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Je n’avais jamais entendu parlé de cette histoire…
On ne s’ennuie pas en visionnant le film, mais a la fin on ne sait pas trop quoi penser…
Le parti pris du réalisateur est évident (il ne s’en cache pas), et il est difficile en tant que spectateur d’avoir une opinion sur ce qui est réellement arrivé.
Finalement même si j’ai trouvé le film distrayant, je l’aurais sans doute plus apprécié si ce n’avait été qu’une fiction au lieu d’une histoire vraie invérifiable.
On ne s’ennuie pas en visionnant le film, mais a la fin on ne sait pas trop quoi penser…
Le parti pris du réalisateur est évident (il ne s’en cache pas), et il est difficile en tant que spectateur d’avoir une opinion sur ce qui est réellement arrivé.
Finalement même si j’ai trouvé le film distrayant, je l’aurais sans doute plus apprécié si ce n’avait été qu’une fiction au lieu d’une histoire vraie invérifiable.
L'enquête est cool mais le personnage de la syndicaliste est un peu caricatural. Le réalisme du déroulement de l'enquête et du jugement fait froid dans le dos. Un film à voir pour construire ensemble une autre société, où l'humain passe avant l'argent.
Un sujet passionnant particulièrement bien rendu par Isabelle Huppert. Un suspens qui va croissant. Tout paraît crédible.
Malgré le nombre important de film fait selon cette même trame (une innocente au milieu de sociétés capitalistes sans foi ni loi qui font pression parce qu'elle détient un secret), le suspens est excellent et le jeu des pouvoirs est particulièrement bien traité.
Surtout, j'ai aimé l'ambiguîté des situations qui permet au film de prendre du recul sur son sujet même si le point de vue du réalisateur est sans équivoque. Mention spéciale au personnage d'Anne Leuvergeon, qui paraît à première vue sympathique, humaine mais dont on découvre progressivement la noirceur, l'hypocrisie et le cynisme. A voir.
Malgré le nombre important de film fait selon cette même trame (une innocente au milieu de sociétés capitalistes sans foi ni loi qui font pression parce qu'elle détient un secret), le suspens est excellent et le jeu des pouvoirs est particulièrement bien traité.
Surtout, j'ai aimé l'ambiguîté des situations qui permet au film de prendre du recul sur son sujet même si le point de vue du réalisateur est sans équivoque. Mention spéciale au personnage d'Anne Leuvergeon, qui paraît à première vue sympathique, humaine mais dont on découvre progressivement la noirceur, l'hypocrisie et le cynisme. A voir.
Magnifique film qu'on peut même considérer comme "un documentaire" car vous y apprenez plein de choses. Isabelle HUPERT est magnifique et absolument géniale dans son rôle. Film d'actualité sociétale : le combat des femmes, les manoeuvres et le poids des politiques, la puissance des lobby, etc... Vous ne serez pas déçus et ne voyez pas passer les deux heures !
Une histoire vraie sordide d'un scandale à 50.000 salariés ! Emporté total par l'histoire, le scénar et Isabelle Huppert (Ma faiblesse, Hi !) en caméléon de Maureen Kearney, je suis rentré dans l'écran. Jean-Paul Salomé en maître d'œuvre, tous impliqué dans leur rôle. Et surprise, François-Xavier Demaison m'a surpris ! En final, cette agression mystère sera t-elle un jour élucidée... Thriller, Drame parfait de réalité.
Film riche sur la politique sociale avec Isabelle Huppert excellente dans son rôle
Jean-Paul Salomé a crée un chef d'œuvre
Jean-Paul Salomé a crée un chef d'œuvre
Ce film, au scénario efficace, maîtrisé, à l'interprétation rigoureuse, pêche par certains aspects: un neo-féminisme appuyé: les hommes sont dominateurs, causes de tous les maux, incapables de la moindre écoute; la parole des femmes mise en doute, ett le choix de la CFDT comme syndicat que porte Isabelle Huppert n'est pas approprié; FO aurait plus correspondu à la virulence des actions portées par le personnage.
Cela dit, on en apprend sur un scandale d'Etat, à travers ce film. Isabelle Huppert est impeccable, fidèle à ses rôles de combattante froide. Grégory Gadebois aussi, tout en rondeur, en bienveillance: un daddy béar idéal. On ressort de ce film avec doutes et amertume.
Cela dit, on en apprend sur un scandale d'Etat, à travers ce film. Isabelle Huppert est impeccable, fidèle à ses rôles de combattante froide. Grégory Gadebois aussi, tout en rondeur, en bienveillance: un daddy béar idéal. On ressort de ce film avec doutes et amertume.
