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    La Dixième victime
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    Thierry Delarue
    Thierry Delarue

    1 abonné 115 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2024
    Quel drôle de film. Il pourrait être l'ancêtre de American Nightmare ou de Hunger Games. Mais avec cette vision psychédélique et absurde, futuriste et parodiquement publicitaire, chère à ces années 60-70 on savoure les grossiers effets, inventions et décors imaginés. Nous ne savons plus si nous sommes dans de la science-fiction, de la comédie, ou un film d'action, mais nous prenons plaisir à naviguer de l'un à l'autre. La libération sexuelle est en marche, plus que tout la femme devient objet de convoitise qui se mérite. Caroline Méredith est parfaite en beauté fatale, tueuse à sang chaud. Le modernisme et l'empire de la mode s'installent, malgré la mise en garde contre quelques dangereuses idioties mercantiles. L'humanité entre dans l'ère de l'image et du paraître. Les magnifiques acteurs que sont Ursula Andress et Marcello Maestroianni. ne s'imaginaient pas à l'époque vers quelle folie les sociétés modernes se dirigeaient. D'apparence légère, ce film pour qui sait le regarder dénonce déjà les dérives d'un futur virtuel. Ma note sera de 2,74 sur 5. Nous ne sommes qu'en 1965, et les visionnaires s'amusaient déjà de la décadence humaine.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 399 abonnés 4 438 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2024
    Un film comme on en fera plus, tant pour le meilleur que pour le pire ! Pour cela que j’apprécie le cinéma de cette époque, c’est toujours surprenant. En bien ou en mal ! La 10e victime commence sur un synopsis hyper classique (enfin pas pour l’époque, mais depuis c’est pléthorique !), et on s’attend donc à un récit devenu un peu banal avec le temps. Sauf que l’approche est complètement déconcertante ! On est dans une comédie totalement kitsh mais assumée comme telle ! Sincèrement, le métrage a beaucoup de défauts. Ses meurtres pas du tout crédibles (pas de sang, les cadavres respirent ou clignent des yeux !), ses longueurs (l’ouverture dure 3 plombes, il y a des scènes qui trainouillent et des répétitions), sa dimension dystopique qui paraîtra sans doute trop faiblement esquissée et surtout sa fin. Quel dommage d’avoir ajouté ces 5 mn au véritable final. Ok, c’est pour rester dans le ton du film, mais ça gâche beaucoup de sa portée et de son ironie. Dommage.
    Si l’on met ça de côté, il reste cependant des qualités aussi. Déjà le duo Andress-Mastroianni fonctionne super bien. Les deux acteurs sont vraiment complices, lui est excellent en héros flegmatique, elle est magnifique (à mon avis le rôle où elle crève le plus l’écran), et leur chassé-croisé est très sympathique. Le film s’appuie quasi-unilatéralement sur leur duo, et il fait bien car faut avouer que sans eux le film aurait sûrement été aussi peu digeste qu’un Jésus Franco ! Ils sont très bons, et ils évoluent aussi dans un décor très réussi. Le film dégage une ambiance pop pleine de référence, c’est totalement vintage, mais ça reste très efficace. Le mélange futuriste-antique, l’esthétique des costumes, la bande son loufoque à souhait sur les fusillades qui se terminent cependant par des meurtres, le métrage dégage une forme d’ironie malsaine, de joyeux bazar morbide, sans complètement l’assumé (il n’y a pas de sang) mais assez pour créer un contraste saisissant. Quant à l’histoire, de mon point de vue elle esquisse plein de pistes hyper intéressantes sur le futur, et elle se montre souvent grinçante, distillant avec intelligence (c'est-à-dire discrétion) ses références troubles à la société décrépite du film. Pour autant, comme je l’ai dit, on ne pourra nier les lenteurs, le côté délirant de la fin qui en fait beaucoup trop et nuit à une intrigue qui, même dans sa dimension « romance », car ce film est surtout une romance, est sincèrement assez plaisante à suivre.
    Pour ma part La 10e victime doit être surtout vu comme une comédie romantique vaguement sf et vaguement dystopique. Le film a étonnamment peu vieilli, surtout car déjà à l’époque il mélangeait le passé et le futur, dans une sorte de gloubi boulga difficilement situable chronologiquement. A mon sens, à découvrir, surtout si vous voulez voir Ursula Andress au top de sa forme et Mastroianni en tueur improbable. 3
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 juin 2021
    La Dixième Victime est censé se dérouler dans le futur. Une grande partie est très futuriste comme les vêtements et les changements dans la société mais une grande partie ressemble exactement à 1965 comme si le réalisateur n'avait pas assez d'argent pour faire son film correctement. Dans ce futur étrange le meurtre est un sport international et les gens alternent entre la victime et le chasseur. Si la victime parvient à survivre elle est alors le chasseur. Si vous survivez à 10 rounds vous gagnez un million de dollars. Au cours du film nous remarquons que les joueurs complètent leurs revenus en incorporant leurs meurtres dans des publicités télévisées. Tout cela a l'air plutôt bien comme un genre de film passionnant. Malheureusement malgré de bonnes idées il est incroyablement bavard et ennuyeux. Malgré un beau casting composé de Marcello Mastroianni et Ursula Andress on ne peut s'empêcher de penser que l'histoire n'a jamais été vraiment travaillée avant le début du tournage. C'est encore plus évident à la fin lorsque le film ne sait pas quand et comment se terminer. Et si vous ajoutez à cela la musique la plus ennuyeuse de l'histoire du cinéma nous avons du mal à croire à quel point cela peut être mauvais. C'est morne stupide et douloureux avec le soupçon d'une bonne histoire enfouie quelque part mais trop profondément...
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    121 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2020
    Vingt-et-un ans avant Running Man, où Schwarzenegger interprète la « victime » d'une chasse à l'homme télévisée pour le plus grand plaisir dégénéré de foules dystopiennes, c'est Elio Petri qui a apporté sa pierre à ce sous-genre de la SF qui prend un malin plaisir à montrer l'homme enseveli sous les dérives du divertissement populaire.

