Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Cette inhumanité fait écho de manière troublante au scandale de la maltraitance dans les Ehpad (...). C'est dire si Kev Adams, entouré d'un sacré casting, tape juste.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) Kev Adams, entouré d'un sacré casting, tape juste.
Le Parisien
par La Rédaction
Enlevée, bien écrite et très drôle, cette comédie s’avère aussi touchante. Entre un casting de retraités cinq étoiles (Gérard Depardieu, Firmine Richard, Daniel Prévost, Mylène Demongeot…) et un Kev Adams qui roule des yeux ahuris, la magie opère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Les dialogues sont à mourir de rire et les mimiques de Kev Adams également. Un vrai délice.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Thomas Gilou, le réalisateur de la trilogie La Vérité si je mens, revient avec une comédie faiblarde sur les résidents d’un Ehpad, avec toutefois quelques beaux acteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Statique et sans surprise mais avec quelques moments réussis de comédie grâce aux numéros de Depardieu et consorts.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Dans ce film choral bon enfant, le ton est au rire, mais il est vite confronté à l'actualité et au scandale des maltraitances qui touche actuellement les maisons de retraite (...). Thomas Gilou n'y est pour rien, mais sa farce un brin utopique en hommage à nos aînés qui ont beaucoup à nous transmettre se heurte à un sujet qui ne fait pas sourire (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Copélia Mainardi
Cette comédie rocambolesque où tout est trop beau pour être vrai n’est pas totalement dénuée d’émotion (...). On regrette toutefois que cette question essentielle du modèle d’accueil et de prise en charge de nos aînés soit traitée sur un ton si léger. Il faudra plus que Kev Adams pour nous sortir du déni.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Baptiste Roux
Pas une seule idée de cinéma [...] MAIS Thomas Gilou aime ses acteurs (tous formidables) et croit en ses personnages – et réciproquement –, de sorte que les rares idées originales sont accueillies comme des épiphanies par un critique conduit, peu à peu, à l’indulgence.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le message sur la transmission entre les générations nous touche.
Ecran Large
par La rédaction
Maison de Retraite ressemble à ce que la presse anglo-saxonne désigne sous l'appellation de "vanity project", à savoir des productions mises en branle à la seule gloire d'une star, qui profitera d'un récit intégralement conçu pour le mettre en valeur, quitte à piétiner un tantinet le reste du casting.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Cette comédie vise à faire rire autant qu'à émouvoir. Deux ambitions que le film, abandonné à une écriture et à une mise en scène relâchées et simplistes, ne parvient jamais à atteindre.
Libération
par Léo Soesanto
Maison de retraite fait un parfait doublé avec Haters (2021), l’autre navet récent de Kev Adams : un film «sur un sujet» mais sourd à la nuance, qui livre des «solutions» clé en main dignes de contes de fées (forcément, de la part de l’interprète d’Aladin) et planque un embarrassant ego trip.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
Kev Adams a beau donner tout ce qu’il peut, le script mal conçu finit toujours par le rattraper.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Cette inhumanité fait écho de manière troublante au scandale de la maltraitance dans les Ehpad (...). C'est dire si Kev Adams, entouré d'un sacré casting, tape juste.
Le Dauphiné Libéré
(...) Kev Adams, entouré d'un sacré casting, tape juste.
Le Parisien
Enlevée, bien écrite et très drôle, cette comédie s’avère aussi touchante. Entre un casting de retraités cinq étoiles (Gérard Depardieu, Firmine Richard, Daniel Prévost, Mylène Demongeot…) et un Kev Adams qui roule des yeux ahuris, la magie opère.
Public
Les dialogues sont à mourir de rire et les mimiques de Kev Adams également. Un vrai délice.
La Croix
Thomas Gilou, le réalisateur de la trilogie La Vérité si je mens, revient avec une comédie faiblarde sur les résidents d’un Ehpad, avec toutefois quelques beaux acteurs.
Le Journal du Dimanche
Statique et sans surprise mais avec quelques moments réussis de comédie grâce aux numéros de Depardieu et consorts.
Le Point
Dans ce film choral bon enfant, le ton est au rire, mais il est vite confronté à l'actualité et au scandale des maltraitances qui touche actuellement les maisons de retraite (...). Thomas Gilou n'y est pour rien, mais sa farce un brin utopique en hommage à nos aînés qui ont beaucoup à nous transmettre se heurte à un sujet qui ne fait pas sourire (...).
Marianne
Cette comédie rocambolesque où tout est trop beau pour être vrai n’est pas totalement dénuée d’émotion (...). On regrette toutefois que cette question essentielle du modèle d’accueil et de prise en charge de nos aînés soit traitée sur un ton si léger. Il faudra plus que Kev Adams pour nous sortir du déni.
Positif
Pas une seule idée de cinéma [...] MAIS Thomas Gilou aime ses acteurs (tous formidables) et croit en ses personnages – et réciproquement –, de sorte que les rares idées originales sont accueillies comme des épiphanies par un critique conduit, peu à peu, à l’indulgence.
Télé 7 Jours
Le message sur la transmission entre les générations nous touche.
Ecran Large
Maison de Retraite ressemble à ce que la presse anglo-saxonne désigne sous l'appellation de "vanity project", à savoir des productions mises en branle à la seule gloire d'une star, qui profitera d'un récit intégralement conçu pour le mettre en valeur, quitte à piétiner un tantinet le reste du casting.
Le Monde
Cette comédie vise à faire rire autant qu'à émouvoir. Deux ambitions que le film, abandonné à une écriture et à une mise en scène relâchées et simplistes, ne parvient jamais à atteindre.
Libération
Maison de retraite fait un parfait doublé avec Haters (2021), l’autre navet récent de Kev Adams : un film «sur un sujet» mais sourd à la nuance, qui livre des «solutions» clé en main dignes de contes de fées (forcément, de la part de l’interprète d’Aladin) et planque un embarrassant ego trip.
Première
Kev Adams a beau donner tout ce qu’il peut, le script mal conçu finit toujours par le rattraper.