suis pas sûre. Pour moi, c'est un film cru qui montre ce qu'on ne montre jamais d'habitude : l'absence d'espoir, le suicide, et l'acceptation (la paix). Pour autant, la vie de cet homme ne sera jamais souhaitable pour quiconque. A voir si vous avez les tripes !!
NammJones
Belle performance de Brendan Fraser, on ne peut le nier mais au fond, est-ce qu'il y avait tant à donner ou à démontrer ?
Les personnages secondaires sont tous insupportables en plus d'être égocentriques à l'excès, ce qui leur fait perdre toute crédibilité. Ils apparaissent et repartent comme dans une simple pièce de théâtre.
Le film est tire-larme mais l'émotion n'est pas dans le jeu des acteurs, juste dans le scénario. Ce qui fait qu'au bout d'un moment, on commence à trouver le temps long. On ne se situe pas forcement dans le temps non plus.
Le final est beau mais tellement attendu.
Ce sont les mêmes qui apprécieront...
Les personnages secondaires sont tous insupportables en plus d'être égocentriques à l'excès, ce qui leur fait perdre toute crédibilité. Ils apparaissent et repartent comme dans une simple pièce de théâtre.
Le film est tire-larme mais l'émotion n'est pas dans le jeu des acteurs, juste dans le scénario. Ce qui fait qu'au bout d'un moment, on commence à trouver le temps long. On ne se situe pas forcement dans le temps non plus.
Le final est beau mais tellement attendu.
Ce sont les mêmes qui apprécieront...
Très bon film très émouvant, prenant du début à la fin. Je conseille vivement. Une performance d'acteur .
Ce film me touche énormément !!! Cet acteur est un bonne comédien et il a eu les 3 oscars. Bonne recommandation.
L’histoire du personnage principal n’est pas importante, elle sert d’intrigue pour nous dévoiler une société américaine en souffrance, coincée entre la religion, la surconsommation, un système éducatif défaillant et une ubérisation de la société toujours plus forte : n’y voyez donc pas seulement un film offert sur un plateau pour un Oscar.
Voila une très belle représentation d'une addiction et maladie peu vu dans les films, l'anorexie est toujours plus aborder que l'obésité. L'atmosphère étouffante du huit clos dans l'appartement du personnage principale est subliment malaisante. Une authenticité à coupé le souffle grâce à sa poésie (comme toujours avec Darren), sa finesse et l'interprétation des acteurs. Une vrai tragédie poignante, je recommande fortement pour les amateurs de ce genre.
Que dire d'un tel drame...
C'est terrible, dur, pesant... bouleversant !
Brendan Fraser est méconnaissable et époustouflant dans la peau de ce professeur atteint d'obésité morbide qui va tenter de renouer le lien perdu avec sa fille de 17 ans.
J'ai vraiment souffert en regardant cet homme s'autodétruire avec de la nourriture.
Un film cru et effroyable sur les dérives physiques liées à un mal-être : on se gave d'aliments pour combler un vide, pas pour répondre à une sensation de faim.
Emouvant, déchirant et choquant à la fois : à voir au minimum pour la prestation hallucinante du héros de la trilogie "La Momie" des années 2000 !
Site CINEMADOURG.free.fr
C'est terrible, dur, pesant... bouleversant !
Brendan Fraser est méconnaissable et époustouflant dans la peau de ce professeur atteint d'obésité morbide qui va tenter de renouer le lien perdu avec sa fille de 17 ans.
J'ai vraiment souffert en regardant cet homme s'autodétruire avec de la nourriture.
Un film cru et effroyable sur les dérives physiques liées à un mal-être : on se gave d'aliments pour combler un vide, pas pour répondre à une sensation de faim.
Emouvant, déchirant et choquant à la fois : à voir au minimum pour la prestation hallucinante du héros de la trilogie "La Momie" des années 2000 !
Site CINEMADOURG.free.fr
Le genre d'expérience qu'on aime avoir en salle. "The Whale" est un film malsain et dérangeant pour sa triste réalité. Brendan Fraser incarne avec une justesse déconcertante un homme atteint d'obésité morbide qui tente de renouer avec sa fille. Dans ce huis clos adapté d'une pièce de théâtre, l'image est étouffée par la carrure imposante du personnage accompagnée d'une musique aussi sifflante que le chant des baleines.
Le scénario n'est pas le point fort du film, il s'agit d'une relation ratée entre une fille et son père, seul le contexte est différent. Brendan Fraser est plus que brillant dans son interprétation et signe un retour au cinéma de la plus belle des manières. Sadie Sink s'en sort également plutôt bien même si elle était évidemment écrasée par la prestance de son partenaire de jeu.
Bémol tout de même concernant le personnage du prêcheur qui casse le rythme du film et ne trouve une utilité qu'à partir de la fin ce qui est assez décevant car il y avait un gros potentiel.
Le scénario n'est pas le point fort du film, il s'agit d'une relation ratée entre une fille et son père, seul le contexte est différent. Brendan Fraser est plus que brillant dans son interprétation et signe un retour au cinéma de la plus belle des manières. Sadie Sink s'en sort également plutôt bien même si elle était évidemment écrasée par la prestance de son partenaire de jeu.
Bémol tout de même concernant le personnage du prêcheur qui casse le rythme du film et ne trouve une utilité qu'à partir de la fin ce qui est assez décevant car il y avait un gros potentiel.
Film très réaliste et touchant sur une fin de vie à domicile teintée de regrets familiaux qui obtiennent la réparation espérée.
L'acteur est impressionnant autant niveau des émotions que du physique.
L'acteur est impressionnant autant niveau des émotions que du physique.
Pauline G.
Immense, gigantesque déception. Le scénario est fade, la lumière quasi nulle, la qualité des personnages est encore à trouver, tant tout est surjoué, sur scénarisé, et tout ça nappé d'une morale christianoravagée. Plus le film avance, plus la surenchère augmente et plus on s'enfonce dans le ridicule, si bien que ça en devient gênant.
Un drame produit par Darren Aronofsky que j'ai trouvé prenant pour son histoire vraiment pas facile à vivre, avec des acteurs qui interprètent incroyablement bien leurs personnages. Dommage qu'il s'avère si long, deux heures où nous sommes enfermés dans cette maison avec Brendan Fraser, Charlie, un professeur de littérature, coincé chez lui à cause de son obésité. Très peu de rebondissements, même si cela n'était pas l'intention, ça aurait été pas mal d'en ajouter. Le cadrage est intéressant, les plans très près des visages montrent encore une fois l'idée du confinement, d'étouffement… Très bon casting, d'incroyables prestations, juste celle du jeune garçon qui reste en dessous selon moi. Un dénouement ouvert qui laisse plusieurs interprétations possibles. Pas trop mal dans l'ensemble.
Un film fort et subtil sur la redemption porté par une performance exceptionnelle de Brendan Fraser. Une mise en scène maline qui exploite pleinement les caractéristiques du huit clos.
Film ennuyeux et cliché à souhait... Ça risque de plaire aux amateurs du style hollywoodien et à la bienpensance hypocrite !
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