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Sukholytkyy-Sobchuk étire ses plans, passant d’une beauté agitée à une jubilation espiègle. On retrouve une filiation avec un certain cinéma yougoslave, et même russe. Au final, une dynamique émotionnelle transcendée par une réalité sociale et politique. De quoi écorcher les âmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Pamfir est un film de genres qui mêle avec habileté mais sans aucun artifice les décors de l’Europe de l’Est et les codes du western, le folklore à la tragédie, le mythologique au politique, le film noir et la comédie. [...] Le cinéaste passe d’un genre à l’autre, non pour faire une démonstration de virtuosité, mais pour servir la dramaturgie de ce film à la fois limpide et puissant.
Hanté par le tragique mais sans cesse secoué par sa vitalité, « Le serment de Pamfir » a l’ampleur d’un récit biblique qui se métamorphoserait en polar. Le chaos n’est jamais loin et la trajectoire maudite, dont le magnifique Pamfir cherche à se défaire à toute force, est implacable.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Tourné avant l’offensive russe de février 2022, Le serment de Pamfir montre une Ukraine universelle hantée de personnages symboliques et complexes, signant la naissance d’un grand cinéaste.
Avec ce thriller bestial au récit haletant, l'Ukrainien suit les traces de son compatriote Valentyn Vasyanovych à travers une mise en scène d'une virtuosité impressionnante, d'autant plus pour un premier film.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Entre western poisseux et polar du dernier coup, ce remarquable film confère au genre la grandeur d’une mythologie politique qui regarde à l’est se lever l’apocalypse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sans jamais tomber dans l’esthétisation vaine, Sukholytkyy-Sobchuk parsème le film de tableaux aux frontières du réel (la fuite des contrebandiers dans la forêt, l’arrivée au carnaval, le salon insensé du garde-forestier), dévoilant un théâtre hostile et sauvage, tout en bois, boue et brume.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le film se distingue également par une puissante utilisation des différentes cultures folkloriques slaves jusqu’à atteindre son sommet : une impressionnante traque au cœur d’une fête folklorique où les déguisements de paille et les masques s’agitent au milieu des fumigènes et du feu d’artifice.
Cette rigueur d’écriture et de réalisation permet au récit d’évoluer entre plusieurs genres (thriller, comédie absurde, action voire folk horror) sans jamais se perdre et nous perdre, et de maintenir intact jusque dans sa dernière ligne droite un suspense prenant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Son objet serait plutôt métaphysique (le mal, le mal, toujours recommencé...) si le cinéaste ne semblait surtout soucieux de montrer ses muscles. (...) Sans doute faudra-t-il un jour interroger le rapport entre le mythe de la virilité et cette vaine passion pour les tours de force techniques (voir tout récemment Romain Gavras).
L'Humanité
Sukholytkyy-Sobchuk étire ses plans, passant d’une beauté agitée à une jubilation espiègle. On retrouve une filiation avec un certain cinéma yougoslave, et même russe. Au final, une dynamique émotionnelle transcendée par une réalité sociale et politique. De quoi écorcher les âmes.
Positif
Pamfir est un film de genres qui mêle avec habileté mais sans aucun artifice les décors de l’Europe de l’Est et les codes du western, le folklore à la tragédie, le mythologique au politique, le film noir et la comédie. [...] Le cinéaste passe d’un genre à l’autre, non pour faire une démonstration de virtuosité, mais pour servir la dramaturgie de ce film à la fois limpide et puissant.
Sud Ouest
Hanté par le tragique mais sans cesse secoué par sa vitalité, « Le serment de Pamfir » a l’ampleur d’un récit biblique qui se métamorphoserait en polar. Le chaos n’est jamais loin et la trajectoire maudite, dont le magnifique Pamfir cherche à se défaire à toute force, est implacable.
Transfuge
Tourné avant l’offensive russe de février 2022, Le serment de Pamfir montre une Ukraine universelle hantée de personnages symboliques et complexes, signant la naissance d’un grand cinéaste.
Ecran Large
Avec ce thriller bestial au récit haletant, l'Ukrainien suit les traces de son compatriote Valentyn Vasyanovych à travers une mise en scène d'une virtuosité impressionnante, d'autant plus pour un premier film.
La Croix
Découvert à Cannes, ce premier film à mi-chemin entre le polar et la tragédie antique est une splendeur visuelle.
Le Figaro
Un premier long-métrage impressionnant, entre western et film noir.
Le Monde
Entre western poisseux et polar du dernier coup, ce remarquable film confère au genre la grandeur d’une mythologie politique qui regarde à l’est se lever l’apocalypse.
Les Echos
A 39 ans, Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk, signe un premier long-métrage puissant sur fond de contrebande entre l'Ukraine et la Roumanie. Une révélation.
Les Fiches du Cinéma
Ce remarquable premier film séduit par sa mise en scène virtuose et la performance incandescente de son interprète principal.
Libération
Sans jamais tomber dans l’esthétisation vaine, Sukholytkyy-Sobchuk parsème le film de tableaux aux frontières du réel (la fuite des contrebandiers dans la forêt, l’arrivée au carnaval, le salon insensé du garde-forestier), dévoilant un théâtre hostile et sauvage, tout en bois, boue et brume.
Ouest France
Un cinéaste majeur est né.
Paris Match
Un premier film d’une grande maîtrise.
Télérama
Oleksandr Yatsentyuk, l’acteur principal, offre à ce Serment un jeu incroyable, à la fois naturaliste et incantatoire.
CinemaTeaser
Une démonstration de force.
L'Obs
On a du mal, au début, à reconstituer le puzzle, mais, peu à peu, tout se met en place avec précision.
Les Inrockuptibles
Le film se distingue également par une puissante utilisation des différentes cultures folkloriques slaves jusqu’à atteindre son sommet : une impressionnante traque au cœur d’une fête folklorique où les déguisements de paille et les masques s’agitent au milieu des fumigènes et du feu d’artifice.
Première
Cette rigueur d’écriture et de réalisation permet au récit d’évoluer entre plusieurs genres (thriller, comédie absurde, action voire folk horror) sans jamais se perdre et nous perdre, et de maintenir intact jusque dans sa dernière ligne droite un suspense prenant.
aVoir-aLire.com
Ce premier long métrage franco-ukrainien frappe par sa puissance narrative et son habileté à mélanger les genres.
Cahiers du Cinéma
Son objet serait plutôt métaphysique (le mal, le mal, toujours recommencé...) si le cinéaste ne semblait surtout soucieux de montrer ses muscles. (...) Sans doute faudra-t-il un jour interroger le rapport entre le mythe de la virilité et cette vaine passion pour les tours de force techniques (voir tout récemment Romain Gavras).