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Les films convaincants sur l'adolescence et ses zones grises sont des exceptions ; en l'occurrence, Langue étrangère fait figure de très belle exception.
Claire Burger réussit avec classe son retour à la réalisation, confirmant son statut d’autrice à suivre de près. Les deux jeunes interprètes sont des révélations.
Séduction, fantasmes et complicité adolescente constituent des moments sensibles et désinhibés que les deux jeunes comédiennes incarnent avec incandescence. L'homosexualité n'est plus un sujet, tandis que le scénario, qui en sonde les mécanismes amoureux, explore aussi les différents degrés d'engagement politique de la jeunesse d'aujourd'hui.
C'est beaucoup et peut-être un peu trop. Certes, la grâce des deux actrices, Lilith Grasmug et Josefa Heinsius, gomme en partie ce trop-plein. Mais ce film sur une jeunesse qui ne veut pas réitérer les erreurs de ses aînés, désire s'affranchir des contraintes et s'angoisse pour la planète abîmée par leurs parents n'en demeure pas moins le portrait attachant et bancal d'une génération sensible, amoureuse, forte et fragile.
Si « Langue étrangère » est un film de frontières, celle qui sépare le vrai du faux est ici comme gommée par la puissance de leurs sourires, la justesse de leurs regards, la finesse de leurs émois.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Claire Burger chronique avec une grande sensibilité la naissance de cette amitié amoureuse qui doit surmonter plusieurs frontières pour aller à la rencontre de l’autre. Mais le balancement entre les deux pays n’est pas que métaphorique pour la réalisatrice, qui embrasse dans un même mouvement les problématiques actuelles de la jeunesse européenne (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Claire Burger donne le visage d’adolescentes au fameux couple franco-allemand. Chargé de toutes les thématiques contemporaines, le film vibre tout de même, au diapason de ses deux héroïnes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le film livre un récit vif et percutant, même si le scénario, coécrit avec Léa Mysius, charge un peu trop la barque du côté des « darons » et de leurs déboires conjugaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
« Langue étrangère » est un film bien réalisé, bien écrit, bien joué, tellement juste et subtil qu’il ressemble beaucoup à la vie… Un peu trop ? Tout en effleurant de nombreux sujets, ce long métrage très contemporain manque un peu d’enjeux ou de colonne vertébrale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
En laissant les deux adolescentes s’aimer à tâtons, le film déjoue le cliché du coup de foudre juvénile et s’adapte intelligemment aux rythmes et aux doutes qu’impliquent la naissance d’un amour lesbien pendant l’adolescence.
En liant ainsi vie intime et naissance d’un esprit engagé, Langue étrangère entend brosser un portrait de la jeunesse actuelle, éveillée aux luttes passées et présentes. Le film n’y parvient pourtant pas tout à fait : plutôt que d’articuler ces dimensions plus en profondeur, la mise en scène aspire constamment à dégager une certaine tendresse, qui s’avère à double tranchant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le penchant politique du film et de la construction des jeunes filles agit comme une loupe grossissante de la réalité, contribuant à une fascination sociétale démesurée pour les groupuscules d’extrême gauche, éloignée et fictive, à l’image de cette « sœur » qu’elles recherchent en manifestation. Une chimère au carré donc… qui achève de faire du mensonge la véritable « langue étrangère » de ce film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Échanges culturels, révolte adolescente et éveil à la politique sont au cœur de cette chronique pleine de vie, portée par deux jeunes comédiennes épatantes.
Dommage que le programme psychologique entrave ici la porosité entre les échelles familiale et européenne qui aurait pu donner à ce coming of age une portée allégorique.
Les Echos
Un des plus beaux films de la rentrée.
Marianne
Les films convaincants sur l'adolescence et ses zones grises sont des exceptions ; en l'occurrence, Langue étrangère fait figure de très belle exception.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un réalisme brut, politique, épaissit la sensibilité des personnages, leurs espoirs et leurs désirs.
Le Dauphiné Libéré
La compositrice Rebecca Warrior donne une dimension néopunk à ce récit d’apprentissage lesbien, d’amitié et d’amour.
