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Votre avis sur Phone Game ?
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c'est simple, schumacher arrive, en jouant sur le 'non-vu' et des effets de caméra, à faire monter la pression durant environ 2 h! un casting impeccable, des dialogues réalistes, et un scénario assez malin pour laisser supposer l'essentiel, pour faire douter le spectateur (y'a t-il un tueur? est-ce un cannular? qu'est-ce qui se passe?) tout le temps...ajoutez a cela, un sens de l'économie et du dosage plutot cool, et vous obtenez un bon petit film d'angoisse comme on fait plus, et pour cause le scénario d'origine date des années 1960, et a été réactualisé). la musique de générique est terrible!
Un thriller efficace qui réussit à maintenir la tension de bout en bout malgré la difficulté scénaristique qui est à la fois la contrainte majeure et l'atout principal du film. Colin Farrell est excellent. Le meilleur film de Joel Schumacher à ce jour.
Voilà un thriller bien sympathique ! Le fait que celui-ci soit très court (environ 1h15) permet de maintenir une tension constante tout au long du film, sans temps-morts. On rentre extrêmement très vite dans l'intrigue principale, après un aperçu rapide de notre héros Stu Shepard coincé dans cette fameuse cabine téléphonique. On suit avec attention la torture psychologique que subit Stu, on sent la pression monter au fur et à mesure que l'homme au bout du fil se montre de plus en plus menaçant. Le déroulement de l'histoire est bien mené jusqu'à un surprenant twist final. La réussite de Phone Game réside également dans son casting. Colin Farell campe parfaitement son personnage, ainsi que Forest Whitaker très crédible dans son rôle. Pour résumer, Joel Schumacher nous offre ici un excellent divertissement !
On joue avec nos nerfs du début à la fin. C'est vachement bien.
Un petit miracle de simplicité que ce "Phone Game" ! Quasiment tout je film se passe dans une cabine téléphonique, mais aucun souci, le suspense et la tension ne se relâchent jamais. Colin Farrell est à son meilleur et Forest Whitaker fait le taf. Alors si quelques ressorts scénaristiques sont téléphonés (ah ah que je suis drôle) d'autres sont bien plus surprenants. Pas le temps de s'ennuyer et de gamberger jusqu'au dénouement final, même si sur le fond on peut reprocher à ce thriller d'être moralisateur. Efficace.
Bon alors qu'on se le dise le film aurait pu être bien, sauf qu'on a Schumacher à la réalisation, du coup c'est pas nul parce que la tension est là mais c'est quand même pas glorieux. Dans les différentes qualités du film on a cette sorte de huis-clos qui est assez intéressant, qui aurait pu être beaucoup mieux exploité mais encore une fois, mauvais réalisateur signifiant mauvaises idées, c'est pas gagner d'avance. Sinon le propos au niveau des nouvelles technologie, sur l'idée de l'instantanéité, de la confusion entre sphère privée et sphère publique, etc. ça m'a pas mal causé, j'ai trouvé que c'était assez bien traité. Simplement le discours finit sur une forme de moralité aliénante, ce qui aurait pu être intéressant et assez orwellien en un sens puisqu'on a cette sorte de démiurge qui vient utiliser l'information pour venir moraliser le personnage mais c'est assez mal fait parce qu'on a pas de caractère réflexif à cette proposition, du coup on a juste l'impression qu'il le mérite et qu'il va finir comme étant gentil et que c'est bien. De toute manière le film est assez manichéen dans l'ensemble avec une certaine symbolique chrétienne ce qui me laisse à penser qu'il soutient l'idée d'une justice divine. Du coup ça expliquerait le twist final même s'il est vraiment nul mais le scénario utilise régulièrement des ficèles assez énormes et incohérentes. Après je dirais que ça se laisse agréablement regarder mais le film ne prend pas son temps, il est beaucoup trop rapide 1h20 pour ça c'est beaucoup trop court il aurait fallu allonger bien des scènes mais ça demande un certain savoir-faire... Du coup on a vite-fait d'oublier que le viseur du sniper indique directement où il est placé, que c'est idiot d'avoir une lunette du coup, qu'une balle de flingue ne trompera jamais personne puisque ce n'est pas le même calibre qu'une balle de sniper, etc. Et puis on a ce montage dégueulasse avec des superpositions d'image, on croirait que ça a été fait sur Windows Movie Marker. Reste le beau Colin Farrell et la présence d'un certain suspense. On préfèrera The Game dans le même genre, même si très imparfait. Ca se laisse regarder mais c'est loin d'être brillant surtout au vue de ce que ça aurait pu être.
