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Zbrah
45 abonnés
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4,0
Publiée le 3 mai 2014
En 2004 débarque en France Big Fish, le nouveau bébé de Tim Burton, adapté d'un roman. Différent des habituelles fables macabres, ce projet burtonnien suscite la curiosité. Le réalisateur livre un bijou d'inventivité, un projet unique et différent. Comme d'habitude, la partie graphique est un élément majeur. Le film est visuellement magnifique et très coloré. Il s'en dégage une sorte de poésie. Comme le héros de cette histoire, le spectateur écoute avec attention le conte que l'on lui narre : l'épopée d'un homme privilégiant ses tendres rêves à la morne réalité. Qui est vraiment Edward Bloom ? L'homme à qui il est réellement arrivé toutes ces folles aventures, ou juste un mythomane embellissant son existence ? Au fur et à mesure de son avancement, le protagoniste va de rencontres en rencontres. Il y a évidemment sa femme, dont la rencontre donne lieu à l'une des plus belles scènes du film, mais également la délirante population de la ville de Spectre. Cette étrange ville est une espèce d'utopie, où chacun vit heureux et épanoui. L'apparition de Steeve Buscemi, quoique trop courte, est remarquable. La scène du braquage, où on le retrouve est, quant à elle, mythique ! L'une des plus drôles du film. Big Fish n'est cependant pas qu'une comédie sans âme. Sans le spoiler, je dirais simplement que le final est beau. Beau et émouvant. Le rêve n'est-il pas une magnifique façon d'embellir le réel ?
Sans conteste le film le plus personnel de Tim Burton, ce Big Fish est une fable aussi belle et onirique qu'émouvante sur la puissance de l'imaginaire.
Ewan McGregor incarne à merveille ce jeune homme rêveur; héros fantasmé par son soi futur incarné par le magnifique Albert Finney. Dans ce parcours initiatique qui est avant tout celui d'un fils cherchant à savoir qui est réellement ce père qui a passé sa vie à raconter des histoires, on s'émeut autant qu'on s'amuse. Toutefois il arrive qu'à certains moment on trouve le temps un poil long... mais ceux ci sont rares et leur présence ne suffit pas à nous gâcher cette oeuvre qui se conclue par un final de toute beauté.
Quelle déception ! première fois que je m'ennuie à un film de tim burton, j'avais pourtant envie de rentrer dedans, mais à part une certaine poésie à quelques moments, des beaux paysages, c'est plat, décousu ettrès inégal . dommage .
Une déception car non seulement l'histoire est peu intéressante, mais les efforts du réalisateur pour la transcender fonctionnent mal. C'est pleurnichard, ça insiste lourdement sur le moralement correct (c'est quoi cette fable de homme qui refuse l'adultère ? On sait que la fidélité n'est qu'un manque d'occasion, or l'occasion il l'avait ! L'argument évoqué "Il n'aimera jamais qu'une seule femme" n'étant que de la propagande moraliste.) Ajoutons quelques mauvaise idées (le géant) et la prestation tête à claque de Marion Cotillard ! Que sauver ? Pas grand chose : peut-être la séquence chinoise, la sirène fugitive et l'excellent prestation de Helena Bonham Carter. Ça ne fait pas le compte.
Rien que pour les trentes derniéres minutes de ce film je met aucune étoile!!!Trentes derniéres minutes insoutenable,aussi longue et ennuyeuseque que la fin d'A.I de spielberg,où le film tombe dans un espèce de machin dégoulinant de gros sentiments,de mélodrame où le réel et le fictif se croisent.Ne sourtout pas allez voir ce film mais tout les autres de Burton,des vrais chef d'oeuvre!!!
Encore un de ces films surestimé parce qu'il est réalisé par Tim burton, comme si son nom seul suffisait à convaincre un public bourré de certitudes... Oui oui, c'est sûrement ça... Le mouton de Panurge..., on le retrouve beaucoup dans le cinéma... Ce film est grotesque... J'ai vu de bien meilleurs films dignes de l'onirisme... Andrew Adamson mériterait largement une réputation comme celle de Burton, elle serait au moins à la hauteur de son talent. Combien vont aller voir sur google qui est Andrew Adamson...? Désolant...
Ce film m'a laissé perplexe. Burton m'avait habitué à mieux. La poésie que l'on retrouve dans la majeure de ses films est bien présente, mais possède ici une douceur mièvre à laquelle je n'ai pas accroché. Une déception.
Big Fish représente un ensemble de mini contes et histoires racontés par Edward Bloom (Albert Finney) et vécus par Edward Bloom jeune (Ewan McGregor). Un bon divertissement avec de nombreux personnages diversifiés et lieux variés et utopiques. Il y a de très belles histoires et des passages amusants en quantité. J'ai bien aimé la romance naïve. La fiancé qui rayonne d'une lumière blanchâtre et l'amoureux qui sourit tout le temps. Le film m'a un peu fait penser à "Forrest Gump", mais en plus fantastique, compte-tenu des personnages et de l'univers. C'est vraiment bien sans être ennuyeux.
"Big Fish" est un film de Tim Burton, qui retrouve ici un peu la verve de "Edward aux mains d'argent". Le film, mêlant réalité et rêve, narre la vie d'un vieil homme et son passé rêvé. La musique de Danny Elfman est particulièrement touchante, elle fonctionne vraiment avec le final du film, qui décrochera probablement plusieurs larmes de ses spectateurs. Malgré cela, le reste de l'œuvre n'est pas toujours très réussi, puisque le rêve et la réalité semblent parfois bien trop incompatibles. Par exemple, la différence physique entre Ewan McGregor et Albert Finney est parfois gênante. On note tout de même que les séquences appartenant à l'imaginaire sont certainement bien plus abouties que celles appartenant au réel. A l'arrivée, la qualité globale de "Big Fish" est un peu discutable, mais ce sont aussi les défauts de ce film qui le rendent charmants, avec des décors volontairement superficiels, et des personnages très caricaturaux. On garde un bon souvenir de ce film de Tim Burton.
Raconter des histoires fantastiques pour enjôler le réel. C'est sur ce vaste et universel sujet que Tim Burton réalise sa fable. Métaphore de son amour pour le cinéma le réalisateur est à la place du père. De ce compteur d'histoires. La relation père fils est finement exploitée, le film ne tombe pas dans le sentimentaliste mais garde le cap dans les histoires racontées, avec des personnages divers et attachants comme Monsieur Burton sait si bien le faire.
Je ne suis pas fan de son style ( trop farfelu et macabre à mon gout ) mais je dois reconnaître que Big fish est réussi grâce à l'universalité de son sujet et l'équilibre de son scénario entre le fantasque imaginaire et le réalisme dramatique. Une oeuvre maîtrisée.
" Big Fish " : Un joli film d'Aventure réalisé de belle manière par Tim Burton. Sur de belles images, le maitre du genre nous délivre un conte fantastique avec quelques rares effets visuels et un final émouvant. Un rythme un peu mièvre pour cette histoire délirante avec un gros poisson, un géant, une sorcière ... Cette réalisation bénéficie d'un casting de classe avec la belle et prestigieuse Jessica Lange et Ewan McGregor dans le rôle principal du jeune Edward. Les rôles annexes sont aussi parfaitement assurés par Helena Bonham Carter (la sorcière), la très belle Alison Lohman, Steve Buscemi dans le rôle du poète "braqueur", le belle présence de Marion Cotillard et en Gest, Danny DeVito dans le rôle de Mr Loyal du cirque.