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Attention aux yeux, ça pique! Même les inconditionnel(le)s de Sophie Marceau auront du mal à digérer ce thriller insipide! En effet, elle y campe une commissaire de police et autrice à succès découvrant l'infidélité de son mari, elle qui a du mal à se remettre de la mort de sa soeur. Femme trompée et meurtrie, elle va se retrouver mêlée à une affaire de violences conjugales au hasard d'une aire de repos. Déjà que l'histoire ne tenait pas la route, cela peut arriver, mais ici l'interprétation des acteurs est catastrophique. On peut appeler cela un navet malgré les efforts de Sophie Marceau pour apporter un semblant de crédibilité à ce mélange des genres voulu par le cinéaste, Jean-Paul Civeyrac. Fuyez!
Rien ne tient debout dans ce film. Les scènes finales frisent le ridicule (je devrais d'ailleurs dire plutôt: les scènes finales sombrent dans le ridicule, s'en est presque drôle tellement c'est désolant). Sophie Marceau a beau faire de son mieux, avec un scénario aussi creux, on ne peut pas créer de miracle.
Un scénario qui a du mal à tenir debout, une histoire de femme très bafouée peu crédible dans l'absence de maitrise de ses sentiments et de ses actes. Quant à la musique elle est parfaitement insupportable.
Mais qu'est allée faire Sophie Marceau dans ce drame de série B ?
Le scénario tient sur un confetti (une policière est trompée par son mari et va commettre des actes insensés), les comédiens ainsi que certaines scènes sont à peine crédibles, et les longueurs s'accumulent malgré un film ne durant que 96 minutes.
Heureusement que j'aime bien cette actrice d'une façon générale, ma note serait bien plus salée dans le cas contraire !
Un long-métrage assez faible n'offrant pas grand chose de positif à se mettre sous la dent côté émotions et sensations.
A éviter !
Site CINEMADOURG.free.fr
Le scénario tient sur un confetti (une policière est trompée par son mari et va commettre des actes insensés), les comédiens ainsi que certaines scènes sont à peine crédibles, et les longueurs s'accumulent malgré un film ne durant que 96 minutes.
Heureusement que j'aime bien cette actrice d'une façon générale, ma note serait bien plus salée dans le cas contraire !
Un long-métrage assez faible n'offrant pas grand chose de positif à se mettre sous la dent côté émotions et sensations.
A éviter !
Site CINEMADOURG.free.fr
J'ai essayé d'aller voir ce film sans à priori.
Mais comment arrive t'on à mettre de l'argent sur un scénario aussi indigent !
Voir Sophie Marceau pleurer en permanence (même si je l'aime bien) sur une musique horripilante ( qui se veut mystérieuse !?!), c'est dur à supporter.
Je mets une étoile pour SM
Mais comment arrive t'on à mettre de l'argent sur un scénario aussi indigent !
Voir Sophie Marceau pleurer en permanence (même si je l'aime bien) sur une musique horripilante ( qui se veut mystérieuse !?!), c'est dur à supporter.
Je mets une étoile pour SM
Yves G.
La cinquantaine, Juliane Verbecke (Sophie Marceau) est commissaire de police à Paris. Durant ses loisirs, elle écrit des polars. Elle ne se remet pas de la mort accidentelle de sa sœur Lara, cinq ans plus tôt. Son chagrin est décuplé quand elle découvre l’infidélité de son mari (Johan Heldenbergh).
Tout est raté dans le dernier film de Jean-Pazul Civeyrac qu’on avait connu plus inspiré ("Mes Provinciales"). À commencer par ce titre prétentieux qui voudrait faire de cette femme trompée mais entière le symbole de son époque.
Sophie Marceau incarne le rôle-titre. On la reconnaît facilement sur l’affiche. Mais elle est méconnaissable dans la bande annonce, les traits tirés par les liftings ou les années qui passent. L’actrice-préférée-des-Français (l’est-elle encore ?) a le mérite de se faire rare sur les écrans. Ici elle fait la gueule pendant tout le film dans le rôle improbable d’une commissaire de police qui ne mène aucune enquête et d’une écrivaine qui n’écrit pas une ligne.
