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Votre avis sur La Syndicaliste ?
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Le film est porté par l'interprétation forte d' Isabelle Hupert. Cette comédienne permet de crédibiliser cette affaire vécue : on y croit, on doute, on hésite... La force de ce film totalement subjectif est de nous compter ce drame de manière totalement objective . On accompagne chaque revirement.
Les enjeux politiques, les forces du pouvoir, la traîtrise des uns, la mauvaise foi des autres face à la volonté d'une militante, face à la fragilité d'une femme. L'intégrité de cette femme syndicaliste face aux sordides suspicions des hommes, celles de la police en particulier. Elle est là si menue si pâle et pourtant si présente.
Plus de 10 ans après...il semble qu' une enquête soit enfin réouverte ...
Les enjeux politiques, les forces du pouvoir, la traîtrise des uns, la mauvaise foi des autres face à la volonté d'une militante, face à la fragilité d'une femme. L'intégrité de cette femme syndicaliste face aux sordides suspicions des hommes, celles de la police en particulier. Elle est là si menue si pâle et pourtant si présente.
Plus de 10 ans après...il semble qu' une enquête soit enfin réouverte ...
"Tout est vrai, exemplaire thriller politique " dit Télérama. Mais tout sonne faux, du debut à la fin, avec des acteurs figés et caricaturaux et une Isabelle Huppert maquillée comme une geisha japonaise pour masquer son âge. Affligeant de lourdeur, ratage complet.
Ce film informe et dénonce, il s'agit ici à la fois de montrer ce qu'est le combat et l'action d'un syndicat dans une très grande entreprise tout en dénonçant aussi, sur le fond, la main mise des chinois sur un pan entier de l'économie, (qui n'est malheureusement pas le seul qu'ils ont noyauté, cette politique dévastatrice est leur marque de fabrique car ce sujet peut être transposé à beaucoup d'autres secteurs de l'économie industrielle et technologique que je ne citerai pas ici).
Isabelle Huppert campe un personnage réel tout à fait crédible dans sa dimension humaine, faite de force et de vulnérabilité, d'humilité et de dignité, un grand rôle pour cette actrice qui est notre Meryl Streep nationale, un rôle qui informe aussi sur la valeur de l'action syndicale dans la vie d'une entreprise et sur la nécessité de leur présence pour assurer une défense et un combat, même lorsqu'il est déséquilibré - voire perdu d'avance -, pour le bien des salariés et pour la transparence de l'information qui est l'un des fleurons de notre démocratie. Il s'agit d'un véritable thriller, on oscille entre certitude et doute jusqu'au dénouement final qui pointe un bilan économique désastreux et scandaleux. A voir aussi pour être au courant d'une des réalités de la vie économique de notre pays. Un film édifiant.
Isabelle Huppert campe un personnage réel tout à fait crédible dans sa dimension humaine, faite de force et de vulnérabilité, d'humilité et de dignité, un grand rôle pour cette actrice qui est notre Meryl Streep nationale, un rôle qui informe aussi sur la valeur de l'action syndicale dans la vie d'une entreprise et sur la nécessité de leur présence pour assurer une défense et un combat, même lorsqu'il est déséquilibré - voire perdu d'avance -, pour le bien des salariés et pour la transparence de l'information qui est l'un des fleurons de notre démocratie. Il s'agit d'un véritable thriller, on oscille entre certitude et doute jusqu'au dénouement final qui pointe un bilan économique désastreux et scandaleux. A voir aussi pour être au courant d'une des réalités de la vie économique de notre pays. Un film édifiant.
La syndicaliste est un très bon thriller politique, adapté du livre de maureen kearney ladite syndicaliste qui s est battu bec et ongles pour l avenir d areva qui aujourd'hui n existe plus ou le savoir faire à été vendu à la Chine, a cause de manigances d affaire et surtout politique qui ne s embarrasse pas d d'utiliser des manières de barbouzes pour arriver à leurs fins.
C est ce qu a du faire face cette lanceuse d alerte qui était gênant pour ces gens là , qui ont utilisé des procédés extrêmes sur la personne de maureen kearney qui du se battre avec courage et dignité.