    Faisant planer le risque d'une guerre mondiale et donnant à ses personnages le pouvoir sur les masses, La dixième victime sera un exemple pour le cinéma de SF agité par la Guerre froide. Devançant même d'un an le Fahrenheit 451 de Truffaut, il participe à combler le retard accumulé par le cinéma sur le roman en matière d'anticipation réaliste.

    Ce qui fait plaisir quand on le découvre en 2020, c'est de voir qu'il n'est pas seulement un précurseur. Prenant juste ce qu'il faut d'éléments romanesques pour se constituer un contexte de monde globalisé assez décent, le film sort très vite du sentier qu'il bat lui-même en revêtant des niveaux sociaux et culturels inattendus. Il y a par exemple une vraie projection de l'identité nationale dans le faux XXIᵉ siècle imaginé par Petri, permettant même un choc culturel futuriste entre l'homme italien et la femme américaine.

    Dans la famille des défauts, je dirais que le film est un peu instable dans sa représentation des enjeux. Il représente tour à tour des personnages superficiels et rebelles qui ne s'imbriquent pas dans l'idée d'une société rivée à ses écrans. Les décors, aussi bien pensés fussent-ils, prennent alors plutôt des airs de décorations, et l'on peut imaginer qu'en 1965 déjà, les éléments de SF dont il fait usage étaient plus cocasses qu'étonnants. Dans ce cadre, la révélation de l'histoire cachée sous l'histoire est une bouffée d'air frais en même temps qu'un passage malheureusement un peu trop obligé.

    Référence de SF, La dixième victime n'est pas tout à fait comme le reste de ces vieux films cultes qui ont forgé le cinéma d'anticipation et dont on n'a plus cure. Il a quelque chose bien à lui.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2019
    Dans un futur proche, des chasses à l’homme sont organisées et légalisées à l’échelle de la planète, pour servir d’exutoire au besoin de violence des hommes, et permettre d’éviter les guerres collectives. Ces chasses sont exploitées par des appétits mercantiles, préfigurant ce que sera la télé réalité. Avec un tel thème de départ, on aurait pu s’attendre à un film anxiogène ou cauchemardesque. Mais Elio Petri et ses scénaristes ont opté pour le ton de la comédie et une imagerie « pop ». Les péripéties sont surprenantes et parodiques et les dialogues sont caustiques et humoristiques, dans la meilleure veine de la comédie Italienne. Une sorte d’OVNI jubilatoire.
    cylon86
    cylon86

