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    Rue Cases-Nègres
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    Yetcha
    Yetcha

    875 abonnés 4 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2024
    Une belle reconstitution des ouvriers noirs exploités aux Antilles, quelques décennies après l'abolition de l'esclavage qui n'a que peut changer leurs conditions de travail malheureusement. Une période de l'histoire rarement abordée en France, et rien que pour ça, malgré son âge conséquent, le film vaut d'être vu.
    Kymani Alger
    Kymani Alger

    24 abonnés 546 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2023
    Film inconnu du grand public alors qu'il est très touchant et bien réalisé. Un film qui représente parfaitement les conditions de vie de la Martinique des années 30 car oui Euzhan Palcy maîtrise très bien la mise en scène et la réalisation. C'est un film grandement émouvant ! Je suis content que Palcy est remporté un oscar même si c'est des années plus tard.
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    11 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 février 2017
    un film gentillet, plein de bons sentiments, mais sans grande envergure; il y avait vraiment matière pour faire autre chose. De plus, je regrette qu'il n'y ait pas de sous-titres car le créole n'est pas ma langue maternelle.
    Napoléon
    Napoléon

    140 abonnés 1 563 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2016
    Un film dur qui reconstitue très bien les conditions de l'époque, et qui possède un regard très lucide, dénonciateur et critique sur une société post décolonisation qui n'a en fait que très peu changée depuis l'abolition de l'esclavage.
    Real C
    Real C

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Etant originaire des Antilles, je ne suis pas passé à coté de ce film largement méconnu ici. Néanmoins il gagne à être connu. Il s'agit de l'autobiographie d'un auteur (Joseph Zobel) assez connu là bas, qui nous livre une fresque sans concession de la Martinique du début du 20e. A voir au moins une fois dans sa vie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 avril 2013
    « La Rue cas-negres » était un film fait en 1983 au sujet de la communauté Martinique, au début des années 1930. Le centre du film était sur un jeune garçon qui s’appele Jose et sa grand-mère. Cependant, le film raconte les histoires d'autres personnages dans le petit village. Ces personnages différents ont leurs propres arguments tout en influençant Jose qui a onze ans en son chemin à obtenir une éducation et à échapper à la vie des gisements de canne à sucre. Il y a beaucoup de thèmes importants dans ce film qui devrait être identifié. Ces thèmes sont les choses telles que l'inégalité raciale, l'importance de l'éducation, et l'histoire et les liens de la communauté.
    L'inégalité raciale est montrée par le contraste des membres blancs et noirs de la Martinique dans ce film. Les citoyens blancs dans cette histoire sont les propriétaires fonciers riches qui courent les gisements de canne à sucre. Ils ont un statut social élevé et plus d'occasions de réussir. Les citoyens noirs vivent dans mal remonté le village fait par les hommes blancs. Ils luttent pour survivre sur extrêmement - les faibles salaires qu'ils gagnent. Ils également effectuent le travail éreintant dans les domaines de canne à sucre. Aussi, les enfants noirs ont un moment plus difficile obtenant une éducation et une réussite. On s'attend à ce qu'ils travaillent dans les domaines de canne à sucre à moins qu'ils puissent gagner une bourse pour continuer leurs études.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 mars 2013
    « La Rue case-nègres » est un film puissant réalisé par Euzhan Palcy qui décrit la vie difficile des travailleurs noirs sur une plantation de la canne à sucre à la Martinique. Le protagoniste, José, est un jeune garçon qui habite avec sa grand-mère ; il joue avec d’autres enfants pendant que sa vieille grand-mère, M’man Tine, travaille dans les champs pour un salaire minimum. Quoique la situation de José et M’man Tine ne soit pas idéale, M’man Tine a des grands espoirs pour son petit-fils. Elle comprend l’importance de l’éducation dans la vie, alors elle l’encourage d’étudier et de rêver d’un avenir qui n’inclut pas la plantation. Pour José, ses études sont les clés de son succès, donc l’éducation est un thème principal dans le film parce qu’elle peut offrir un futur loin du travail manuel. Mais le film montre que ce futur a des prix monétaires et émotionnels.