On comprend mal ce que le réalisateur a voulu lui faire jouer : la détresse de la femme trompée ? la détermination d’une Diane vengeresse ? la bifurcation d’une vie qui bascule ? Sophie Marceau a appris à tirer à l’arc pour les besoins du rôle. Les heures de coaching se voient à l’écran : on entend son professeur lui répéter « le coude levé ! » quand elle arme ses flèches.
Le scénario la met dans des situations aussi dénuées de crédibilité qu’embarassantes. À commencer par celle, dans la garçonnière de son mari (qui donne sur la porte Saint-Denis), où elle assiste à ses ébats bruyants depuis la salle de bains. De façon récurrente, il recourt aux cauchemars et aux réveils en sursaut pour faire avancer l’action, une facilité qu’on pensait prohibée par le code de déontologie des scénaristes. Le ridicule culmine avec la scène finale dont on ne dira rien, mais que l’affiche laisse augurer (eh oui ! c’est ça ! vous avez bien compris !).
Tout est raté dans le dernier film de Jean-Pazul Civeyrac qu’on avait connu plus inspiré ("Mes Provinciales"). À commencer par ce titre prétentieux qui voudrait faire de cette femme trompée mais entière le symbole de son époque.
Sophie Marceau incarne le rôle-titre. On la reconnaît facilement sur l’affiche. Mais elle est méconnaissable dans la bande annonce, les traits tirés par les liftings ou les années qui passent. L’actrice-préférée-des-Français (l’est-elle encore ?) a le mérite de se faire rare sur les écrans. Ici elle fait la gueule pendant tout le film dans le rôle improbable d’une commissaire de police qui ne mène aucune enquête et d’une écrivaine qui n’écrit pas une ligne.
On comprend mal ce que le réalisateur a voulu lui faire jouer : la détresse de la femme trompée ? la détermination d’une Diane vengeresse ? la bifurcation d’une vie qui bascule ? Sophie Marceau a appris à tirer à l’arc pour les besoins du rôle. Les heures de coaching se voient à l’écran : on entend son professeur lui répéter « le coude levé ! » quand elle arme ses flèches.
Le scénario la met dans des situations aussi dénuées de crédibilité qu’embarassantes. À commencer par celle, dans la garçonnière de son mari (qui donne sur la porte Saint-Denis), où elle assiste à ses ébats bruyants depuis la salle de bains. De façon récurrente, il recourt aux cauchemars et aux réveils en sursaut pour faire avancer l’action, une facilité qu’on pensait prohibée par le code de déontologie des scénaristes. Le ridicule culmine avec la scène finale dont on ne dira rien, mais que l’affiche laisse augurer (eh oui ! c’est ça ! vous avez bien compris !).
Tout pareil que Stéphane A
"J'ai essayé d'aller voir ce film sans à priori.
Mais comment arrive t'on à mettre de l'argent sur un scénario aussi indigent !
Voir Sophie Marceau pleurer en permanence (même si je l'aime bien) sur une musique horripilante ( qui se veut mystérieuse !?!), c'est dur à supporter. "
Affligeant !
"J'ai essayé d'aller voir ce film sans à priori.
Mais comment arrive t'on à mettre de l'argent sur un scénario aussi indigent !
Voir Sophie Marceau pleurer en permanence (même si je l'aime bien) sur une musique horripilante ( qui se veut mystérieuse !?!), c'est dur à supporter. "
Affligeant !
Quelle comédienne !!! ? on n y croit absolument pas !!;;
Film tres fade on se lasse on s' endort ou on part ... je ne vois pas ou sont les rebondissements dans le scenario
les intrigues inexistantes
tres dommage pour le realisateur
Film tres fade on se lasse on s' endort ou on part ... je ne vois pas ou sont les rebondissements dans le scenario
les intrigues inexistantes
tres dommage pour le realisateur
Etant une inconditionnelle de Sophie Marceau, je suis allée voir ce film que l'on a du mal à qualifier : polar, drame, ...? Bref on ne sait pas, mais en tous cas le scénario est nul : une flic commissaire qui ne bosse jamais, qui ne fait que passer sur les scènes de crime, jamais à son bureau... pas crédible du tout en femme trompée (elle sait très bien pleurer !). La scène où elle assiste cachée aux coucheries de son mari : c'est du n'importe quoi ; cerise sur le gâteau : sa rencontre à la station essence avec la femme battue : on n'y croit mais absolument pas !! Et, pour ne rien arranger, cette musique omniprésente ringarde qui se veut dramatique et qui ne colle pas du tout avec l'histoire renforce vraiment notre envie de quitter tout simplement la salle
C’est une réalisation de Jean Paul Civeyrac. Il en a écrit le scénario. Une femme de notre temps a été présenté en Avant-premières au Festival du Film Francophone d’Angoulême 2022. Ce drame français est sortie le 5 octobre 2022 en salle.