    2 513 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2018
    Avec "La dixième victime", Elio Petri nous plonge dans un monde futuriste où un grand jeu de chasse à échelle humaine est organisé. Tour à tour, les participants sont chasseurs ou victimes et doivent survivre à dix rounds pour accéder à la gloire et la fortune. C'est dans ce monde que Caroline Meredith, une américaine, en est à sa dernière chasse. Sa victime est Marcello dont c'est la sixième participation, la première en tant que victime. Payée grassement par une grande marque de thé, Caroline doit s'arranger pour que la mort de Marcello s'effectue devant les caméras. C'est sans compter sur l'astuce du bonhomme et de son pouvoir de séduction... Récit totalement pop nous plongeant dans un monde ensoleillé où les comics sont devenus de la grande littérature et où la publicité est partout, "La dixième victime" a pour lui un sacré postulat de départ, la classe absolue de Marcello Mastroianni et la plastique parfaite d'Ursula Andress. Il est donc dommage que le récit finisse par légèrement tourner en rond, ayant parfois du mal à convaincre sur la durée. Le film n'en demeure pas moins un exercice de style fascinant où l'on tue les gens pour se divertir, critique déjà lucide d'une société qui s'ennuie et qui en demande toujours plus.
    Estonius
    Estonius

    3 343 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mars 2018
    Une bonne idée de départ, mais mal exploitée à cause d'un scénario se perdant en diversions (genre les spoiler: adorateurs du solei
    l) au lieu d'approfondir les personnages. De plus la réalisation est très molle et sans rythme. La direction d'acteurs déçoit, Mastroianni semblant peu concerné, quant à Andress, sa plastique et son visage sont magnifiques mais elle a l'air de s'en contenter. (les courtes apparitions d'Elsa Martinelli sont d'un tout autre niveau). Reste le kitch des décors et des costumes, quelques bonnes scènes comme spoiler: le club Masoch (bien sage quand même), l'explosion de l’allemand ou les parents planqués derrière une porte coulissante
    . Quant à la fin, plus foireux, tu meurs. Décevant.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    74 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2017
    C'est vraiment pas fameux. C'est long, et même ennuyeux, bien qu'il y ait de l'action par moment. Un scénario plutôt débile, des dialogues sans saveur, une réalisation terne, restent les décors colorés, les ruines romaines à la fin, et les acteurs sont ici particulièrement nuls, même Mastroianni, ne parlons pas de Ursula Andress. Aucun humour. Et c'est en VO anglais. Un Elio Petri très décevant.
    Acidus
    Acidus

