Un des grands films de cette dizaine d’année, c’est le seul film dans lequel j’ai vu Whoopi jusqu'à présent. Le début aura démarrer sur les chapeau de roue avec ses premières notes d’humour discrète. Cette actrice livre une prestation unique, chaque petite mimique est un régal. Un film nous montrant parfaitement le choc culturel XXL entre son monde, celui des spectacles de Las Vegas, et celui des bonnes sœurs du couvant, et donc, la religion. Une première scène sera culte, du moins, c’est ce que je pense, celle de la prière et du repas.
Un moment ou je me suis bien marrer car étant non catholique, Dolores est incapable de lâcher une prière ayant un véritable sens logique, elle en sort une avec le peu de savoir qu’elle à et accompagnée des réactions des plus hilarante de ses nouvelle camarades.
Et au moment d’avaler sa soupe, hurlement direct. Une relation également tendue entre elle et la directrice du couvant, ne supportant pas son passé et son comportement au sein de la communauté. C’est surtout là qu’on se rend bien compte du quotidien de ces gens, renfermer ou presque sur l’extérieur, ne faisant que prier, lire des bouquins religieux, jardiner… 0 contacts extérieur ou très peu.
Marier à dieu, une manière d'être bien loin de ma manière d'être. Pour ce qui est de la nouvelle mission de Dolores au sein du couvent, permettre aux nones de chanter de manières bien plus coordonnées et avec l'apprentissage du propre talent et expérience de cette dernière, le résultat est juste énorme. Un vrai dépoussiérage pour un couvent en plein renfermement et qui avait comme je l’ais très largement penser, une vraie contraction musculaire. Enfin, le final, porté par sa chanson ou bande originale culte est juste énorme. Un départ très religieux, sage donc, avant de lâcher la bête face aux spectateurs, membres du couvent et surtout, du pape. Entraînante, rythmée, un refrain gospel mais aussi très pop remettant ce genre de pratique musicale au goût du jour. Bémol, çà n’à pas durer assez longtemps. Ce film reste une réussite. Et pour réellement finir, j’aurais et c'est très rare, apprécier sincèrement la durée qui à été donner pour filmer le quotidien du couvent. Nous permettre de connaître ses pratique tout en y mettant le "piment Dolores".