Récemment, les choix artistiques de Sophie Marceau n’étaient pas les plus justes. Comme nous apprécions cette actrice, on va quand même lui laisser une nouvelle chance avec Une femme de notre temps.
Malheureusement, encore une fois, ça ne va pas être une réussite. Il n’y a pas grand-chose qui va dans ce film. Le principal problème va être le déroulé de l’intrigue. Elle part dans tous les sens. Entre l’histoire de la sœur morte, de la tromperie, de l’homme agresser, d’un collègue assassiné, c’est du grand n’importe quoi. À aucun moment, on arrive à cadrer le récit. Finalement, on se perd et le fil rouge devient anecdotique. Cela devient sans intérêt.
Pour ne pas aider, Une femme de notre temps va être fade à regarder. Il ne se passe pas grand-chose et les moments d’intensité sont mal gérés. De plus, la bande originale est monstrueuse. Beaucoup trop d’éléments qui ne donnent pas envie de donner sa chance à ce film.
Le seul élément positif est la présence de Sophie Marceau. L’actrice française va satisfaire dans sa prestation même si le personnage qu’elle occupe n’a rien d’extraordinaire. Le Belge Johan Heldenbergh n’est pas des plus convaincants à ses côtés.
Récemment, les choix artistiques de Sophie Marceau n’étaient pas les plus justes. Comme nous apprécions cette actrice, on va quand même lui laisser une nouvelle chance avec Une femme de notre temps.
Malheureusement, encore une fois, ça ne va pas être une réussite. Il n’y a pas grand-chose qui va dans ce film. Le principal problème va être le déroulé de l’intrigue. Elle part dans tous les sens. Entre l’histoire de la sœur morte, de la tromperie, de l’homme agresser, d’un collègue assassiné, c’est du grand n’importe quoi. À aucun moment, on arrive à cadrer le récit. Finalement, on se perd et le fil rouge devient anecdotique. Cela devient sans intérêt.
Pour ne pas aider, Une femme de notre temps va être fade à regarder. Il ne se passe pas grand-chose et les moments d’intensité sont mal gérés. De plus, la bande originale est monstrueuse. Beaucoup trop d’éléments qui ne donnent pas envie de donner sa chance à ce film.
Le seul élément positif est la présence de Sophie Marceau. L’actrice française va satisfaire dans sa prestation même si le personnage qu’elle occupe n’a rien d’extraordinaire. Le Belge Johan Heldenbergh n’est pas des plus convaincants à ses côtés.
Une femme de notre temps est un thriller porté par Sophie Marceau, taillé pour elle. Sans la présence de l’icône des années 80, ce film n’est rien tant l’histoire est d’un ennui intersidéral. Elle y incarne une commissaire de police meurtrie par la mort tragique de sa sœur et qui va découvrir la trahison de son mari (que c’est original !..).