Les Fiches du Cinéma
Claire Burger réussit avec classe son retour à la réalisation, confirmant son statut d’autrice à suivre de près. Les deux jeunes interprètes sont des révélations.
Positif
Séduction, fantasmes et complicité adolescente constituent des moments sensibles et désinhibés que les deux jeunes comédiennes incarnent avec incandescence. L'homosexualité n'est plus un sujet, tandis que le scénario, qui en sonde les mécanismes amoureux, explore aussi les différents degrés d'engagement politique de la jeunesse d'aujourd'hui.
L'Humanité
C'est beaucoup et peut-être un peu trop. Certes, la grâce des deux actrices, Lilith Grasmug et Josefa Heinsius, gomme en partie ce trop-plein. Mais ce film sur une jeunesse qui ne veut pas réitérer les erreurs de ses aînés, désire s'affranchir des contraintes et s'angoisse pour la planète abîmée par leurs parents n'en demeure pas moins le portrait attachant et bancal d'une génération sensible, amoureuse, forte et fragile.
L'Obs
Si « Langue étrangère » est un film de frontières, celle qui sépare le vrai du faux est ici comme gommée par la puissance de leurs sourires, la justesse de leurs regards, la finesse de leurs émois.
La Croix
Claire Burger chronique avec une grande sensibilité la naissance de cette amitié amoureuse qui doit surmonter plusieurs frontières pour aller à la rencontre de l’autre. Mais le balancement entre les deux pays n’est pas que métaphorique pour la réalisatrice, qui embrasse dans un même mouvement les problématiques actuelles de la jeunesse européenne (...).
La Voix du Nord
Claire Burger donne le visage d’adolescentes au fameux couple franco-allemand. Chargé de toutes les thématiques contemporaines, le film vibre tout de même, au diapason de ses deux héroïnes.
Le Monde
Le film livre un récit vif et percutant, même si le scénario, coécrit avec Léa Mysius, charge un peu trop la barque du côté des « darons » et de leurs déboires conjugaux.
Le Parisien
« Langue étrangère » est un film bien réalisé, bien écrit, bien joué, tellement juste et subtil qu’il ressemble beaucoup à la vie… Un peu trop ? Tout en effleurant de nombreux sujets, ce long métrage très contemporain manque un peu d’enjeux ou de colonne vertébrale.
Les Inrockuptibles
En laissant les deux adolescentes s’aimer à tâtons, le film déjoue le cliché du coup de foudre juvénile et s’adapte intelligemment aux rythmes et aux doutes qu’impliquent la naissance d’un amour lesbien pendant l’adolescence.
Libération
En liant ainsi vie intime et naissance d’un esprit engagé, Langue étrangère entend brosser un portrait de la jeunesse actuelle, éveillée aux luttes passées et présentes. Le film n’y parvient pourtant pas tout à fait : plutôt que d’articuler ces dimensions plus en profondeur, la mise en scène aspire constamment à dégager une certaine tendresse, qui s’avère à double tranchant.
Ouest France
Un film à l'écriture ciselée où brille Lilith Grasmug.
Première
Le penchant politique du film et de la construction des jeunes filles agit comme une loupe grossissante de la réalité, contribuant à une fascination sociétale démesurée pour les groupuscules d’extrême gauche, éloignée et fictive, à l’image de cette « sœur » qu’elles recherchent en manifestation. Une chimère au carré donc… qui achève de faire du mensonge la véritable « langue étrangère » de ce film.
Télé Loisirs
Échanges culturels, révolte adolescente et éveil à la politique sont au cœur de cette chronique pleine de vie, portée par deux jeunes comédiennes épatantes.
Télérama
Un portrait séduisant de la jeunesse européenne.
Cahiers du Cinéma
Dommage que le programme psychologique entrave ici la porosité entre les échelles familiale et européenne qui aurait pu donner à ce coming of age une portée allégorique.
aVoir-aLire.com
Deux familles, deux névroses, deux adolescentes qui se cherchent un chemin et sans doute trop de longueurs pour faire un film convaincant.