AlloCiné
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Votre avis sur Nos plus belles années ?
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Mais pourquoi bouder son plaisir ?
Ce film léger et touchant à la fois est tellement bien interprêté par ces immenses comédiens que sont Pierfrancesco Favino, Kim Rossi Stuart et surtout la délicieuse Micaela Ramazzotti, qui était déjà tellement bouleversante dans La prima cosa bella, film que je peux revoir en boucle juste pour elle.
Oui, c'est du déjà vu, c'est un thème rebattu mais on s'attache immédiatement à cette bande d'amis (qu'est-ce que les jeunes sont bien choisis : on sait immédiatement qui sera qui une fois adultes !) et la rajeunissement des comédiens est surprenant de réussite (rien à voir avec les effets baltringues d'un film de Scorcese).
J'aime ce film, émouvant sans mélo, drôle et vrai à la fois.
Ce film léger et touchant à la fois est tellement bien interprêté par ces immenses comédiens que sont Pierfrancesco Favino, Kim Rossi Stuart et surtout la délicieuse Micaela Ramazzotti, qui était déjà tellement bouleversante dans La prima cosa bella, film que je peux revoir en boucle juste pour elle.
Oui, c'est du déjà vu, c'est un thème rebattu mais on s'attache immédiatement à cette bande d'amis (qu'est-ce que les jeunes sont bien choisis : on sait immédiatement qui sera qui une fois adultes !) et la rajeunissement des comédiens est surprenant de réussite (rien à voir avec les effets baltringues d'un film de Scorcese).
J'aime ce film, émouvant sans mélo, drôle et vrai à la fois.
Quel bon moment riche en émotion . Une comédie à l'italienne comme on les aime.
J'ai retrouvé un peu des grandes comédies de l'age d'or du cinéma italien avec des descriptions de la société teintées de nostalgie, d'humeur, de tendresse et de vie.
J'ai retrouvé un peu des grandes comédies de l'age d'or du cinéma italien avec des descriptions de la société teintées de nostalgie, d'humeur, de tendresse et de vie.
L'histoire n'est pas originale mais très bien rendue, on se passionne pour l'histoire d'amitié et d'amour entre les 4 protagonistes. Ça se passe en Italie mais tout le monde pourra se retrouver dans un des 4 personnages. Le film mélange avec réussite 40 années de petites et grandes histoires italiennes. A voir, et ne fermez pas dès l'apparition du générique. Il y a encore une scène environ une minute après.
Une fresque romanesque assez prenante et attachante, en dépit d’un scénario convenu et manquant de souffle, qui entremêle les destins sur quarante années de quatre amis de Rome, entre espoirs, amours, désillusions et retrouvailles. 2,75
Un très bon film italien. Un très bon drame sur une famille italienne avec des acteurs convaincants et talentueux.
Regardable, même si quelque poncifs trainent ca et là... mais plus troublant, suis je le seul à avoir remarqué que des scenes entieres et des pans narratifs ont été copiés directement de "Birdy" d'Allan Parker?
spoiler:
1/Les jeunes commencent par construire un pigeonnier à partir de materiel de recup. 2 ils achetent une epave 3.ils la retapent alors que le pere ouvrier rustre de l'un les moque. 3 ils font fonctionner la voiture et en profitent. 4. le père la revend sans leur demander et ils le confrontent violement. 5. l'un des jeunes fait un exposé en classe sur les oiseaux et laisse sa perruche voler en classe, seduisant ainsi une copine. 6 alors qu'il voit son ami partir depuis sa chambre, sa perruche s'envole pour aller saluer l'ami(e) dans la rue mais se tue contre la fenetre en voulant revenir dans la maison...
ca fait beaucoup beaucoup de scene copiées collées....
ca fait beaucoup beaucoup de scene copiées collées....
Cette fresque très inspirée de Nous nous sommes tant aimés ne vient pas à la cheville de son modèle et souffre terriblement de la comparaison avec le chef d'oeuvre d'Ettore Scola. C'est fade et gentillet. On chercherait vainement une touche d'originalité, un éclair de folie. Quarante années d'histoire de l'Italie sont à peine survolées. Par exemple aucune explication ne nous est donnée sur l'engagement de l'un des personnages dans un mouvement de contestation. Comprenne qui pourra. Alors que Scola montrait qu'un fossé de classe s'était creusé entre des amis qui s'étaient rencontrés dans la résistance au fascisme, Muccino prêche une réconciliation lors de sirupeuses retrouvailles. L'air du temps a changé en Italie et l'époque de la grande comédie acide et subversive semble révolue.
Excellent film porté par de magnifiques acteurs, on ne s'ennuie pas une minute à suivre les évolutions de cette bande d'amis qui s'aiment, se quittent, se retrouvent....