Jean-Paul Salomé choisit Isabelle Huppert parfaitement : blondeur glacée, pâleur d'un visage limpide, à la fois fonceuse et fragile... Ce thriller d'enquête quelque peu glaçant est intriguant au départ et en devient par la suite plus un film "dossier" judiciaire à défendre, qu'une réelle intrigue à suspens. C'est dommage. L'histoire de cet héroïne est un exemple de la force glaçante des lobbying politique, pour arriver à leur fin...
La syndicaliste. Tout est dans le titre. On ne parlera pas de collectif.
Si le documentaire Comme des lions était chaud, la syndicaliste est plus froid qu’un film de Denis Villeneuve. Pour pas arranger la chose, le film est en deux parties : l’enquête syndicale et l’enquête judiciaire. La première manque de romanesque, la seconde est plus intéressante, fait ressentir les émotions sans toutefois aller au bout des choses : par exemple, pour montrer le phénomène de domination, il n’y a pas ou peu de plans plongé et contre-plongée. Quand il y en a, c’est juste pour filmer des plans d’architectures.
Jean-Paul Salomé préfère rajouter des scènes, étire le film comme s’il ne souhaitait pas se concentrer sur l’essentiel. Par contradiction, le film se termine par un peu de lecture, peut-être que le réalisateur trouve lui aussi son film trop long.
Bruno Coulais a été plus inspiré dans ses musiques et fait le minimum syndical.
J’ai beau chercher dans ma mémoire, je n’arrive pas à trouver une scène marquante. Le mérite du film est d’avoir pu faire rouvrir l’enquête et de rppeler que l'égalité homme femme n'est pas encore gagné.
Si le documentaire Comme des lions était chaud, la syndicaliste est plus froid qu’un film de Denis Villeneuve. Pour pas arranger la chose, le film est en deux parties : l’enquête syndicale et l’enquête judiciaire. La première manque de romanesque, la seconde est plus intéressante, fait ressentir les émotions sans toutefois aller au bout des choses : par exemple, pour montrer le phénomène de domination, il n’y a pas ou peu de plans plongé et contre-plongée. Quand il y en a, c’est juste pour filmer des plans d’architectures.
Jean-Paul Salomé préfère rajouter des scènes, étire le film comme s’il ne souhaitait pas se concentrer sur l’essentiel. Par contradiction, le film se termine par un peu de lecture, peut-être que le réalisateur trouve lui aussi son film trop long.
Bruno Coulais a été plus inspiré dans ses musiques et fait le minimum syndical.
J’ai beau chercher dans ma mémoire, je n’arrive pas à trouver une scène marquante. Le mérite du film est d’avoir pu faire rouvrir l’enquête et de rppeler que l'égalité homme femme n'est pas encore gagné.
J’ai visionné ce film très applaudi lors de sa projection au festival CinéRoman de Nice octobre 2022 et je viens de le revoir pour la seconde foi, Isabelle Huppert époustouflante de crédibilité dans le rôle de Maureen Kearney et Yvan Attal lui aussi au sommet dans le rôle d’un haut cadre dépassé par les événements.
Un thriller qui raconte une histoire malheureusement vraie, un viol inqualifiable d’une bassesse inouïe avec pour but faire taire une lanceuse d’alerte qui dénonçait en 2012 un transfert des technologies françaises du nucléaire vers la Chine, chose faite depuis en 2016 par le ministre de l’économie et des finances de l’époque.
Ce film coup de poing a été réalisé d’après le livre (La Syndicaliste) de Caroline Michel-Aguirre journaliste et responsable du service investigation de L’Obs, spécialiste des questions d'énergie et qui suit l’affaire Maureen Kearney depuis le début.
Un thriller qui raconte une histoire malheureusement vraie, un viol inqualifiable d’une bassesse inouïe avec pour but faire taire une lanceuse d’alerte qui dénonçait en 2012 un transfert des technologies françaises du nucléaire vers la Chine, chose faite depuis en 2016 par le ministre de l’économie et des finances de l’époque.
Ce film coup de poing a été réalisé d’après le livre (La Syndicaliste) de Caroline Michel-Aguirre journaliste et responsable du service investigation de L’Obs, spécialiste des questions d'énergie et qui suit l’affaire Maureen Kearney depuis le début.
Le (très) grand intérêt que présente de ce film est de faire connaître l’histoire de Maureen KEARNEY dont je ne me rappelle pas avoir entendu parler à l’époque des faits.
