Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film passionnant décrit les avantages et les inconvénients qu’apporte ce métier. La force du propos vient de fait que le film évite toute caricature.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Damien Bourgeois
Un film fort sur la mainmise des réseaux sociaux et la dictature des apparences.
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Quand nous croyons voir surgir une businesswoman, une fille sans contenance ou une incroyable humaniste, les secondes suivantes réfutent notre impression. Portrait gigogne des déceptions recousues incarné jusqu’au bout des ongles par Magdalena Koleśnik, tranche de vie déphasée occupant la faille entre attentes et obligations, Sweat nous met face à une manifeste incompatibilité des mondes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Matthias Mertz
Sweat est un récit intimiste, rigoureux, surprenant. Loin de vouloir donner des leçons de société, il adopte une forme quasi-documentaire pour injecter de l'humanité (parfois de façon surprenante, à l'image de son troisième acte) dans le rapport complexe d'une Magdalena Kolesnik stellaire à son audience.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Magdalena Kolesnik est parfaite pour incarner cette influenceuse sous influence.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une chronique sensible, fine et juste, sur les réalités de l'ère digitale.
Franceinfo Culture
par Corinne Jeammet
Avec ce sujet rarement abordé, Magnus von Horn montre combien vie publique et privée sont difficiles à concilier pour les influenceuses, surtout quand elles pensent faire preuve d'authenticité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Avec ce second film cru et puissant, le cinéaste suédois Magnus von Horn dresse le portrait sans filtre d’une et mille solitudes cachées derrières les écrans et les fenêtres d’une ville.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Lorenzo Codelli
L’extraordinaire performance de Magdalena Kolesnik dans le rôle de Sylwia, toujours à l’écran, remplit de sens un personnage sans aucune conscience de soi.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Finement incarné par Magdalena Kolesnik, ce réquisitoire pertinent alerte avec d’autant plus de force qu’il refuse l’outrance.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un regard intelligent sur la complexité des réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une plongée dans ce nouveau métier de l'influence marketing, doublé d'un portrait bien vu de l'ultramoderne solitude à l'heure des réseaux sociaux.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sur un scénario qui aurait pu être celui d’un film à thèse, le cinéaste polonais d’origine suédoise fait le portrait sensible d’une jeune femme (impressionnante Magdalena Kolesnik) piégée par les lueurs artificielles des projecteurs. Il filme les apparences et les coulisses d’une vie où l’ivresse du succès est par essence frelatée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier De Bruyn
Portrait nerveux d'une youtubeuse d'aujourd'hui, le film de Magnus von Horn est dur, sans la moindre concession. Il transpire l'ultramoderne solitude. Celle-là même que chantait Souchon, il y a quelques années déjà…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce film sur le regard que l’on porte sur soi et sur ceux que les autres portent sur nous peut aussi compter sur son énergique et charismatique actrice.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Mais il faut voir « Sweat » pour la performance phénoménale de la comédienne polonaise Magdalena Kolesnik dans le rôle de Sylwia. Dans tous les registres – sportif, émotionnel, dramatique –, elle fait passer une incroyable intensité, parfois simplement avec ses yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Tout le défi de ce film moins quelconque que son titre et sa femme qui s’affiche auguraient, tient en ceci : comment regarder un personnage qu’on n’aime pas, et dont on ne saurait faire l’apologie fascinée par retournement cynique et aveu d’impuissance ?
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Ce film nous alpague dans sa première partie (la pente dépressive de l'héroïne) avant de se faire plus pénible et complaisant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sylwia est à la mesure d’une époque qui ne vit que sous le regard des autres et pour lui. Elle n’en est pas moins aimante, pieusement dévouée à cette foule qui la suit. Façonnée comme un objet de chair illusoire, le fantasme incarné d’un bonheur qui n’existe pas.
Critikat.com
par Valentin Denis
Une critique sociale assez peu stimulante, tant son discours sur les influenceurs relève du lieu commun.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Réalisateur suédois qui vit en Pologne, Magnus von Horn met en scène une star du fitness et influenceuse qui prend conscience du vide de sa vie dans un film dont le sujet ultracontemporain finit par basculer dans une intrigue un peu poussive.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le surgissement de la pulsion la plus triviale, la manière dont l’héroïne va tenter de se débarrasser du harceleur tout en réalisant la vacuité de sa propre vie sexuelle, et peut-être une absence rédhibitoire de désir, constituent les marques d’une vérité qui ne s’imposera que provisoirement. L’artifice et la superficialité trompeuse reprendront impitoyablement le dessus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Hélas, à force de vouloir traiter trop frontalement la solitude de son héroïne, la trajectoire du film devient trop unidirectionnelle et ressemble à un lent crescendo d’un même dispositif de scène répété jusqu’au terme du récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un portrait trop empreint de clichés.
Première
par Frédéric Foubert
Tout à son discours sur les réseaux sociaux, tour à tour décrits comme oppressants et libérateurs, Magnus von Horn ne parvient pas à trouver la clé émotionnelle qui nous permettrait de compatir à la détresse existentielle de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Ce film passionnant décrit les avantages et les inconvénients qu’apporte ce métier. La force du propos vient de fait que le film évite toute caricature.