C est ce qui transparaît dans le film réussi de jean paul Salomé, incarné par la brillante Isabelle Huppert qu il a retrouvé après son précédent film la daronne.
Les seconds rôles sont aussi très bien interprétés surtout Grégory gadebois qui joue le mari de l heroine et marina fois en anne lauvergeon
C est ce qu a du faire face cette lanceuse d alerte qui était gênant pour ces gens là , qui ont utilisé des procédés extrêmes sur la personne de maureen kearney qui du se battre avec courage et dignité.
C est ce qui transparaît dans le film réussi de jean paul Salomé, incarné par la brillante Isabelle Huppert qu il a retrouvé après son précédent film la daronne.
Les seconds rôles sont aussi très bien interprétés surtout Grégory gadebois qui joue le mari de l heroine et marina fois en anne lauvergeon
Le scénario a beau être un peu manichéen, L'effroi est total en regard de gâchis récentsdont ont été victimes nos industries. La récente audition de Arnaud Montebourg à l'Assemblée nationale, parle d'elle-même !
Mais ce qui n'est pas manichéen, c'est le jeu éblouissant d'Isabelle Huppert.
Elle n'est pas étrangère à la réussite totale de ce film (réalisation, photographie, son...)
Mais ce qui n'est pas manichéen, c'est le jeu éblouissant d'Isabelle Huppert.
Elle n'est pas étrangère à la réussite totale de ce film (réalisation, photographie, son...)
"La Syndicaliste" est un thriller politique captivant qui met en lumière un scandale d'État, inspiré d'une histoire vraie. Le film, réalisé par Jean-Paul Salomé et porté par les performances remarquables d'Isabelle Huppert et de Grégory Gadebois, offre une expérience intense et palpitante.
L'intrigue nous plonge dans la vie de Maureen Kearney, une ex-syndicaliste CFDT qui se retrouve violemment agressée chez elle. Travaillant sur un dossier sensible lié au secteur nucléaire français, elle était confrontée à d'importantes pressions politiques. Les enquêteurs ne parviennent pas à retrouver les agresseurs, ce qui soulève des questions : est-elle une victime ou coupable de dénonciation mensongère ?
Adapté du livre-enquête éponyme de Caroline Michel-Aguirre, paru en 2019, "La Syndicaliste" met en avant le calvaire de la véritable Maureen Kearney, qui a défendu les droits des employés d'Areva. Le film expose les luttes de cette femme courageuse, dont la parole a été remise en question par la justice, la faisant passer de victime à présumée coupable. Finalement relaxée en 2018, Maureen Kearney a dû affronter de nombreux obstacles pour faire éclater la vérité.
Isabelle Huppert offre une performance magistrale dans le rôle de Maureen Kearney. Elle se transforme physiquement et incarne avec justesse cette femme déterminée. À travers son jeu subtil, Huppert parvient à capturer l'essence de la protagoniste, oscillant entre vérité et manipulation. Sa présence à l'écran est indéniablement puissante et démontre une fois de plus son talent remarquable.
"La Syndicaliste" aborde également des thématiques féministes, mettant en lumière la force de caractère et la résilience de Maureen Kearney face à un monde de pouvoir souvent misogyne. Son combat pour faire valoir sa voix et résister à l'oppression est une source d'inspiration. Le film souligne l'importance de la solidarité entre les femmes et leur capacité à se relever malgré les blessures physiques et psychologiques.
"La Syndicaliste" est un thriller politique captivant, porté par des performances exceptionnelles et doté d'un message féministe puissant. Jean-Paul Salomé nous offre un film engagé qui expose les méandres de la justice et les luttes pour la vérité. Une expérience cinématographique intense et marquante.
L'intrigue nous plonge dans la vie de Maureen Kearney, une ex-syndicaliste CFDT qui se retrouve violemment agressée chez elle. Travaillant sur un dossier sensible lié au secteur nucléaire français, elle était confrontée à d'importantes pressions politiques. Les enquêteurs ne parviennent pas à retrouver les agresseurs, ce qui soulève des questions : est-elle une victime ou coupable de dénonciation mensongère ?
