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Gentilbordelais
316 abonnés
2 974 critiques
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2,0
Publiée le 23 juin 2022
Un synopsis qui surfe sur l'écart des générations et qui n'échappe donc pas à bon nombre de représentations. Son traitement met du temps à passer la vitesse supérieure, sans toujours faire dans la subtilité et jouant sur certaines facilités, notamment émotionnelles. Un divertissement prévisible et inoffensif.
C'est sans trop s'avancer qu'on peut dire qu'on tient sûrement le meilleur rôle de Kev Adams jusqu'à présent, aillant également participé à l'écriture du scénario. Le film fonctionne plutôt bien car il n'en fait pas des caisses, que ce soit dans les dialogues ou les situations comiques. Ensuite le casting est tout de même de qualité, normal donc que Kev adams soit tiré vers le haut lorsque l'on donne la réplique à Depardieu où Prevost .Pas non plus un chef-d'oeuvre car malgré tout il reste quelques points noir comme ce pseudos gangsters qui lui par contre en fait des tonnes ainsi que ce moment de résolution avec le bus très niais, mais globalement sa se laisse suivre.
Bon moment que ces 2h en salle. C'est plein de bons sentiments et d'idées et les acteurs sont excellents. La sortie tombe au bon moment compte tenu du scandale des maisons de retraite. Il vient enfoncer le clou. L'idée trouvée pas K.A 'n'est pas bête, mais chut! Pas de spoil...
Un film à la fois drôle et touchant, avec un bon scénario (qui a fait écho au scandale de la maltraitance dans les EHPAD). Sans oublié le casting qui est réussi.
Une bonne petite comédie française avec un Kev adams touchant dans son rôle de jeune sans avenir qui évolue grâce à des pensionnaires attachants dont on retrouve en autre gerard depardieu.
Une comédie somme toute classique dans sa réalisation, sa mise en scène mais malgré tout un film qui se regarde sans difficulté. Il y a de l'humour et aussi un sujet de film intéressant et différent de ce que l'on voit habituellement. Le casting est sympathique dans son ensemble et c'est plutôt une réussite.
Rempli de bons sentiments et assez éloigné de la réalité des Ehpad, cette maison de retraite ressemble plus à une résidence sénior qu'à un logement pour personnes en fin de vie. En occultant ce fait, on apprécie la bonhomie de ses acteurs vieillissants et la sympathie du feu follet Kev Adams. L'histoire est prévisible mais ce scénario simple a pour but d'offrir une histoire basique et plaisante à suivre pour toutes les générations.
Maison De Retraite propose un curieux mélange d'humour et de sérieux. Le film dénonce en effet la maltraitance sur les personnes âgées, mais sans gravité, sur un ton léger. Pourtant le sujet est d'importance et concerne de plus en plus de personnes, avec l'augmentation de l'espérance de vie et l'arrivée dans le grand âge de la génération du baby boom. Génération représentée ici par Gérard Depardieu, les autres pensionnaires étant incarnés par des acteurs nés dans les années 1930. Kev Adams incarne avec talent un jeune paumé qui trouve enfin sa raison d'être en s'isolant auprès des pensionnaires dont il est condamné à s'occuper. Au passage, une condamnation bien plus utile qu'une peine de prison. Il y découvre le théâtre et en particulier Le Malade Imaginaire, dans lequel Molière dénonçait déjà la médecine au XVIe siècle : "Dans la maladie tout le monde a recourt au médecin. C'est la marque de la faiblesse humaine et non pas de la vérité de leur art." Les médecins apprécieront et, soyons fous, se remettront en question. La complicité entre les générations transparaît au fil du film, dont la conclusion reprend Groucho Marx : "Dans chaque vieux il y a un jeune qui se demande ce qu'il s'est passé." Une belle comédie qui donne à réfléchir sur le traitement du grand âge par nos sociétés modernes.
