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cinéman
39 abonnés
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2,0
Publiée le 13 février 2024
Une trentenaire japonaise parle avec un homme dans sa tête (et dès le début du film), censé incarner sa voix intérieure ou sa solitude... Déjà on sait qu'on entre dans un univers irrationnel... Certains l'accepteront et le prendront pour poétique, mais pour moi c'est surtout farfelu et mièvre ! A part ça, l'histoire en soi ne révèlera rien d'extraordinaire : une rencontre, une romance... spoiler: jusqu'à ce que cette voix cesse. alors que la bande-annonce semblait n'évoquer que le quotidien d'une femme seule. Néanmoins c'est bien filmé, bien joué par l'actrice principale, et certains spectateurs sensibles à ce genre de transports amoureux peuvent passer un bon moment.
Portrait drôle et touchant (malgré quelques longueurs) d’une célibataire solitaire et trippée en quête de complicité, incarnée par une excellente actrice. 2,75
Tempura met en avant la solitude d'une jeune femme trentenaire qui vit dans une société japonaise où le mariage et le travail règnent. La petite voix dans sa tête lui permet de combler un vide : l'amour. Quand elle éprouve des sentiments pour un jeune homme, elle se voit prise au dépourvu quand cette petite voix disparait. L'image de fin est parfaite pour représenter cette "délivrance" que trouve enfin Mitsuko après tant d'années de solitude. Beaucoup d'émotions.
C’est beaucoup trop long et lent. En plus, c’est encore un de ces films ou la caméra bouge sans arrêt et donne mal a la tête ..… Du coup je n’ai pas reussi a aller jusqu’au bout
Je peux comprendre l’attrait que certains éprouvent pour ce film mais il m’a beaucoup ennuyé, je l’ai trouvé insupportablement long et insipide, alors que la bande annonce promettait quelque chose de coloré et d’intéressant. Grosse déception pour ma part.
On accroche... ou pas trop. Des personnages sensibles et une romance mignonne font sourire, mais la quasi absence d'espace-temps ainsi que la voix-off interminable (ou presque) créent des longueurs et un effet de redondance. Un film gentillet mais qui ne restera pas dans la tête.
Ecrit par deux femmes, Akiko Ohku et Risa Wataya, réalisé par la première, Tempura est l'un des rares films japonais contemporains qui nous parviennent à traiter de la condition féminine par des auteures. Elles en font un récit aussi intéressant sociologiquement - la vie des salary women, aussi abrutissante que celle des salary men - qu'inventif et ironique. Ainsi, à quelques occasions, des animations s'incrustent dans l'image, de manière tout à fait pertinente et les scènes où Mitsuko dialogue avec sa conscience (à la voix d'homme) s'avèrent à la fois drôles et touchantes.
Drôle et tendre. Romantique mais cruel aussi . Le tout baigne dans u ne Tokyo qu’on adore. Une actrice fantastique et son partenaire masculin est touchant . Vraiment un bon film .
Tres libre, drôle, humble et émouvant . Les petites longueurs de la fin sont pardonnées, et sans doutes apportent elles une sensation particulière, psychédélique, inhérente à l'héroïne. Il y a aussi de belles scènes, simples, de sororité. La question de l'amour japonais et celles des relations humaines étonne . Des personnages secondaires superbes : le berger de steppes, le chien, le "moi". Je retiens aussi la porte qui grince, le départ flamboyant du double dans la mer. Ce film dépoussière. Et puis aussi, je m'y suis souvent vue ! Alors merci Akiko Ohku !
Magique, je ne vais pas chercher dans le constructif mais plus dans mes sentiments. Ce film m'a replongé dans mes souvenirs et je ne demande rien de plus