Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Corsetée dans la raideur et le dévouement à son rôle, Josiane Balasko incarne Marguerite Bottard (1822-1906), femme du peuple devenue à force d’abnégation l’infirmière en chef et « surveillante » du neurologue Charcot à la Salpêtrière à Paris.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film choral captivant au casting de choc.
Femme Actuelle
par La Rédaction
La force du film repose sur des choix esthétiques qui accentuent la sensation d'enfermement, ainsi qu'un judicieux emploi des comédiennes.
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Une fiction tendue et efficace.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Dans cet étouffant drame en costumes, la mise en scène de l’auteur de « Michael Kohlhaas », entre plans serrés et lyrisme tourmenté, épouse avec virtuosité la quête essoufflée et désespérée de son héroïne. Et sert le jeu d’immenses comédiennes, parmi lesquelles Mélanie Thierry, Josiane Balasko et Dominique Frot.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un portrait froid, stupéfiant, dans un drame magistralement nuancé sur l’hystérisation infernale des femmes internées au XIXe siècle.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Porté par sa mise en scène alerte et sa troupe d’interprètes, Arnaud des Pallières signe un film éprouvant et de bout en bout politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Anne Diatkine
L’extraordinaire du film d’Arnaud des Pallières [...] tient en grande partie à l’engagement des comédiennes qui développent chacune un univers, rendent vivante une obsession, existent pleinement même lorsqu’elles ne sont pas à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Un film puissant et captivant de bout en bout.
La Croix
par Céline Rouden
Sur une trame similaire au Bal des folles, le livre de Victoria Mas adapté par Mélanie Laurent en 2021, le cinéaste Arnaud des Pallières livre un film volontairement excessif et dérangeant qui séduit par son formidable numéro d’actrices.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans une reconstitution historique particulièrement soignée, Mélanie Thierry, totalement habitée, porte ce récit édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Ce drame historique dont le climax se situe lors du Bal des folles tient autant à l'atmosphère visuelle de l'ensemble qu'au casting, avec, en tête, le personnage de Fani défendu avec ardeur par Mélanie Thierry. Pourtant, le pathos de certaines situations, l'usage appuyé des plans serrés sur les souffrances des patientes, le manichéisme forcé des personnages et la surenchère des effets gratuits alourdissent le propos (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le propos est parfois trop souligné mais "Captives" est un manifeste de résistance et de résilience, incarné par une brochette d'actrices captivantes.
Télé Loisirs
par C.M.
Un peu long au démarrage, ce "bal des folles" signé Arnaud des Pallières, porté par une distribution presque entièrement féminine, brille par sa mise en scène et son écriture.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Malgré un certain académisme de la mise en scène et une photographie trop marquée, Captives est un vrai film de femmes porté par des actrices exceptionnelles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Captives, à la fois éparpillé et encombré de conventions (forme pseudo-documentaire, personnages de roman-feuilleton), ne parvient pas un tant soit peu à se laisser contaminer par la folie (on est très loin du Shock Corridor de Fuller).
Critikat.com
par Robin Vaz
Le cinéaste peine à mener de front les deux pans de son scénario, partagé entre la quête personnelle de Fanni et une forme presque chorale visant à mettre en exergue le fonctionnement de l’asile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Malgré cette équipe d'actrices jouant au mieux leur partition, le film perd rapidement en intensité, s'enlisant dans un scénario qui ne semble pas savoir où il va, et dans une mise en scène répétitive, qui finit par devenir pesante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Captives est nourri de forces contraires, qui créent aussi bien l’émotion que la confusion.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On est scandalisé par tant de cruauté et misogynie, et la détresse de Mélanie Thierry, qui tente d’en réchapper, est touchante, mais portée par une réalisation ampoulée, l’intrigue se perd dans des méandres inutiles qui empêchent l’émotion [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
Une fois posés les termes du scénario, Captives s’enlise dans un certain académisme et un récit laborieux exposant l’héroïne à de multiples périls qu’elle devra forcément éviter…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Arnaud des Pallières met en scène une héroïne qui, à la fin du XIX e siècle, se fait volontairement interner dans un hôpital psychiatrique. Résultat (très) mitigé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Frédéric Foubert
Captives séduit par bribes, lors de stases narratives (un accouchement, une évasion nocturne qui tourne court), frappantes mais trop rares.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Dommage qu’une épidémie de surjeux s’invite à l’écran.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Il semble y avoir plusieurs tentatives de films dans "Captives", hélas tous incomplets et laissés en suspens au profit d’un nouveau mouvement qui vient prendre la place du précédent. On finit alors par se demander ce qui a nourri le regard du cinéaste dans cette entreprise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Dernières Nouvelles d'Alsace
Corsetée dans la raideur et le dévouement à son rôle, Josiane Balasko incarne Marguerite Bottard (1822-1906), femme du peuple devenue à force d’abnégation l’infirmière en chef et « surveillante » du neurologue Charcot à la Salpêtrière à Paris.