Surement de bonne foi, Kev Adams et Thomas Gilou surfe sur le problème de la vieillesse sur fond de récent scandale sur les EHPAD. Cherchant à la foi à faire rire et à émouvoir, le film échoue globalement sur les 2 tableaux. Malgré quelques bonnes idées pas vraiment exploitées jusqu'au bout, le film souffre aussi d'une mise en scène sans rythme. reste un casting sympathique et des acteurs seniors qui tirent malgré tout leur épingle du jeu.
Une heureuse surprise ! Cette comédie dans une maison de retraite fait à la fois rire et réfléchir, car tournée avant le scandale des ehpad. La troupe d’acteurs « monstres sacrés » s’en donnent à coeur joie, et moi qui n’apprécie guère habituellement Kev Adams, je l’ai trouvé ici sobre et naturel. Défaut principal du film, une mise en route laborieuse occupant 1/3 du temps, ensuite, on s’amuse beaucoup. Il y a même une réelle émotion en fin de film. A voir.
C’est une sympathique comédie qui met en avant une belle brochette d’acteurs et d’actrices. On ne s’ennuie pas dans cette maison de retraite où tout ne se passera pas comme prévu et où les situations font réfléchir au-delà de la loufoquerie des personnages et des scènes farfelues. Le message sur la richesse de la communication entre les générations tape dan le mille.
Si vous n'avez pas envie de vous prendre la tête et de passer un bon petit moment "Maison de retraite" pourrait vous plaire. Ce n'est certes pas la comédie de la décennie, mais c'est frais, parfois amusant, parfois touchant. Un casting "old generation" qui ravive des souvenirs: (excepté Kev Adams qui sois dit en passant n'est pour un fois pas énervant) : Gérard Depardieu, Daniel Prévost, Jean-Luc Bideau, Marthe Villalonga, Mylène Demongeot. Verdict : sympathique !
Un film distrayant. Kev Adams est supportable (une fois n'est pas coutume) et la galerie de petits vieux et petites vieilles de la maison de retraite assurent. Un bon moment donc qui ne se veut pas réaliste. C'est Disneyworld à l'EHPAD.
Il y a un capital sympathie évident à ce "Maison de Retraite" qui lui évite de justesse la critique à boulets rouges. Par son casting plus que plaisant de "retraités" du show-business français, plus en forme que jamais, il y a un certain plaisir à les voir cabotiner, G.Depardieu en tête. A leurs côtés, un K.Adams, acteur-producteur, ici sobre et honnête, porte son sujet avec une intention louable et sincère. Maintenant, entre la volonté de bien-faire, et le résultat à l'écran, il n'y a qu'un pas que la gentillesse seule ne peut pas combler. En s'attaquant au sujet lourd de la maltraitance dans les EPHAD, cette comédie bien trop légère édulcore le sujet qu'elle souhaiterait dénoncer, n'ayant suffisamment pas l'envergure ni l'ambition de le faire correctement. Dans cette entreprise de bons sentiments, rien est crédible et presque gênant sur la réalité des maisons de retraite. Non pas qu'il faille y voir que le négatif, mais "Les Mimosas" reste une résidence presque utopique et réellement réductrice. Derrière la caméra, T.Gilou filme platement, se cachant derrière des interprètes qui prennent du plaisir à remettre sous la lumière leur verve toujours aussi vivace. Gardons de cet exercice un moment de comédie inoffensive, aussi mordante qu'un gentillet pensionnaire démuni de son dentier.
Pour une fois que Kev Adams ne joue pas dans une comédie complètement débile et pas drôle. Bon, ici au moins, il y a un thème. Il est mal exploité car abordé de façon fantaisiste et/ou naïve, mais c'est déjà ça. Après, pour ce qui est de faire rire, c'est pas encore gagné. Le film est également cousu de fil blanc, je ne vais pas spolier car il n'y a même pas besoin. Du coup ça se regarde avec un intérêt limité mais bon, j'ai noté les progrès Kev, et on sait tous les deux que tu pars de très très loin.