Oui, un tout petit instant d'1h15, mais ô combien palpitant. Une mise en scène sobre et intelligente qui fait tourner la tête, un jeu d'acteurs (même celui que l'on entend) impeccable, une tension crescendo tout à fait prenante, vraiment tout, ici, fait du spectateur une victime collatérale du machiavélisme du tueur: oppressé, l'on se sent étrangement compatissant à l'égard du salaud authentique mais banal, pris dans la toile du malfaiteur (ou bienfaiteur? on ne sait plus). Le long chemin de repentance que notre antihéros suivra lui sera salvateur, et à mesure que l'intrigue nous offre des rebondissements ou gagne un degré sur l'échelle du perfide guet apens téléphonique, le personnage se défait formidablement de ses chaînes, s'émancipe, et relève la tête, plus fort que jamais, offrant à la face du monde le courage qu'il n'avait jamais eu. Et du statut d'antihéros il devient le héros du film, châtié par une entité surhumaine, mais frappé au plus profond de sa conscience d'être humain, cet être humain que l'habit classieux et l'importance sociale avaient refoulé. Le film est d'une formidable puissance, il est à vrai dire aussi bref que marquant.
Un Thriller Haletant
"Phone Game", réalisé par Joel Schumacher, est un thriller compact qui capture l'essence de l'angoisse en un seul lieu : une cabine téléphonique à New York. Colin Farrell incarne Stuart Shepard, un attaché de presse au cœur de ce piège oppressant, dont la performance intense maintient le spectateur en haleine. Le scénario, écrit par Larry Cohen, est ingénieux par sa simplicité, plaçant Stuart face à un mystérieux sniper, joué vocalement par Kiefer Sutherland. Ce dernier orchestre un jeu de chat et de souris pervers, où chaque seconde écoulée pourrait être la dernière pour Stuart.
Les Points Forts
La réalisation de Schumacher, bien que classique, utilise efficacement l'espace restreint pour amplifier la tension. Le spectateur est plongé dans cette cabine, ressentant l'étouffement et la panique de Stuart. La caméra de Matthew Libatique, avec ses angles dynamiques et ses prises de vue rapprochées, renforce ce sentiment d'urgence et d'isolation. Le montage serré de Mark Stevens maintient un rythme frénétique, tandis que la musique de Harry Gregson-Williams ajoute une couche supplémentaire de suspense.
Des Performances Mémorables
Colin Farrell, avec son charisme brut, porte le film sur ses épaules. Sa transformation, d'un attaché de presse arrogant à un homme désespéré, est captivante. Kiefer Sutherland, bien que principalement une voix, impose une présence menaçante qui plane sur tout le film. Forest Whitaker, dans le rôle du capitaine Ed Ramey, ajoute une profondeur émotionnelle, humanisant les forces de l'ordre souvent perçues comme antagonistes.
Les Limites du Concept
Cependant, le film n'est pas sans défauts. Le concept, bien que novateur, finit par montrer ses limites. La tension initiale tend à s’essouffler vers le milieu du film, et certaines scènes semblent répétitives. Le scénario, malgré sa force, aurait bénéficié de quelques diversions supplémentaires pour éviter la monotonie. La fin, bien qu'efficace, laisse une impression mitigée, manquant de l'impact que le film avait soigneusement construit.
Une Production Efficace mais Limité
La production de "Phone Game" est remarquable par sa rapidité. Tourné en seulement douze jours, le film parvient à capturer l'énergie brute et l'immédiateté d'une situation en temps réel. Les choix de localisation, bien que se déroulant à Los Angeles pour représenter Manhattan, sont crédibles. Les contraintes de production, comme l'utilisation de French hours et le tournage chronologique, ont permis de conserver une continuité et une authenticité rarement vues dans des productions de cette envergure.