Et son grand inconvénient, c’est qu’à aucun moment du film, on n’a le sentiment de voir quelqu’un d’autre qu’Isabelle HUPPERT qui, si elle se substitue à Maureen, ne l’incarne pas.
C’est regrettable qu’une grande actrice comme Isabelle ne se soit pas effacée derrière son personnage. Cela n’enlève toutefois rien à la qualité du récit qui nous éclaire sur des pratiques d’intimidation malheureusement courantes lorsque d’importants intérêts financiers sont en jeu.
Et son grand inconvénient, c’est qu’à aucun moment du film, on n’a le sentiment de voir quelqu’un d’autre qu’Isabelle HUPPERT qui, si elle se substitue à Maureen, ne l’incarne pas.
C’est regrettable qu’une grande actrice comme Isabelle ne se soit pas effacée derrière son personnage. Cela n’enlève toutefois rien à la qualité du récit qui nous éclaire sur des pratiques d’intimidation malheureusement courantes lorsque d’importants intérêts financiers sont en jeu.
le combat syndical confronté à l'opacité du pouvoir de l'industrie nucléaire.
histoire vraie servie par une Isabelle Huppert exceptionnelle et Marina Foïs dissimulée et élégante à souhait. on n'en dira pas autant d'Yvan Attal, peu convaincant.
le film rappelle les meilleurs oeuvres d'Yves Boisset, avec des costumes féminins superbes !
histoire vraie servie par une Isabelle Huppert exceptionnelle et Marina Foïs dissimulée et élégante à souhait. on n'en dira pas autant d'Yvan Attal, peu convaincant.
le film rappelle les meilleurs oeuvres d'Yves Boisset, avec des costumes féminins superbes !
Excellent film sur une affaire assez peu connue car peu médiatisée. Maureen Kearney a été lanceuse d’alerte chez Aréva pour dénoncer un accord sur le point d’être conclu entre Aréva, EDF d’un côté et un groupe chinois de l’autre avec pour conséquence des milliers d’emplois perdus chez Aréva et le savoir-faire français qui allait disparaître. Les politiques étaient au courant, jusqu’au plus haut niveau et sans doute certains médias qui bien sûr n’ont rien dit. Maureen a été attaquée chez elle, violée mais de victime, elle est passée à affabulatrice, ayant inventé et mis en scène son viol. Hallucinant ! on aurait pu penser que ces manières dataient du siècle dernier et impossibles de nos jours ….. Les acteurs sont tous très bons mais Isabelle Huppert est magnifique et bouleversante. Un très grand moment de cinéma. J’ai lu que Maureen a été obligée de sortir de la salle de cinéma la première fois qu’elle a vu le film car il lui était insupportable de revivre certaines scènes. Je la comprends parfaitement.
Un très mauvais docu-fiction comportant trop de clichés, de la désinformation, qui laisse croire au spectateur qu'on lui livre les dessous des cartes politico-industrielles... des jeux caricaturaux à la limite du jeu de débutants... bref un très très mauvais film... c'est dommage car sur le fond il y avait peut-être une véritable histoire judiciaire....
Assez désespéré de voir que le cinéma français doit paraître "cheap"... on se croierait sur un téléfilm.
J'ai eu très peur au début du film, avec une Marina Foïs se caricaturant, elle et son personnage, tout comme Yvan Attal.
La suite s'est légèrement rattrapée, par une intrigue plutôt bien amenée et quelques acteurs surnageant.
Très mauvais point pour la fin bâclée : spoiler: comment peut-on juste offrir quelques bandeaux à lire, surtout dignes d'une émission racoleuse avec ses points de suspension, mélangeant faits et interprétation / dénonciation.
spoiler: Et ce regard caméra grotesque à la dernière seconde, aveu d'échec du film à nous avoir pris sans ce genre d'artifice.
J'ai eu très peur au début du film, avec une Marina Foïs se caricaturant, elle et son personnage, tout comme Yvan Attal.
La suite s'est légèrement rattrapée, par une intrigue plutôt bien amenée et quelques acteurs surnageant.
Très mauvais point pour la fin bâclée : spoiler: comment peut-on juste offrir quelques bandeaux à lire, surtout dignes d'une émission racoleuse avec ses points de suspension, mélangeant faits et interprétation / dénonciation.
spoiler: Et ce regard caméra grotesque à la dernière seconde, aveu d'échec du film à nous avoir pris sans ce genre d'artifice.
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