Elle
Un film choral captivant au casting de choc.
Femme Actuelle
La force du film repose sur des choix esthétiques qui accentuent la sensation d'enfermement, ainsi qu'un judicieux emploi des comédiennes.
L'Humanité
Une fiction tendue et efficace.
L'Obs
Dans cet étouffant drame en costumes, la mise en scène de l’auteur de « Michael Kohlhaas », entre plans serrés et lyrisme tourmenté, épouse avec virtuosité la quête essoufflée et désespérée de son héroïne. Et sert le jeu d’immenses comédiennes, parmi lesquelles Mélanie Thierry, Josiane Balasko et Dominique Frot.
Le Dauphiné Libéré
Un portrait froid, stupéfiant, dans un drame magistralement nuancé sur l’hystérisation infernale des femmes internées au XIXe siècle.
Les Fiches du Cinéma
Porté par sa mise en scène alerte et sa troupe d’interprètes, Arnaud des Pallières signe un film éprouvant et de bout en bout politique.
Libération
L’extraordinaire du film d’Arnaud des Pallières [...] tient en grande partie à l’engagement des comédiennes qui développent chacune un univers, rendent vivante une obsession, existent pleinement même lorsqu’elles ne sont pas à l’écran.
Sud Ouest
Un film puissant et captivant de bout en bout.
La Croix
Sur une trame similaire au Bal des folles, le livre de Victoria Mas adapté par Mélanie Laurent en 2021, le cinéaste Arnaud des Pallières livre un film volontairement excessif et dérangeant qui séduit par son formidable numéro d’actrices.
Le Parisien
Dans une reconstitution historique particulièrement soignée, Mélanie Thierry, totalement habitée, porte ce récit édifiant.
Le Point
Ce drame historique dont le climax se situe lors du Bal des folles tient autant à l'atmosphère visuelle de l'ensemble qu'au casting, avec, en tête, le personnage de Fani défendu avec ardeur par Mélanie Thierry. Pourtant, le pathos de certaines situations, l'usage appuyé des plans serrés sur les souffrances des patientes, le manichéisme forcé des personnages et la surenchère des effets gratuits alourdissent le propos (...).
Paris Match
Le propos est parfois trop souligné mais "Captives" est un manifeste de résistance et de résilience, incarné par une brochette d'actrices captivantes.
Télé Loisirs
Un peu long au démarrage, ce "bal des folles" signé Arnaud des Pallières, porté par une distribution presque entièrement féminine, brille par sa mise en scène et son écriture.
aVoir-aLire.com
Malgré un certain académisme de la mise en scène et une photographie trop marquée, Captives est un vrai film de femmes porté par des actrices exceptionnelles.
Cahiers du Cinéma
Captives, à la fois éparpillé et encombré de conventions (forme pseudo-documentaire, personnages de roman-feuilleton), ne parvient pas un tant soit peu à se laisser contaminer par la folie (on est très loin du Shock Corridor de Fuller).
Critikat.com
Le cinéaste peine à mener de front les deux pans de son scénario, partagé entre la quête personnelle de Fanni et une forme presque chorale visant à mettre en exergue le fonctionnement de l’asile.
Franceinfo Culture
Malgré cette équipe d'actrices jouant au mieux leur partition, le film perd rapidement en intensité, s'enlisant dans un scénario qui ne semble pas savoir où il va, et dans une mise en scène répétitive, qui finit par devenir pesante.
La Voix du Nord
Captives est nourri de forces contraires, qui créent aussi bien l’émotion que la confusion.
Le Journal du Dimanche
On est scandalisé par tant de cruauté et misogynie, et la détresse de Mélanie Thierry, qui tente d’en réchapper, est touchante, mais portée par une réalisation ampoulée, l’intrigue se perd dans des méandres inutiles qui empêchent l’émotion [...].
Le Monde
Une fois posés les termes du scénario, Captives s’enlise dans un certain académisme et un récit laborieux exposant l’héroïne à de multiples périls qu’elle devra forcément éviter…
Les Echos
Arnaud des Pallières met en scène une héroïne qui, à la fin du XIX e siècle, se fait volontairement interner dans un hôpital psychiatrique. Résultat (très) mitigé.
Première
Captives séduit par bribes, lors de stases narratives (un accouchement, une évasion nocturne qui tourne court), frappantes mais trop rares.
Télé 7 Jours
Dommage qu’une épidémie de surjeux s’invite à l’écran.
Les Inrockuptibles
Il semble y avoir plusieurs tentatives de films dans "Captives", hélas tous incomplets et laissés en suspens au profit d’un nouveau mouvement qui vient prendre la place du précédent. On finit alors par se demander ce qui a nourri le regard du cinéaste dans cette entreprise.
Ouest France
On s'ennuie ferme dans ce mélo.