Conclusion
"Phone Game" est un thriller efficace qui excelle dans sa capacité à maintenir le suspense dans un cadre minimaliste. Bien qu'il présente quelques faiblesses structurelles, la performance de Colin Farrell et la direction sûre de Joel Schumacher en font une expérience mémorable. C’est un film qui, sans révolutionner le genre, parvient à captiver par son intensité et son originalité. "Phone Game" mérite d'être vu, ne serait-ce que pour apprécier la tension palpable qui émane de cette cabine téléphonique, véritable personnage à part entière du récit.
"Phone Game", réalisé par Joel Schumacher, est un thriller compact qui capture l'essence de l'angoisse en un seul lieu : une cabine téléphonique à New York. Colin Farrell incarne Stuart Shepard, un attaché de presse au cœur de ce piège oppressant, dont la performance intense maintient le spectateur en haleine. Le scénario, écrit par Larry Cohen, est ingénieux par sa simplicité, plaçant Stuart face à un mystérieux sniper, joué vocalement par Kiefer Sutherland. Ce dernier orchestre un jeu de chat et de souris pervers, où chaque seconde écoulée pourrait être la dernière pour Stuart.
Les Points Forts
La réalisation de Schumacher, bien que classique, utilise efficacement l'espace restreint pour amplifier la tension. Le spectateur est plongé dans cette cabine, ressentant l'étouffement et la panique de Stuart. La caméra de Matthew Libatique, avec ses angles dynamiques et ses prises de vue rapprochées, renforce ce sentiment d'urgence et d'isolation. Le montage serré de Mark Stevens maintient un rythme frénétique, tandis que la musique de Harry Gregson-Williams ajoute une couche supplémentaire de suspense.
Des Performances Mémorables
Colin Farrell, avec son charisme brut, porte le film sur ses épaules. Sa transformation, d'un attaché de presse arrogant à un homme désespéré, est captivante. Kiefer Sutherland, bien que principalement une voix, impose une présence menaçante qui plane sur tout le film. Forest Whitaker, dans le rôle du capitaine Ed Ramey, ajoute une profondeur émotionnelle, humanisant les forces de l'ordre souvent perçues comme antagonistes.
Les Limites du Concept
Cependant, le film n'est pas sans défauts. Le concept, bien que novateur, finit par montrer ses limites. La tension initiale tend à s’essouffler vers le milieu du film, et certaines scènes semblent répétitives. Le scénario, malgré sa force, aurait bénéficié de quelques diversions supplémentaires pour éviter la monotonie. La fin, bien qu'efficace, laisse une impression mitigée, manquant de l'impact que le film avait soigneusement construit.
Une Production Efficace mais Limité
La production de "Phone Game" est remarquable par sa rapidité. Tourné en seulement douze jours, le film parvient à capturer l'énergie brute et l'immédiateté d'une situation en temps réel. Les choix de localisation, bien que se déroulant à Los Angeles pour représenter Manhattan, sont crédibles. Les contraintes de production, comme l'utilisation de French hours et le tournage chronologique, ont permis de conserver une continuité et une authenticité rarement vues dans des productions de cette envergure.
Conclusion
"Phone Game" est un thriller efficace qui excelle dans sa capacité à maintenir le suspense dans un cadre minimaliste. Bien qu'il présente quelques faiblesses structurelles, la performance de Colin Farrell et la direction sûre de Joel Schumacher en font une expérience mémorable. C’est un film qui, sans révolutionner le genre, parvient à captiver par son intensité et son originalité. "Phone Game" mérite d'être vu, ne serait-ce que pour apprécier la tension palpable qui émane de cette cabine téléphonique, véritable personnage à part entière du récit.
