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    Entre la vie et la mort
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    3,0
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    85 critiques spectateurs

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    Corbett
    Corbett

    30 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Super polar, hyper efficace, avec un casting 5 étoiles dont le fantastiques Antonio de la Torre, l'acteur fétiche de Rodrigo Sorrogoyen qui jouait dans les chefs d'oeuvre QUE DIOS NOS PERDONE et EL REINO (on attend d'ailleurs avec impatience le nouveau film ce de rél, AS BESTAS qui a l'air dingue !). ça fait du bien des thrillers de ce niveau en France !!
    Maud Armelle
    Maud Armelle

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juin 2022
    Le film ne vaut que par la photographie, et De La Torre; sinon " oubliez les références pompeuses à Melville ( le réa se la raconte ) les références hyper prétentieuses à Gray "; le scénario est confus et après avoir nourri quelque espoir retombe comme un soufflet. Question " action" rien ne vous surprendra; on est à des milliers d années lumières d un" taken" ( qui pourtant n est pas un chef d œuvre) question " finesse ou étude psychologique " : oubliez les qualificatifs "finesse et étude". Vous serez content , un soir d insomnie de regarder sur m6 à 3h du matin ce produit " je me la joue série noir passe partout"; j ai vu ce que ce réa ( inconnu) avait déjà fait : le film "samouraïs" , soit un des plus gros navets de l histoire du cinéma . Même si il s est amélioré depuis (était pas difficile me direz-vous) , on reste dans la culture du navet;le film " entre la vie et la mort (d ennuie )est et restera un film pompeux qui , comme moi , vous fera regretter d avoir perdu de l argent et du temps à vous être déplacé en salle .
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    72 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Bruxelles comme on l'a rarement vue, un acteur principal très bien (mais sans charisme non plus) et un début intrigant. Et puis c'est tout... J'ai dû trop attendre de ce film qui sent la coprod' internationale à l'ancienne. Y a Gourmet pour le financement belge, en service minimum, Vacth qui donne ce qu'elle peut, c'est à dire pas grand chose. Tout ça dans une histoire vraiment pas passionnante et assez mal ficelée.
    Justine C
    Justine C

    34 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    un super thriller avec un casting génial! un plaisir de retrouver Antonio De La Torre que j'avais adoré chez Sorogoyen ces dernières années!
    Romain P
    Romain P

    28 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Un polar au cordeau, ultra bien ficelé et maitrisé. Un film tendu, qui ne souffre d'aucun temps mort. Ne le loupez pas !
    Alice L
    Alice L

    163 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    un thriller choc! porté par l'extraordinaire Antonio della Torre on est à fond dans le film du début à la fin
    Simon R
    Simon R

    52 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2022
    Un polar à l'ancienne : avec un casting international, une sombre histoire de vengeance et de la castagne.
    Un vrai bon moment, sans fioriture. On sait ce qu'on va voir, et on ressort avec un grand sourire benêt sur le visage : ça fait du bien !!!
    jean l.
    jean l.

    158 abonnés 230 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2022
    Super thriller qui a l’avantage énorme d’entraîner le plus grand acteur espagnol, découvert dans les films du génial Ridrigo Sorogoyen !!!!!antonio della Torre dont c’est le premier rôle dans une autre langue que l’espagnol
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    170 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2022
    Dans un film noir, il faut des personnages très incarnés Le polar est plus intéressant quand les personnages ne sont pas seulement des stéréotypes de flics et de gangsters. J’ai essayé de faire en sorte qu’ils ne soient pas réduits à une fonction mais qu’ils aient quelque chose à défendre Bruxelles est une ville à la fois très cinématographique et anglo-saxonne, avec des immeubles en briques, des quartiers abandonnés Giordano Gederlini a participé à l'écriture du scénario du film choc sur la banlieue Les Misérables de Ladj Ly Entre la vie et la mort, des clins d’œil au cinéma décomplexé des années 1980
    Dans le film, elle est à la fois dure et émouvante. Et elle a une voix de théâtre, une voix extrêmement présente, qui porte
    J’ai été marqué par Little Odessa de James Gray Le film était déjà bien construit au tournage ce qui nous a permis de prendre un peu de distance au montage et d’expérimenter un peu, de tenter des choses avec le hors champ un trés bon polar un film puissant
    Cinememories
    Cinememories