    Pendant l’histoire, il est clair que l’éducation peut offrir une bonne vie à l’étudiant qui, dans le cas de José, ne veut pas être condamné à une vie monotone. M’man Tine et l’instituteur qui s’appelle Monsieur Roc enseignent à José l’importance des études. Monsieur Roc dit profondément que la vraie liberté est accessible si on reçoit une éducation. C’est une affirmation très puissante à offrir à une groupe des élèves qui sont assez jeunes et n’ont pas beaucoup d’opportunités, mais cela montre que Monsieur Roc veut donner l’espoir d’un bon avenir à ses élèves. Avec l’éducation, on a plus de ressources et la connaissance qui sont utiles pour quelqu’un qui ne fait pas le travail manuel. M’man Tine est d’accord avec Monsieur Roc au sujet de l’éducation, et c’est pourquoi elle veut que José aille à l’école à la ville. Quand José reçoit une offre d’étudier au Fort-de-France—la ville qui est un symbole de la meilleure éducation—M’man Tine veut bien sacrifier la vie qu’elle connaît pour donner cette opportunité incroyable à son petit-fils. On a l’impression que José va avoir du succès à l’avenir parce qu’il échappe à la plantation pour étudier à la ville où on peut trouver des gens riches et une société urbanisée. D’un autre côté, le fait que Tortilla ne peut pas aller au Fort-de-France pour l’école malgré qu’elle soit assez intelligente donne l’impression malheureuse qu’elle restera sur la plantation toute sa vie. Cette impression est causée par le ton grave de son père quand il explique que leur situation financière ne permet pas la continuation de l’éducation de Tortilla. Quoique Tortilla aille travailler au bureau de poste et pas dans les champs, elle ne va pas l’opportunité d’échapper à la rue case-nègres comme José. Plus sévère, les autres enfants n’ont pas aucun espoir de quitter la plantation et, par conséquent, ils ont des avenirs du travail manuel. C’est simplement l’éducation qui sépare les situations de José et des autres enfants.
    Cependant, les opportunités qui sont associées avec l’éducation de José ont des prix. Bien sûr, c’est cher pour José d’aller à l’école dans la ville. Avant qu’il reçoive une bourse pour le prix complet de l’éducation, José et sa grand-mère doivent trouver une manière de payer. Cela introduit un nouvel aspect du stress aux vies des deux, et c’est un prix qui est nuisible à la santé de M’man Tine. Elle est forcée de travailler à Fort-de-France bien qu’elle soit vieille et probablement ne doive pas faire des choses laborieuses. Un autre prix de l’éducation pour José est la nécessité de quitter sa communauté et ses amis qui habitent à la rue case-nègres. José a grandi avec ces enfants et il partage avec eux un lien émotionnel qui est causé par leurs conditions de vie sur la plantation. Les enfants grandissent ensemble comme une unité parce que leurs parents ne sont pas là ; les adultes travaillent dans les champs pendant les jours. Donc, on peut imaginer la difficulté de quitter ces enfants qui semblent comme une deuxième famille pour José. Lié avec la séparation physique de ses amis, José se rend compte qu’il doit abandonner quelques gens qu’il a respectés longtemps s’il veut avoir du succès à l’école. Par exemple, José admire Carmen comme un frère aîné jusqu’à ce que Carmen raconte des histoires de ses activités sexuelles avec la femme de la maison où il travaille. José se rend compte que son ami va le conduire dans un mauvais sens. Donc, si José veut être un élève sérieux, il doit couper ses liens—ou, au moins, limiter ses interactions—avec Carmen et probablement des autres qui vont gêner son progrès scolastique. A la fin, la santé de M’man Tine va souffrir mais M’man Tine et José espèrent que ces prix lui donneront la meilleure vie possible.