    720 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Malgré son ancienneté, "La Dixième victime" rappelle grandement ses deux petits frères plus célèbres que sont "Le Prix du danger" (1983) d'Yves Boisset et "Running Man" (1987) de Paul Michael Glaser. Ces trois longs métrages développent le même concept d'une chasse à l'homme légalisée et transformée en jeu. L'univers science-fictionnel de "La Dixième victime" a pris un coup de vieux et est devenu, à l'instar d'un "Barbarella", kitsch à souhait. Malgré son aspect futuriste, le film sent les années 60 tant par les costumes que par la musique de fond. L'intrigue est sympathique et mêle humour et satire sociale. Si l'on fait abstraction d'une fin ratée, "La Dixième victime" est un film honorable et nous fait passer un agréable moment.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 février 2015
    Après un démarrage honorable, le film s'enlise complètement jusqu'à en faire souhaiter la fin! Mastroianni fait ce qu'il peut pour s'en tirer, Ursula Andress n'a que son physique ( ce n'est pas peu, certes!!). Le tout fait un nanar dont on peut se passer. Pourquoi ressortir ce film , mystère!
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2014
    "La Dixième Victime" est un film dystopique remarquable de par les idées scénaristiques qu'il propose et l'esthétique futuriste un peu kitch qu'il met en place. L'histoire est très intéressante, traitée avec un ton léger et une insouciance qui font froid dans le dos. Comme il s'agit d'une comédie, le film perd de son côté percutant, ce qui est dommage pour une œuvre traitant de thèmes si fort, mais l'aspect humoristique lui permet aussi de ne jamais tomber dans le ridicule. Ainsi, avec ses personnages bancals et ses décors un peu datés, on obtiendrait sans doute quelque chose de grossièrement pompeux si "La Dixième Victime" se prenait au sérieux. C'est heureusement loin d'être le cas et on assiste donc avec allégresse à cette traque jouissive et ses rebondissements délicieusement excessifs.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 août 2014
    Le coté branché du film c'est transformé les années passant en kitch amusant, pas assez cependant pour faire oublier les faiblesses de la réalisation et du scénario dommage le sujet était précurseur.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2013
    Ce film d’anticipation du genre chasse à l’homme est un lointain cousin des « Prix du danger », « Running Man », « Hunger Games » et j’en passe. Cependant, ce long-métrage italien est très déroutant. D’abord à cause de son côté délirant, de ses scènes saugrenues (Mastroianni et ses pilules lacrymales « pour faire vrai » en grand maître des adorateurs du soleil face à des néo-réalistes, les musiciens installés sur des cubes en plein air), son ambiance rétro-futuriste très années 60, ses décors et costumes kitschissimes, ses gadgets improbables comme les téléphones, sa musique de supermarché. Le look vieillot de cette société futuriste est vraiment bizarre.
    A Genève, un gros ordinateur distribue les rôles parmi les volontaires de la Chasse : chasseur ou proie. Le chasseur a l’avantage d’être renseigné sur sa cible. Alors que la victime n’a qu’une notification de son statut. Le but est de canaliser l’agressivité de chacun en autorisant des tueries sur la voie publique pour éviter les massacres de masse (les guerres). Ainsi, les gens s’entretuent au pistolet dans l’indifférence générale. Le vainqueur n’a qu’à exhiber sa carte pour recevoir les félicitations. Dix victoires signifient la richesse et la gloire. Attention, les erreurs de cibles sont punies de trente ans de prison. Tout cela est parfaitement régi par le Ministère de la Chasse (avec son guichet de retrait des gains, sa zone d’entraînement pour chasseurs). Un détail amusant, en Italie où se déroule l’action, il y a des lieux interdits de tuer (écoles, restaurants etc.). En revanche des duels à mort entre gladiateurs sont organisés lors de fêtes privées. Beaucoup d’éléments dans cette société du futur sont originaux. Mais, ils sont souvent suggérés, juste mentionnés dans les dialogues. Ainsi, afin d'éviter de confier ses vieux à l’Etat (pour être euthanasiés ?), on les déguise en jeunes ou on les cache. Le sexe n’est plus un tabou mais se pratique mécaniquement sans émotions. L’épouse pouvant regarder les ébats de son mari sans aucune gêne. Particularité italienne, le divorce est interdit. A noter que les BD tels les comics sont considérées comme le top de la littérature ! Les centres de relaxation sont des bordels aseptisés où une prostituée peut vous raconter des contes pour enfants…
    Le film est centré sur les personnages incarnés par Ursula Andress, une chasseuse américaine (neuf victoires au compteur) et Marcello Mastroianni, la proie italienne (six victoires). Afin de maximiser leurs gains, chacun va signer un contrat publicitaire. Des moyens énormes sont en jeu pour mettre en scène la mort du perdant. On peut y voir une dérive de la téléréalité. Vers la fin, les meurtres filmés au milieu d’un spot publicitaire pour une marque de thé valent le détour. On quitte l’anticipation avec la relation amoureuse entre les deux acteurs. Car le film est aussi une comédie romantique italienne dans la pure tradition. J’avoue que le mélange est assez perturbant. Pour conclure, je dirais que cet OVNI cinématographique est à voir au moins par curiosité. A mon avis, de par sa profondeur et son originalité, il marque plus les esprits que les films cités plus haut, souvent calibrés pour satisfaire le plus grand nombre. Voilà une œuvre dont je ne suis pas prêt d’oublier malgré mon scepticisme du départ.
    Plume231
    Plume231

    3 887 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 avril 2013
    Une comédie d'anticipation (enfin plus une comédie car le seul sujet qui par rapport à aujourd'hui apparaisse vraiment traiter avec pertinence c'est celui de l'omniprésence de la publicité et il est à peine évoqué ; bien que l'on peut penser, phénomène qui a et aura une fâcheuse tendance à s'accentuer avec Internet, qu'il aborde aussi la banalisation inquiétante de la vie humaine mais là c'est trop contrôlé dans l'histoire pour être prémonitoire !!!) distrayante grâce au duo de charme formé par Marcello Mastroianni et Ursula Andress et à un cachet très sixties dans la mise en scène mais qui souffre considérablement d'un manque flagrant de rythme et d'un scénario qui s'étire parfois trop en longueur.
    AMCHI
    AMCHI

    5 804 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2013
    Comme pour Le Prix du danger de Boisset Elio Petri adapte une nouvelle de Robert Sheckley qui montre aussi une société futuriste peu éloignée de la nôtre ou la mort est un jeu. Petri appuie trop sur la farce et le côté satirique de l'histoire et oublie le côté suspense d'une telle histoire d'ailleurs le propos dénonciateur d'une future société sans aucun respect pour la vie humaine s'en trouve diminué de plus La Dixième victime souffre souvent d'un manque de rythme. Ce film vaut pour son côté kitch et sixtie mais surtout pour le jeu des acteurs avec un Mastroianni teint en blond toujours majestueux et Ursula Andress sexy qui trouve ici un rôle plus intéressant et développé que dans la plupart de ses autres films.
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