Le chantage téléphonique, un concept qui s'avère extrêmement bien pensé par Joel Schumacher, un des réalisateurs les plus inégaux d'Hollywood. Court, simple, et efficace, voilà qui résume parfaitement ce thriller bien ficelé et superbement interprété par Colin Farrell. Ces dialogues taillés au scalpel entre un attaché de presse menteur et égoïste et un psychopathe vicieux façon John Doe ou Jigsaw, sont un pur régal du début à la fin. Aucun répit pour le protagoniste ni pour le spectateur, pris par un suspense omniprésent. Cependant, l'éternel sermon sur l'adultère dont les USA se sont fait une spécialité ne manque pas d'agacer. Mais qu'importe, un petit film (1h20) pour une grosse réussite !
Un film d'une rare intensité, le scénario est une pure merveille, les acteurs sont excellents et les suspens est a son paroxysme tout au long du film et pour couronner le tout, le dénouement est plus que monumentale.
Un huis clos vraiment palpitant, qui nous en ferait presque oublier que c'est la patte de Joël Schumacher...
Colin Farrell qui répond par curiosité à une cabine téléphonique se retrouve contraint et forcé d'y rester puisqu'il a au bout du fil un sniper qui le vise. Celui-ci l'oblige à divulguer à sa femme qu'il lorgne sur une autre, et doit suivre toutes les indications de son interlocuteur en l'obligeant à révèler à ses proches les aspects les plus sombres de sa vie, lui pourtant publicitaire sans histoire.
Colin Farrell coincé dans cette cabine est époustouflant, tout comme la simple voix de Kiefer Sutherland, qui n'hésite pas à utiliser tous les moyens pour faire comprendre à sa cible qu'il n'a pas affaire à n'importe qui.
Une morale à retenir malgré tout dans ce polar plutôt immoral, c'est qu'inconsciemment, on répond au téléphone alors que l'on ne devine pas forcément qui est au bout, dans une ville où son portable est aussi important pour sortir que son manteau ou ses chaussures.
Colin Farrell qui répond par curiosité à une cabine téléphonique se retrouve contraint et forcé d'y rester puisqu'il a au bout du fil un sniper qui le vise. Celui-ci l'oblige à divulguer à sa femme qu'il lorgne sur une autre, et doit suivre toutes les indications de son interlocuteur en l'obligeant à révèler à ses proches les aspects les plus sombres de sa vie, lui pourtant publicitaire sans histoire.
Colin Farrell coincé dans cette cabine est époustouflant, tout comme la simple voix de Kiefer Sutherland, qui n'hésite pas à utiliser tous les moyens pour faire comprendre à sa cible qu'il n'a pas affaire à n'importe qui.
Une morale à retenir malgré tout dans ce polar plutôt immoral, c'est qu'inconsciemment, on répond au téléphone alors que l'on ne devine pas forcément qui est au bout, dans une ville où son portable est aussi important pour sortir que son manteau ou ses chaussures.
Ce film est vraiment un des meilleurs jamais vus car il est presque parfait : on est surpris à tous moments, et niveau effets spéciaux et décor, le budget n'a pas du être trop lourd. Vraiment génial. Colin Farrell est exceptionnel et signe une de ses meilleures performances !! Le suspense est très bon, on frissonne, on jubile. C'est un film tourné en 10 jours mais qui devient culte pour sa perfection : je pense qu'il est très difficile de créer un film passionnant à partir d'un même endroit (ici une cabine téléphonique) pendant 1 heure 20. Si vous ne l'avez jamais vu, faites-le !
Franchement je viens de finir de le regarder sur M6, même si ma télé ne marche pas à merveille j'ai passé un agréable moment car j'aime bien ce genre de film, le scénario est bon et original, les acteurs sont très bons et l'intrigue très bien ficelé, bref un bon film bravo.
Scénario minimaliste, décors réduits à une cabine téléphonique, 2 ou 3 acteurs (hormis les figurants)... et pourtant que ce film est bon ! Le suspens est présent du début à la fin, le rythme ne faiblit pas une seconde, et Colin Farrell joue à la perfection (une vraie révélation dans ce film) ! Voilà un excellent film fait à petit budget, bravo.
Un très bon thriller sur la manipulation . Joël Schumacher est un très bon réalisateur. Colin Farrell incarne un attaché de presse. Un bon film sous tension. Le twist final est vraiment inattendu.
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