Beaucoup mettent en avant Ettore Scola et son film « Nous nous sommes tant aimés » qui a beaucoup de points communs avec « Nos plus belles années » qui serait selon eux une pâle copie. Et bien pour moi, j’ai trouvé ce film agréable à suivre et son heureux dénouement m’a paru nettement plus sympa que celui de Scola qui, en plus, a beaucoup vieilli. Certes, la réalisation est sans doute moins affutée, mais l’histoire de ces 4 amis (3 hommes et une femme) sur 40 ans (1982 à nos jours), lesquels connaissent dans leur vie des fortunes diverses, y compris sur le plan sentimental ,est bien racontée et bien jouée. Plusieurs évènements internationaux sont évoqués en cours de route (sang contaminé, chute mur de Berlin…) et cette plongée dans l’Italie récente est bien agréable. Sympa à voir.
excellent, touchant, sensible. ce chef d'oeuvre, à mes yeux, nous renvoie à notre vécu et chacun peut s'identifier à un des personnages aisément, et vibrer, ainsi avec les acteurs. Je trouve qu'il y a dans ce film de la flamboyance,, qui n'est pas sans rappeler ce cinéma italien des années fastes.
un pur régal. Merci aux acteurs pour leur jeu truculent, mais juste, et au réalisateur pour avoir su créer un film lumineux qui capte l'attention du début à la fin et qui sait réjouir nos pupilles.
un pur régal. Merci aux acteurs pour leur jeu truculent, mais juste, et au réalisateur pour avoir su créer un film lumineux qui capte l'attention du début à la fin et qui sait réjouir nos pupilles.
Film retraçant les vies de trois amis d'enfance, avec au coeur de leurs embrouilles une jolie nana qui ne sait pas trop ce qu'elle veut... Un film plutôt rébarbatif et longuet, mais qui a le mérite de traiter de plusieurs thématiques et aussi de réunir un casting pertinent.
martial7178
C’est l’histoire de quatre amis, racontée sur quarante ans, en Italie, des années 1980 à aujourd’hui. La chronique de leurs espoirs, de leurs désillusions, de leurs amours, et surtout, de leur amitié.
Cette chronique sur l'amitié qui lie 3 hommes et 1 femme se suit avec plaisir, même si le début du film est peu trop bruyant. Mais cela fait aussi partie des charmes de l'Italie !
Les acteurs sont très convaincants dans leurs rôles et on les voit évoluer depuis l'adolescence jusqu'à l'âge mûr.
Si de jeunes et talentueux acteurs ont été choisis pour incarner les héros à l'adolescence, on peut cependant regretter que ce soit des acteurs quinquagénaires qui aient été choisis pour couvrir plusieurs décennies. Peut-être aurait-il été préférable de faire appel à 3 générations d'acteurs.
La musique a une place prédominante dans cette histoire et rappelle certains des plus beaux thèmes du cinéma italien.
Ce film est, au fond, une réflexion que nous pourrions tous avoir, arrivés à un certain âge : qu'avons-nous fait de nos vies, avons-nous réalisé nos rêves et sommes-nous restés fidèles à nos idéaux ?
Sur les trois hommes, un seul est finalement resté fidèle à ses principes et à son ambition et, au fond, c'est lui le plus heureux.
De beaux moments d'émotion, dans les relations père fils ou père fille et avant tout une belle histoire d'amitié qui résiste et temps.
Cette chronique sur l'amitié qui lie 3 hommes et 1 femme se suit avec plaisir, même si le début du film est peu trop bruyant. Mais cela fait aussi partie des charmes de l'Italie !
Les acteurs sont très convaincants dans leurs rôles et on les voit évoluer depuis l'adolescence jusqu'à l'âge mûr.
Si de jeunes et talentueux acteurs ont été choisis pour incarner les héros à l'adolescence, on peut cependant regretter que ce soit des acteurs quinquagénaires qui aient été choisis pour couvrir plusieurs décennies. Peut-être aurait-il été préférable de faire appel à 3 générations d'acteurs.
La musique a une place prédominante dans cette histoire et rappelle certains des plus beaux thèmes du cinéma italien.
Ce film est, au fond, une réflexion que nous pourrions tous avoir, arrivés à un certain âge : qu'avons-nous fait de nos vies, avons-nous réalisé nos rêves et sommes-nous restés fidèles à nos idéaux ?
Sur les trois hommes, un seul est finalement resté fidèle à ses principes et à son ambition et, au fond, c'est lui le plus heureux.
De beaux moments d'émotion, dans les relations père fils ou père fille et avant tout une belle histoire d'amitié qui résiste et temps.
« Eh, je suis un film italien, tu verras : on y rit, on y pleure, ça parle fort, il y a même des cardinaux et des vielles décapotables (de la même couleur). »
L’affiche nous le murmure, la bande annonce le crie haut et fort, comme une mamma à son balcon.