    479 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2022
    Près de 20 ans après son premier long « Samouraïs », Giordano Gederlini a souvent passé du temps à la co-scénarisation (L’Envahisseur, Tueurs, Duelles, Les Misérables). Mais c’est avec une intime conviction qu’il revient à la barre d’un projet bien bâti et suffisamment ambitieux, afin qu’il apporte un vent de fraîcheur, à l’ouverture du festival Reims Polar. Le cinéaste offre alors des moments de pur thriller dans la lignée du précieux « Taken », avant qu’il ne revienne sur une base plus académique, prouvant qu’il est encore en rodage. Sa première partie a beau ne pas laisser retomber la tension, il n’échappe pas à un auto-sabotage, là où l’écriture dévoile autant ses coutures que ses fissures. Son récit de vengeance a donc de quoi plaire, dans la mesure où il accepte de ne pas greffer des enjeux secondaires fantômes, qui ne font que tordre l’intrigue et saccader le rythme.

    Une balle se perd chez Leo Castaneda (Antonio de la Torre) et les drames s’enchaînent. C’est dans une double lecture du personnage et de la ville de Bruxelles qui l’a récemment accueilli que nous découvrons son passé, meurtri et habité par des larmes de sang. Le conducteur de métro n’aura évidemment plus rien de lambda dès qu’il s’agira de recoller les fragments d’une mémoire, qu’on aura habilement étouffée dans les premières minutes. Il est alors séduisant de se laisser balader « Entre la vie et la mort », en ramenant sur les rails un enfant perdu et en même temps loyal envers son paternel, tous deux éloignés depuis deux ans. Les visites impromptues et les quelques révélations flash donnent le ton et nous finissons par nous accrocher à des enjeux que le réalisateur ne semble pas savoir renouveler. Malgré quelques escales notamment dans la capitale belge, il ne restera que des os et si peu d’interrogations à se mettre sous la dent, une fois sorti de l’exposition.

    Une narration se superpose alors à la quête de vengeance, mais elle ne fait qu’effleurer le propos. L’enquêtrice Virginie (Marine Vacth) épouse davantage l’aspect embarrassant du récit au lieu d’investir son âme torturée. Les contradictions avec son père ne mènent nulle part et feignent de contraster avec l’échec du héros déchu. Ce sont autant de maladresses qui ne permettent pas à Leo de prendre l’ascendant dans le voyage qu’il entreprend. Et les rares instants où la tension est captée avec une grande sobriété, elle disparaît aussitôt dans un flot d’incohérences ou de désillusions. Difficile donc d’évaluer avec précision la relation père-fils, qui s’embourbe dans une chasse à l’homme, où les forces de l’ordre locales n’auront jamais un coup d’avance sur Leo et sa détermination. Pour eux, il ne s’agira que d’une longue filature, que le protagoniste prolongera dans des confrontations parfois maîtrisées, mais jamais transcendantes. Chaque coup qu’il renvoie détonne, sans pour autant heurter le spectateur actif et attentif, que l’on tente de persuader par surprise et non par la chirurgie de la mise en scène.

    Seul le segment du père nous interpelle, lui qui suffoque à l’idée de ne pas avoir pu offrir l’éternité à son fils. La seconde chance qu’on lui offre est brisée et il ne reste plus qu’à rempiler pour un ultime rodéo urbain, où les chantiers et autres structures empoisonnent la jeunesse triomphante. Tout n’est pas à jeter et voir l’interprète principal évoluer sur ce terrain inconfortable et réussir son ascension est déjà un luxe dont profite bien Gederlini. Et malgré le balisage du récit, ainsi que les caractérisations forcées des personnages secondaires, cette œuvre ne manque pas l’occasion de dégoupiller ses décharges d’adrénaline. Malheureusement, aucune chance pour qu’on en traîne des séquelles une fois sorti de la salle.
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