Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par Hélène Robert
Usant subtilement d’expressions minimalistes, Bill Nighy (Mr. Williams) incarne magistralement l’apathie existentielle et le sentiment d’être éloigné de tous, y compris de lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Avec un merveilleux sens du cadre et de la photo, Oliver Hermanus, jeune réalisateur sud-africain de 39 ans, rafraîchit le classique de Kurosawa sans perdre toute la réflexion sur le sens de la vie.
Télérama
par Guillemette Odicino
Pierre angulaire, magnifiquement anguleuse, de ce grand film contre le froid des sentiments, Bill Nighy s’impose comme un véritable monument britannique : fascinante est sa capacité à provoquer un torrent d’émotions avec une infime lueur d’enfance retrouvée sur son visage de « zombie », ou un minuscule rire qui fait tressauter ses épaules de grand héron décharné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Rose Piccini
[...] d'une délicatesse et d'une intelligence qui forcent l'admiration, faisant de ce "Vivre" [...] une splendeur [...].
Femme Actuelle
par La rédaction
Un film à la fois subtil et poignant, semé de sourires lumineux, adapté d'un chef-d'œuvre du cinéma japonais.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Sans fausse note, le film d’Oliver Hermanus livre une réflexion sur le sens de la vie d’une délicieuse mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Dans le sillage des grands mélodrames de Douglas Sirk, la bouleversante chronique intimiste d'Oliver Hermanus s'affiche comme un film dépouillé, poignant, tout en non-dits, et dont le spectateur ressort la gorge nouée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Benjamin Locoge
Un récit initiatique majeur. Qui montre qu'il n'est jamais trop tard pour embrasser la vie.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Vivre épouse les circonvolutions d’une conscience qui s’éveille, adopte un regard neuf sur les événements et les autres. C’est ainsi que le film creuse l’épaisseur humaine de ces héros ordinaires dont la fréquentation rend tout simplement heureux.
Télé Loisirs
par S.O.
Moins mélo que feel good, l'histoire de ce terne fonctionnaire [...] est mise en scène avec une élégance lui conférant un charme délicieusement désuet.
Voici
par La rédaction
Remake d'un chef-d'œuvre réalisé par le maître Akira Kurosawa, "Vivre" s'en sort pourtant avec les honneurs, entre autres grâce à son bouleversant acteur, Bill Nighy.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le sujet douloureux de la mort à prochaine est traité de main de maître par Oliver Hermanus qui en fait une opportunité à la vie. Un film d’une grande intelligence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Technicolor, image au format 1.66, ambiance compassée : l’exercice de style a son charme, mais le soin fétichiste qu’y met le réalisateur, Oliver Hermanus, en alourdit la pudeur émotionnelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le comédien vétéran Bill Nighy donne une incroyable profondeur à ce personnage, jusqu’à dissiper l’odeur de naphtaline qui menaçait quand même.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La rédaction
Un joli film porté par l’élégant Bill Nighy.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Remake d’un chef-d’œuvre de Kurosawa, ce mélodrame, porté par un Bill Nighy à son meilleur, fait preuve d’indéniables qualités.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Le film dépeint très joliment ce monde corseté, le défilé des gentlemen bien sous tous rapports, grimpant au petit matin dans leur train de banlieue, pour aller vaquer avec dignité, le menton en avant, à des occupations dérisoires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
L’austérité de la mise en scène, qui flirte avec l’ennui, sert habilement cette invitation à goûter la vie en s’affranchissant des entraves inutiles.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
A force de choisir la pudeur, la retenue et l’austérité, le réalisateur tient à distance le spectateur et le prive de toute émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Bande à part
Usant subtilement d’expressions minimalistes, Bill Nighy (Mr. Williams) incarne magistralement l’apathie existentielle et le sentiment d’être éloigné de tous, y compris de lui-même.
Ouest France
Avec un merveilleux sens du cadre et de la photo, Oliver Hermanus, jeune réalisateur sud-africain de 39 ans, rafraîchit le classique de Kurosawa sans perdre toute la réflexion sur le sens de la vie.
Télérama
Pierre angulaire, magnifiquement anguleuse, de ce grand film contre le froid des sentiments, Bill Nighy s’impose comme un véritable monument britannique : fascinante est sa capacité à provoquer un torrent d’émotions avec une infime lueur d’enfance retrouvée sur son visage de « zombie », ou un minuscule rire qui fait tressauter ses épaules de grand héron décharné.
CinemaTeaser
[...] d'une délicatesse et d'une intelligence qui forcent l'admiration, faisant de ce "Vivre" [...] une splendeur [...].
Femme Actuelle
Un film à la fois subtil et poignant, semé de sourires lumineux, adapté d'un chef-d'œuvre du cinéma japonais.
La Croix
Sans fausse note, le film d’Oliver Hermanus livre une réflexion sur le sens de la vie d’une délicieuse mélancolie.
Le Figaro
Dans le sillage des grands mélodrames de Douglas Sirk, la bouleversante chronique intimiste d'Oliver Hermanus s'affiche comme un film dépouillé, poignant, tout en non-dits, et dont le spectateur ressort la gorge nouée.
Paris Match
Un récit initiatique majeur. Qui montre qu'il n'est jamais trop tard pour embrasser la vie.
Sud Ouest
Vivre épouse les circonvolutions d’une conscience qui s’éveille, adopte un regard neuf sur les événements et les autres. C’est ainsi que le film creuse l’épaisseur humaine de ces héros ordinaires dont la fréquentation rend tout simplement heureux.
Télé Loisirs
Moins mélo que feel good, l'histoire de ce terne fonctionnaire [...] est mise en scène avec une élégance lui conférant un charme délicieusement désuet.
Voici
Remake d'un chef-d'œuvre réalisé par le maître Akira Kurosawa, "Vivre" s'en sort pourtant avec les honneurs, entre autres grâce à son bouleversant acteur, Bill Nighy.
aVoir-aLire.com
Le sujet douloureux de la mort à prochaine est traité de main de maître par Oliver Hermanus qui en fait une opportunité à la vie. Un film d’une grande intelligence.
L'Obs
Technicolor, image au format 1.66, ambiance compassée : l’exercice de style a son charme, mais le soin fétichiste qu’y met le réalisateur, Oliver Hermanus, en alourdit la pudeur émotionnelle.
La Voix du Nord
Le comédien vétéran Bill Nighy donne une incroyable profondeur à ce personnage, jusqu’à dissiper l’odeur de naphtaline qui menaçait quand même.
Le Parisien
Un joli film porté par l’élégant Bill Nighy.
Les Fiches du Cinéma
Remake d’un chef-d’œuvre de Kurosawa, ce mélodrame, porté par un Bill Nighy à son meilleur, fait preuve d’indéniables qualités.
Première
Le film dépeint très joliment ce monde corseté, le défilé des gentlemen bien sous tous rapports, grimpant au petit matin dans leur train de banlieue, pour aller vaquer avec dignité, le menton en avant, à des occupations dérisoires.
Télé 7 Jours
L’austérité de la mise en scène, qui flirte avec l’ennui, sert habilement cette invitation à goûter la vie en s’affranchissant des entraves inutiles.
Le Journal du Dimanche
A force de choisir la pudeur, la retenue et l’austérité, le réalisateur tient à distance le spectateur et le prive de toute émotion.