Adapté du livre-enquête éponyme de Caroline Michel-Aguirre, paru en 2019, "La Syndicaliste" met en avant le calvaire de la véritable Maureen Kearney, qui a défendu les droits des employés d'Areva. Le film expose les luttes de cette femme courageuse, dont la parole a été remise en question par la justice, la faisant passer de victime à présumée coupable. Finalement relaxée en 2018, Maureen Kearney a dû affronter de nombreux obstacles pour faire éclater la vérité.
Isabelle Huppert offre une performance magistrale dans le rôle de Maureen Kearney. Elle se transforme physiquement et incarne avec justesse cette femme déterminée. À travers son jeu subtil, Huppert parvient à capturer l'essence de la protagoniste, oscillant entre vérité et manipulation. Sa présence à l'écran est indéniablement puissante et démontre une fois de plus son talent remarquable.
"La Syndicaliste" aborde également des thématiques féministes, mettant en lumière la force de caractère et la résilience de Maureen Kearney face à un monde de pouvoir souvent misogyne. Son combat pour faire valoir sa voix et résister à l'oppression est une source d'inspiration. Le film souligne l'importance de la solidarité entre les femmes et leur capacité à se relever malgré les blessures physiques et psychologiques.
"La Syndicaliste" est un thriller politique captivant, porté par des performances exceptionnelles et doté d'un message féministe puissant. Jean-Paul Salomé nous offre un film engagé qui expose les méandres de la justice et les luttes pour la vérité. Une expérience cinématographique intense et marquante.
l histoire est certes intrigante mais d un point de vue cinéma cela reste assez limité. Service minimum de certains acteurs(Deladonchamps...)et une narration trop didactique.
Sur le plan du cinéma le film, inspiré de faits réels, manque un peu de souffle...encore un film de deux heures ! Sur le propos c'est une illustration du savoir-faire de la nucleo-médiocratie française...avec une réserve sur le personnage de Atomic Anne (pas le meilleur rôle de Marina Fois) qui est devenue une "victime".... mais c’est un film inspiré...
Excellent film qui retrace pas à pas, fidèlement, les pressions graves subies par une syndicaliste. Sans illusion sur le milieu politique, les lâchetés sont dénoncées y compris celles des médias. Pas épargné, LIBE s'est vengé en éreintant cet excellent film.
J'avais déjà remarqué, à son âge qui est à peu près le mien, l'excellente performance d'Isabelle Huppert dans "La Dentellière" en 1977. Cette magnifique actrice continue de choisir ses rôles, l'histoire d'Areva est moins connue que celle d'Alstom, mais que de similitudes ! Ce film courageux, brillant dans sa réalisation, son rythme, etc. est à voir le plus largement possible ...
Ce film met en scène un authentique thriller politique qui aurait permis aux chinois de s'approprier la technologie "areva" qui faisait de la France le leader en matière de centrale nucléaire. La syndicaliste incarnée brillamment par Isabelle Huppert a réellement existé. Celle-ci, de son propre aveu, dit avoir été complètement dépassée par cette affaire, tout en faisant ce qu'elle pouvait pour sauver les emplois, raison pour laquelle on a voulu la faire "taire". Ce film met en scène l'escalade entre les "autorités" et la syndicaliste jusqu'à l'agression qui va littéralement devaster sa vie.
Je n'ai pas souvenir de cette histoire malgré des articles dans la presse . Je suis passé par des émotions de compassion et de croyance à la méfiance un peu comme cette enquête . Portrait de cette syndicaliste est passionnant en montrant son implication dans son rôle
Ne manquez pas La Syndicaliste, le film très réussi de Jean-Paul Salomé porté magistralement par Isabelle Huppert.
Rapidement mais clairement, la première partie expose le sujet politique : Anne Lauvergeon est évincée d'Areva, Henri Proglio rêve de faire d'EDF l'empire mondial du nucléaire quitte à brader notre savoir-faire aux chinois, les girouettes politiques tournent en tous sens, Sarko, Hollande, Montebourg ... un festival d'égos surdimensionnés sans contrôle aux commandes de l'industrie française.
