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Jerem69tt
105 abonnés
1 679 critiques
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1,5
Publiée le 4 février 2021
Ce film est assurément voulu par les chinois pour attirer un public occidental. Malheureusement il est un peu gentillet, pas toujours sérieux et crédible, autant dans les choix et dialogues des personnages que les acteurs eux-mêmes qui ont surtout l’air de bien s’amuser. Un film qui s’oubliera très vite même pour un public assez jeune qui pourra peut être apprécier.
Un film de fantasy assez basique mais sympathique. Il est peu ambitieux dans sa façon de reprendre tous les codes du genre et de ne jamais faire sortir les personnages des stéréotypes mais le spectacle est généreux et amusant. Une tentative, plus ou moins adroite, pour le cinéma chinois de toucher un large public international.
Vu que ‘Double world’ est à l’origine l’équivalent chinois de ‘World of Warcraft’, il est logique qu’il soit à son tour porté à l’écran de la même façon que l’adaptation du jeu Blizzard par Duncan Jones : ‘Double world’ est un Wu xia pan flamboyant tiré d’un MMORPG, qui se déroule dans une Chine Fantasy et fantasmée, où les Royaumes combattants cohabitent avec des sorcières et des dragons. C’est sans doute inévitable mais le résultat souffre de toutes les tares habituelles du film à grand spectacle chinois mais, et c’est là qu’est la surprise, il en souffre plutôt moins que les autres : il dégouline de CGI mais la plupart du temps, ces effets numériques sont à la hauteur de ce qu’on peut attendre d’un blockbuster d’aujourd’hui. On y retrouve les mêmes clichés et les mêmes secrets cousus de fil blanc mais avec davantage de retenue que dans les autres films du même genre, et on déniche même quelques effets gores plutôt inhabituels dans ce genre de productions. Il y a surtout que le rythme général du film est proche des normes du cinéma aux visées mondialisantes, sans s’éparpiller en considérations sentimentales et politiques qui ne parlent pas à grand monde en dehors des frontières l’Empire du milieu : ‘Double world’ est une succession de séquences tonitruantes entrecoupées de tunnels de dialogues et d’évolutions narratives qui filent généralement droit à l’essentiel. On gagne donc en efficacité ce qu’on perd en grâce et en poésie, comme ce fut le cas, toutes proportions gardées, avec ‘Tigre et Dragon’, l’avalanche numérique en plus. De quoi irriter les amoureux du cinéma chinois ou même hongkongais d’autrefois...mais aussi de quoi faire passer la pilule chez tous les autres, qui auront l’opportunité de savourer une sorte de mini Seigneur des Anneaux avec des pagodes, divertissant et vite oublié.
4 568 abonnés
18 103 critiques
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1,0
Publiée le 9 décembre 2020
Il est évident qu'ils dépensent beaucoup plus d'argent pour les costumes et les images de synthèse. Je plains toute la troupe surtout les acteurs et les actrices qui essayaient juste d'améliorer l'histoire mais si vous vous intéressez à la façon dont on peut perdre deux heures c'est absolument ca que vous devez essayer avec des lésions cérébrales garanties. J'ai essayé d'avancer rapidement devant le méchant qui tourmentait la petite fille et j'ai réalisé que cela durait ce qui devait être 10 minutes ou quelque chose comme ça. Je n'ai pas pu me résoudre à finir le film car je me suis rendu compte que je me fichais du temps qu'ils perdaient à filmer tous cela. Pour être juste je me suis attaché aux trois personnages principaux. Je suppose que c'est de ma faute. Je ne sais pas quel genre de personnes aiment les histoires où leurs personnages préférés sont lentement torturés à mort à l'écran. Double World n'est pas amusant sauf si vous aimez la misère...
Un film classique d'action chinoise, avec des cascades et des combats de pirouette allant partout. Certaines créatures sont tour de même plaisante à voir, et l'on se laisse facilement emporter par le voyage et l'histoire racontée. Bref, un film très correct.
Une quête initiatique à plusieurs personnages, de l'action, des monstres, un peu d'humour et beaucoup de fraîcheur, tels sont les ingrédients de ce film d'action assez original qui n'est pas sans rappeler l'univers arthurien, le Graal en moins.
Trois anti-héros, un bâtard, un déserteur et une fillette se retrouvent embarqués dans une série d'épreuves tandis que la menace gronde en provenance du nord. Les scènes d'action sont parfois un rien confuses mais esthétiquement réussies et les effets spéciaux sont parfaits.
Un film à grand spectacle qui fait réfléchir sur le sens des actes nobles et du sacrifice.
C'est un conte classique de bravoure et d'héroïsme, avec une touche orientale. « Dong YiLong » (Henry Lau) et sa bande qui affrontent dix autres guerriers dans un concours mortel de compétences et de stratégie, organisé par un seigneur de guerre voisin aux intentions cachées. En tant que film d'aventure fantastique, il coche toutes les cases : un héros séduisant, des créatures mythiques, des combats à l'épée et des arts martiaux avant une fin prévisible. Ne vous attendez pas à quelque chose de très sophistiqué : les effets spéciaux semblent sortir tout droit d'un jeu vidéo et les dialogues sont minimalistes, mais les scènes d'action rachètent quelque peu le film. Pour deux heures de divertissement sans prise de tête, c'est plutôt réussi. Cependant, le film a ses défauts, notamment des trous dans l'intrigue et une fin qui peut sembler précipitée, mais il reste divertissant. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).