Gabriele Muccino, après avoir gagné trois sous à Hollywood revient en Italie sur la pointe des pieds, vingt ans après son Ultimo Bacio. Et encore une fois c’est du temps dont il est question, du temps qui passe…
On est en 1982, à Rome. Giulio, Riccardo et Paolo (ça fait rêver, non ?) ont 16 ans et la vie devant eux. Ils sortent presque indemnes des années de plomb prêts à en découdre avec la vie, ses lots de bonheurs et de malheurs, d’amours, d’amitiés et de trahisons, de combats et de capitulations. Et tout cela s’entremêle, sinon à quoi bon, pendant quarante années et deux heures quinze à l’écran.
Alors certes ça a du mal à commencer, ça hurle, la BO est de la bonne vieille soupe italienne et alors ? C’était écrit sur l’affiche on a dit !
Muccino n’est pas Scola mais il sait tenir une caméra et derrière une apparente légèreté, tout en humilité, nous dévoile des scènes d’une tendresse infinie (clin d’œil à Fellini et sa Dolce Vita) et d’une immense émotion (l’escalier). Il nous confronte à nos contradictions d’Homme et nous pose quelques questions existentielles : Au panneau STOP de tes 50 piges, quand tu jetteras un coup d’œil dans le rétroviseur de ton SUV allemand gris boîte auto, RMC en fond sonore, Radio Classique si tu veux te donner un genre, et que tu y apercevras l’ado de 18 ans de la décapotable rouge cardinalice, lui qui préfère lâcher le volant plutôt que la cuisse de son amoureuse pour passer les vitesses, serait-il fier de toi ?
As-tu été fidèle, si ce n’est aux tiens, à tes idéaux et à toi-même ?
Quelles ont été tes plus belles années ? Le film y apporte une réponse : elles sont devant nous, toujours ! Alors on va voir ce film, on va en week-end à Rome, on traverse le ponte Sisto et on va trinquer « aux choses qui nous rendent heureux ».
L’affiche nous le murmure, la bande annonce le crie haut et fort, comme une mamma à son balcon.
Gabriele Muccino, après avoir gagné trois sous à Hollywood revient en Italie sur la pointe des pieds, vingt ans après son Ultimo Bacio. Et encore une fois c’est du temps dont il est question, du temps qui passe…
On est en 1982, à Rome. Giulio, Riccardo et Paolo (ça fait rêver, non ?) ont 16 ans et la vie devant eux. Ils sortent presque indemnes des années de plomb prêts à en découdre avec la vie, ses lots de bonheurs et de malheurs, d’amours, d’amitiés et de trahisons, de combats et de capitulations. Et tout cela s’entremêle, sinon à quoi bon, pendant quarante années et deux heures quinze à l’écran.
Alors certes ça a du mal à commencer, ça hurle, la BO est de la bonne vieille soupe italienne et alors ? C’était écrit sur l’affiche on a dit !
Muccino n’est pas Scola mais il sait tenir une caméra et derrière une apparente légèreté, tout en humilité, nous dévoile des scènes d’une tendresse infinie (clin d’œil à Fellini et sa Dolce Vita) et d’une immense émotion (l’escalier). Il nous confronte à nos contradictions d’Homme et nous pose quelques questions existentielles : Au panneau STOP de tes 50 piges, quand tu jetteras un coup d’œil dans le rétroviseur de ton SUV allemand gris boîte auto, RMC en fond sonore, Radio Classique si tu veux te donner un genre, et que tu y apercevras l’ado de 18 ans de la décapotable rouge cardinalice, lui qui préfère lâcher le volant plutôt que la cuisse de son amoureuse pour passer les vitesses, serait-il fier de toi ?
As-tu été fidèle, si ce n’est aux tiens, à tes idéaux et à toi-même ?
Quelles ont été tes plus belles années ? Le film y apporte une réponse : elles sont devant nous, toujours ! Alors on va voir ce film, on va en week-end à Rome, on traverse le ponte Sisto et on va trinquer « aux choses qui nous rendent heureux ».
Un bon moment passé qui requinque et nous fait oublier notre quotidien. Chacun de nous se retrouve dans ce film . Il n'y a pas à analyser mais c'est une bonne bouffée d'air frais avec de bons comédiens un bon scenario et bien entendu une belle patte du cinéma italien. Quelques séquences particulièrement émouvantes inoubliables.
Sympathique et touchante comédie dramatique, cette saga italienne suit 4 amis sur plusieurs décennies.
Amours, carrières, innocence perdue, petits mensonges, trahisons...
Rien de nouveau donc, mais une fraîcheur de réalisation et une solide interprétation permettent au spectateur de passer un trés agréable moment.
Amours, carrières, innocence perdue, petits mensonges, trahisons...
Rien de nouveau donc, mais une fraîcheur de réalisation et une solide interprétation permettent au spectateur de passer un trés agréable moment.
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