Maureen Kearney, syndicaliste chez Areva, veut dénoncer ce qui se trame.
Mais bien vite le film se recentre sur l'agression et le viol dont la lanceuse d'alerte est victime : on veut évidemment l'intimider, l'homme de main a sans doute un peu dérapé.
La machine s'affole et bientôt c'est la victime elle-même qui se retrouve sur le banc des accusés, la police et la justice aux ordres du pouvoir ne croient pas à son histoire.
Evidemment, le rôle précédent d'Isabelle Huppert dans Elle, le film de Verhoeven de 2016, n'est pas étranger aux trouble qui gagne même le spectateur ...
On vous laisse découvrir la suite mais sachez qu'il n'est pas inutile de lire un ou deux articles sur le sujet (dans L'Obs par exemple) pour mieux apprécier le film.
Un film très juste, sans fausse note, qui se concentre sur le personnage de Maureen Kearney (jetez un œil sur la photo où Huppert rencontre la "vraie" Maureen !) et qui ne se contente pas d'être un énième thriller sur les scandales d'état dont notre belle république est coutumière.
Rapidement mais clairement, la première partie expose le sujet politique : Anne Lauvergeon est évincée d'Areva, Henri Proglio rêve de faire d'EDF l'empire mondial du nucléaire quitte à brader notre savoir-faire aux chinois, les girouettes politiques tournent en tous sens, Sarko, Hollande, Montebourg ... un festival d'égos surdimensionnés sans contrôle aux commandes de l'industrie française.
Maureen Kearney, syndicaliste chez Areva, veut dénoncer ce qui se trame.
Mais bien vite le film se recentre sur l'agression et le viol dont la lanceuse d'alerte est victime : on veut évidemment l'intimider, l'homme de main a sans doute un peu dérapé.
La machine s'affole et bientôt c'est la victime elle-même qui se retrouve sur le banc des accusés, la police et la justice aux ordres du pouvoir ne croient pas à son histoire.
Evidemment, le rôle précédent d'Isabelle Huppert dans Elle, le film de Verhoeven de 2016, n'est pas étranger aux trouble qui gagne même le spectateur ...
On vous laisse découvrir la suite mais sachez qu'il n'est pas inutile de lire un ou deux articles sur le sujet (dans L'Obs par exemple) pour mieux apprécier le film.
Un film très juste, sans fausse note, qui se concentre sur le personnage de Maureen Kearney (jetez un œil sur la photo où Huppert rencontre la "vraie" Maureen !) et qui ne se contente pas d'être un énième thriller sur les scandales d'état dont notre belle république est coutumière.
Agressée chez elle par un inconnu (Qui le restera) Maureen déléguée syndicale CFDT, se retrouve,(malgré elle ?), comme lanceuse d'alerte et au cœur du bradage de la technologie en matière nucléaire de la part d'Areva aux chinois avec l'accord plus ou moins tacite du gouvernement. Film dénonçant une cabale nationale (basée sur un fait réel) dans une construction cinématographique classique mais de bonne facture . Isabelle Huppert fait du Huppert mais je retiens surtout l'interprétation de Gregory Gadebois (En mari, faussement débonnaire (Sans jeu de mot avec Sandrine) mais pas dupe et surtout amoureux de sa femme) et déjà épatant dans "les choses simples". Mais rien, absolument rien, sur le rôle de la CFDT de Cherbourg !!! Lâchée par le gendarme enquêteur préférant la facilité à la vérité, par les cadres supérieurs en place préférant lâcher le job de leurs collaborateurs a des manœuvres financières (et l'évincement d'Anne Lauvergeon (Parfaite Marina Foïs)) Maureen se battra dans ce méandre de coups bas ....et finira plus ou moins affaibli par la technocratie du pouvoir . Classique dans son interprétation ce film dénonce ce véritable scandale d'état...même si cela ne changera rien . Good job sans plus.
L'histoire, vraie, est traitee comme un thriller politique : c'est réussi et très bien interprété ! Il faut aller voir ce film qui dénonce les lobbies, prêts à tout, en allant jusquau viol, pour faire taire une lanceuse d'alerte syndicaliste.
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