    En tout, le film montre l’opinion que l’éducation offre une bonne vie mais qu’elle vient avec des prix. Le fait que José veut continuer avec son éducation avec l’encouragement de M’man Tine en dépit des prix donne une indication de la qualité de la vie sur la plantation. Les deux risquent du stress, des épreuves, et le changement pour l’espoir que l’éducation va être la clé d’un bon avenir. Mais qu’est-ce que c’est un bon avenir ? Pour José, c’est l’opportunité de travailler peut-être dans un bureau mais sans aucun doute dans un endroit qui est loin de la plantation. Pour M’man Tine, c’est l’opportunité de savoir que son petit-fils ne doit jamais travailler pour un homme blanc qui exploite sa situation malheureuse à cause de son manque de l’éducation. De toutes façons, « La Rue case-nègres » est un film puissant qui décrit avec du succès les épreuves d’une communauté défavorisée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 mars 2013
    La Rue Case-Negres réussit à raconter une histoire plus grande que celle d’un jeune garçon. Plus de tout autre, nous voyons la vie communale de ces gens. Le film utilise l’histoire de José pour encapsuler comment était l’expérience de vivre et être noir en Martinique dans les 1930s.
    Le film raconte l’histoire d’un garçon, Jose, il a l’opportunité de faire un examen pour une bourse pour aller à une école meilleure. Ce serait une chance d'échapper à la vie autour de lui de travailler dans les champs de canne à sucre. Pour faire cela et pour apprendre les leçons de lui-même, il a besoin de l’aide de toute sa communauté.
    Sans la communauté qu’il avait, la vie de José aurait passé très différemment. Nous pouvons voir cette importance à bien des égards. Par exemple, tous les personnages principaux enseignent quelque chose d’important à Jose. Medouze, son ami qui parle beaucoup d’Afrique, met l’accent sur l’héritage africain et la fierté d’être qui on est. Sans cette leçon, Jose aurait eu plus de difficulté avec le nouvel environnement de l’école. Parce que Medouze lui a donné cette fierté, il est sûr de lui-même quand l'enseignant lui reproche de plagiat. Grace aux leçons de Medouze, il a plus de confiance. La confiance est aussi instillée en lui avec la leçon de Monsieur Roc. C’est lui qui a la confiance d’avoir eu Jose passe l’examen. Sans Monsieur Roc, la vie de Jose aurait été exactement comme les autres dans la rue case-nègres. Jose a eu la chance d’avoir quelqu’un en tant que défenseur.
    Mais, le personnage le plus important est la grand-mère de Jose. Elle montre à lui ce que c’est que le sacrifice. Elle est contente de travailler bien dur seulement pour une chance pour Jose d’avoir sa vie meilleure. Sans tout ce qu’elle a fait pour lui, il serait un travailleur aux champs. Elle a aussi souligné l’importance de l’éducation. Elle n’a pas permet à Jose de travailler dans les champs parce qu’elle avait tant de confiance pour son vie et son capacité et intelligence. Jose est bien fortuné d’avoir sa grand-mère.
    Les histoires des deux autres enfants, Tortilla et Leopold, sont importants à la formation de Jose. Tortilla a des options limitées pour sa vie parce qu’elle est fille. Je pense que parce que Jose a vu comme elle est refusée une opportunité pour l’éducation comme il, il peut apprécier son chance plus. Selon moi, l’histoire de Leopold est plus intéressante que la vie de Jose par sa complexité. Un métis, il a une vie difficile après la morte de son père. Avec lui nous voyons plus les nuances de la relation entre les Blancs et les Noirs. Sa révélation de l'exploitation des travailleurs est très courageuse. Cette incidente révèle aussi combien il veut faire partie d'un groupe. Parce qu'il est métis, il est toujours sans une véritable communauté. Selon moi, son histoire était plus importante à cause de son caractère politique
    À la surface, on peut regarder ce film comme une histoire d’un garçon heureux qui a gagné l’opportunité pour améliorer sa vie et échapper une vie horrible et typique pour les Noirs en Martinique. Mais, plus qu’une histoire axée sur un individu, le film est mérité pour les histoires d'arrière-plan. Ou le film excelle le plus est comme il crée un mural de Martinique. Il serait impossible avoir la scène de ce film mais nulle part ailleurs que Martinique.