CinemaTeaser
Un film fort sur la mainmise des réseaux sociaux et la dictature des apparences.
Culturopoing.com
Quand nous croyons voir surgir une businesswoman, une fille sans contenance ou une incroyable humaniste, les secondes suivantes réfutent notre impression. Portrait gigogne des déceptions recousues incarné jusqu’au bout des ongles par Magdalena Koleśnik, tranche de vie déphasée occupant la faille entre attentes et obligations, Sweat nous met face à une manifeste incompatibilité des mondes.
Ecran Large
Sweat est un récit intimiste, rigoureux, surprenant. Loin de vouloir donner des leçons de société, il adopte une forme quasi-documentaire pour injecter de l'humanité (parfois de façon surprenante, à l'image de son troisième acte) dans le rapport complexe d'une Magdalena Kolesnik stellaire à son audience.
Elle
Magdalena Kolesnik est parfaite pour incarner cette influenceuse sous influence.
Femme Actuelle
Une chronique sensible, fine et juste, sur les réalités de l'ère digitale.
Franceinfo Culture
Avec ce sujet rarement abordé, Magnus von Horn montre combien vie publique et privée sont difficiles à concilier pour les influenceuses, surtout quand elles pensent faire preuve d'authenticité.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce second film cru et puissant, le cinéaste suédois Magnus von Horn dresse le portrait sans filtre d’une et mille solitudes cachées derrières les écrans et les fenêtres d’une ville.
Positif
L’extraordinaire performance de Magdalena Kolesnik dans le rôle de Sylwia, toujours à l’écran, remplit de sens un personnage sans aucune conscience de soi.
Télé 7 Jours
Finement incarné par Magdalena Kolesnik, ce réquisitoire pertinent alerte avec d’autant plus de force qu’il refuse l’outrance.
Télérama
Un regard intelligent sur la complexité des réseaux sociaux.
Voici
Une plongée dans ce nouveau métier de l'influence marketing, doublé d'un portrait bien vu de l'ultramoderne solitude à l'heure des réseaux sociaux.
L'Obs
Sur un scénario qui aurait pu être celui d’un film à thèse, le cinéaste polonais d’origine suédoise fait le portrait sensible d’une jeune femme (impressionnante Magdalena Kolesnik) piégée par les lueurs artificielles des projecteurs. Il filme les apparences et les coulisses d’une vie où l’ivresse du succès est par essence frelatée.
Le Figaro
Portrait nerveux d'une youtubeuse d'aujourd'hui, le film de Magnus von Horn est dur, sans la moindre concession. Il transpire l'ultramoderne solitude. Celle-là même que chantait Souchon, il y a quelques années déjà…
Le Journal du Dimanche
Ce film sur le regard que l’on porte sur soi et sur ceux que les autres portent sur nous peut aussi compter sur son énergique et charismatique actrice.
Le Parisien
Mais il faut voir « Sweat » pour la performance phénoménale de la comédienne polonaise Magdalena Kolesnik dans le rôle de Sylwia. Dans tous les registres – sportif, émotionnel, dramatique –, elle fait passer une incroyable intensité, parfois simplement avec ses yeux.
Libération
Tout le défi de ce film moins quelconque que son titre et sa femme qui s’affiche auguraient, tient en ceci : comment regarder un personnage qu’on n’aime pas, et dont on ne saurait faire l’apologie fascinée par retournement cynique et aveu d’impuissance ?
Marie Claire
Ce film nous alpague dans sa première partie (la pente dépressive de l'héroïne) avant de se faire plus pénible et complaisant.
Sud Ouest
Sylwia est à la mesure d’une époque qui ne vit que sous le regard des autres et pour lui. Elle n’en est pas moins aimante, pieusement dévouée à cette foule qui la suit. Façonnée comme un objet de chair illusoire, le fantasme incarné d’un bonheur qui n’existe pas.
Critikat.com
Une critique sociale assez peu stimulante, tant son discours sur les influenceurs relève du lieu commun.
La Croix
Réalisateur suédois qui vit en Pologne, Magnus von Horn met en scène une star du fitness et influenceuse qui prend conscience du vide de sa vie dans un film dont le sujet ultracontemporain finit par basculer dans une intrigue un peu poussive.
Le Monde
Le surgissement de la pulsion la plus triviale, la manière dont l’héroïne va tenter de se débarrasser du harceleur tout en réalisant la vacuité de sa propre vie sexuelle, et peut-être une absence rédhibitoire de désir, constituent les marques d’une vérité qui ne s’imposera que provisoirement. L’artifice et la superficialité trompeuse reprendront impitoyablement le dessus.
Les Inrockuptibles
Hélas, à force de vouloir traiter trop frontalement la solitude de son héroïne, la trajectoire du film devient trop unidirectionnelle et ressemble à un lent crescendo d’un même dispositif de scène répété jusqu’au terme du récit.
Ouest France
Un portrait trop empreint de clichés.
Première
Tout à son discours sur les réseaux sociaux, tour à tour décrits comme oppressants et libérateurs, Magnus von Horn ne parvient pas à trouver la clé émotionnelle qui nous permettrait de compatir à la détresse existentielle de son héroïne.