Film dramatique, surtout pour Sophie Marceau..... Si on veut y croire un peu, dans un film noir, sans sourire jamais, un accouchement difficile de ce que l'on croit deviner très rapidement, donc sans suspense sauf le "Quand ?" ! Il se trouve que Juliane Verbeke (S Marceau) outre son métier de commissaire de police, est une Jennifer Lawrence de Hunger Games, dans sa pratique du tir à l'arc. Finalement c'est l'aspect le plus attendu de l'intrigue, le reste étant cousu de fil blanc, avec beaucoup d’invraisemblances. Musique mélancolique, triste à mourir, et une froideur persistante. Chronique d'une vengeance annoncée, pourrait être le titre plus prosaïque que "Une femme de notre temps" que je ne comprends toujours pas.... Le scénario n'avait pas besoin d'en rajouter, en mêlant le suicide de sa jeune sœur et l'infidélité de son mari. C'en est glauque, inutile et long. La sortie de la salle soulage....!!**
traversay1
Une femme de notre temps semble déplaire au plus haut point, y compris à ceux qui tiennent Jean-Paul Civeyrac pour un auteur précieux du cinéma français. Le titre du film, lui-même, est assez passe-partout, et incite à croire à un portrait psychologique, alors que son intrigue, vu la profession de Juliane, son héroïne, laisse augurer un polar plutôt noir. Cette Juliane d'Arc, aux allures de Diane chasseresse, surprend par un comportement erratique que le film ne cherche que peu à expliquer, se concentrant sur une atmosphère étrange, qui tient aussi bien du conte défait (les hommes y sont des ogres) que du cauchemar éveillé. Bref, il ne faut pas y chercher une once de réalisme mais au contraire se laisser happer par le trouble de cette œuvre qui ne lâche pas d'une semelle son personnage principal, au risque de trouver ses agissements incohérents voire névrotiques. Civeyrac ne joue pas sur du velours avec ce film sur une femme qui n'attire guère la sympathie et dont les actes, dans les dernières minutes, se maintiennent en un équilibre précaire, certains pouvant juger ces scènes totalement grotesques. Mais à condition d'accorder son chance au deuxième ou au troisième degré et de bien réfléchir au deuil jamais guéri de cette policière au "coeur trop pur", Une femme de notre temps, sobrement incarnée par Sophie Marceau, est une flèche qui peut toucher (un peu) une corde sans cible.
C'est dommage de critiquer un film pour le "descendre"... quand on n'y a "rien" vu ! Prendre la défense de ce beau polar d'atmosphère qui est plutôt un film sur le sentiment de trahison qu'un polar d'ailleurs (et là, peut-être commence le malentendu aux yeux de certains spectateurs) m'apparaît tellement comme un "devoir" que je rédige-là ma première critique. Oui, ce film atmosphérique est par bien des aspects magnifique : cette manière de montrer comme de biais l'Ile de France et la côte haut-normande, cette façon d'envelopper une Sophie Marceau parfaite dans ce rôle pathétique (au sens premier de "fortement atteinte par des émotions"), un salaud ambigu et une jeune ingénue "en dépit de son plein gré" -quelle découverte, cette Mathilde Weil !-, ce très beau travail sur l'insertion de cette si belle composition musicale (le réalisateur a le mérite de risquer de perdre des spectateurs en leur faisant découvrir un compositeur contemporain ; passionné de toutes les musiques, je remercie vivement Jean-Paul Civeyrac de m'avoir permis de connaître ce merveilleux Valentin Silvestrov) aurait mérité un bien meilleur sort !
J'ai beaucoup aimé ce polar, ce drame humain réalisé par un vrai cinéaste, un artiste préoccupé d'images et de sons avant d'être préoccupé par la vraisemblance (oui, on peut toujours estimer que certains points du film manquent de vraisemblance -encore que ... la réalité dépasse si souvent la fiction que l'on peut retourner le compliment aux scrupuleux..., et puis ? Je ne vais pas au cinéma pour voir copier la réalité, je n'ai pas besoin du cinéma pour cela) et j'ai hâte de découvrir les autres films de Jean-Paul Civeyrac.
J'ai beaucoup aimé ce polar, ce drame humain réalisé par un vrai cinéaste, un artiste préoccupé d'images et de sons avant d'être préoccupé par la vraisemblance (oui, on peut toujours estimer que certains points du film manquent de vraisemblance -encore que ... la réalité dépasse si souvent la fiction que l'on peut retourner le compliment aux scrupuleux..., et puis ? Je ne vais pas au cinéma pour voir copier la réalité, je n'ai pas besoin du cinéma pour cela) et j'ai hâte de découvrir les autres films de Jean-Paul Civeyrac.
Bon le point positif c'est que les acteurs jouent bien.
Mais le scénario est archi nul, l'histoire est déconvenue, les dialogues insipides, improbables, toute l'action se passe spoiler: dans les 14 dernières minutes du film
Ce film est plus un téléfilm et encore, un très très mauvais téléfilm.
J'espère que le réalisateur n'a pas obtenu d'argent public pour faire ce film :-/ Où est passé le cinéma français ?
Mais le scénario est archi nul, l'histoire est déconvenue, les dialogues insipides, improbables, toute l'action se passe spoiler: dans les 14 dernières minutes du film
Ce film est plus un téléfilm et encore, un très très mauvais téléfilm.
J'espère que le réalisateur n'a pas obtenu d'argent public pour faire ce film :-/ Où est passé le cinéma français ?
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