    Si vous regardez La Rue Case-Negres et vous vous intéressez seulement à l’histoire de Jose, vous avez fait une erreur. La vie communale est le but de ce film, pas la vie d’un seul garçon. Ce n’est pas la première action de José qui est importante mais le fond qui prouve que ce film est utile pour tous les gens à voir. On peut finir de regarder son film et avoir le sens qu’on comprend mieux les difficultés des gens mal traités par la colonisation. spoiler:
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 mars 2013
    Dans ce film, on voit le dilemme d’un jeune garçon exceptionnel qui veut accéder à une vie meilleure sans perdre contact avec sa communauté d’origine. Comment quitter la rue case-nègres sans perdre son identité?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 novembre 2012
    Très grand film un peu méconnu sur les Antilles des années et le combat pour l'instruction. A voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Film très émouvant qui m'a rappelé les anecdotes de mes parents sur leur jeunesse.

    En réponse à jujube81 "long-métrage martiniquais ET français ? je ne savais pas que la martinique n'était plus en France" :
    Il faut être cohérent jusqu'au bout, dans les rayons que ce soit film, littérature, infos, musique ou même nourritures, c'est catalogué dans monde et non France. C'est dommage et je ne pense pas que cela changera dans les années à venir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 janvier 2012
    Dommage que ce film ne soit pas connus par ce que vraiment cette une histoire très attachante qui nos conduit dans une région pauvre ou un petit garçon très intelligent peut réussir à l'école mais sa grand-mère n'a pas les moyens mais néanmoins elle se sacrifie pour qu'il réussi la fin m'a donner des larmes un très bon film !!
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    56 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2013
    Voilà ce que j’appelle un coup d’essai gagnant. Pourtant c’était perdu d’avance. Il y avait une accumulation de difficultés ; sujet très difficile à traiter au cinéma, un terrain vierge, (le désert cinématographique antillais), un roman pas facile à transposer…Roman interdit à l’époque, qui devient à l’écran une chronique de la vie rurale antillaise début du siècle dernier. Et le tableau n’a rien d’une carte postale. Descendants d’esclaves exploités, exploiteurs qui détiennent les clés et l’argent, exploités qui s’entraident ou s’exploitent eux-mêmes à défaut d’autre chose, administration complice, c’est le côté pile. Une grand-mère courage, un grand-père de substitution, (l’Afrique mythique), enfin et surtout, le regard et l’insouciance des enfants, (heureusement), ça c’est le côté face. Palcy n’attend pas de ces enfants un jeu d’acteur à la rigueur Shakespearienne. Ils sont eux-mêmes, et vivent dans le film, vivent le film; ça devient criant de vérité, et c’est beau à regarder. Ce qui aurait dû être misérabiliste et pathétique, le talent de Palcy le transforme toute cette horreur en hymne d’espoir. La mise en scène déborde d’intelligence et de sensibilité. Elle adoucit sa palette de couleurs, et suggère la violence qui est pourtant présente à tous les instants. Ceux qui rêvent leur vie, plutôt que de vivre, celle qui rêve d’épouser un blanc pour que ses enfants aient « la peau sauvée », comme on disait chez nous à l’époque. Une vraie cartographie de la psyché antillaise d’époque et qui a laissée des traces. Chef d’œuvre mémoriel d’époque à conserver pour toutes les époques.
    Pour toutes les rues Case nègres du monde, dira l’auteur.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 326 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Je veux bien laisser le bénéfice de l’honnêteté à Euzhan Palcy mais, mis-à-part cela – et désolé d’être aussi violent dans mes propos - on est au niveau zéro du cinéma. On a ici clairement affaire à quelqu’un qui pense que le cinéma ce n’est que de la mise en images. Elle a aimé le roman, elle décide donc de poser une caméra sur un trépied et de demander à des gamins pris à l’arrache de jouer. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’un film scolaire serait encore meilleur, mais franchement, on n’en est pas loin. C’est lent, c’est plat, c’est linéaire. Je n’ai vraiment rien contre Euzhan Palcy où son casting, mais moi, des films tournés à deux doigts de l’amateurisme comme ça, ça m’ennuie juste profondément. Le sujet ne fait pas la qualité du film et ce « Rue cases Nègres » me l’a encore prouvé, à mes dépends…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2011
    Film très émouvant et très beau à voir.J'ai verser une petite larme à la fin
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