C'est dommage : le sujet était intéressant et ce psychiatre mérite effectivement d'être le centre d'un documentaire pour parler de ses méthodes.
Malheureusement le patient-réalisateur s'embourbe dans une recherche de mise en forme en nous avouant à la moitié être complètement perdu ce qui nous fait passer d'un faux studio sur fonds vert à un mode "balek" on va plus tricher et monter le fonds vert et ma perruque.
Mais on s'en cogne du décors, tu perds le spectateurs à parler d'artifices de réalisation (on n'est pas dans un film de Michael Bay...).
C'est une conversation, quel besoin de se disperser...
Leur relation reste néanmoins touchante, mais encore une fois le patient est trop perdu encore pour tenir cette position de réalisateur de documentaire.