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    Breezy
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    76 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 février 2009
    Clint Eastwood, sous son air d'acteur macho, montre ici l'étendue de sa sensibilité à travers une histoire d'amour impossible. Il montre aussi un certain talent à la réalisation, lui qui faisait ses premières armes. Il n'en demeure pas moins quelques ratages dans la réalisation (ex: l'affreux échange au tennis avec des angles de caméra des plus horribles). Un scénario relativement classique, mais merveilleusement mis en lumière par W. Holden, en vieux briscard fatigué et K. Lenz, d'une élégante impertinence. Si l'histoire est sans surprise, le film n'en demeure pas moins une grande réussite passée et qui passe encore malheureusement inaperçue.
    ygor parizel
    ygor parizel

    239 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2013
    Une histoire banale, des situations banales et pourtant Clint Eastwood arrive à faire un film pas commun. Des dialogues très bien écrit et amusant, émouvant et juste. Une réalisation impeccable et un beau couple Holden toujours classe et la jeune Kay Lenz qui malheureusement n'a pas fait carrière elle est pétillante en jeune idéaliste emmerdeuse.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 février 2009
    Une histoire d'amour improbable entre un vieux conservateur cynique et fatigué et une jeune vagabonde insouciante. Troisième film d'Eastwood, deuxième chef d'oeuvre.
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2008
    J'ai hésité entre deux étoiles et trois mais ai trop de révérence pour l'acteur-réalisateur. Et puis les deux acteurs sont excellents, l'histoire narrée plus profonde qu'elle n'en paraît (même si à une autre époque que celle du film elle serait totalement invraisemblable) et qu'on ne se prend pas au sérieux.
    Et puis il faut encourager les salles d'Art et Essai qui programment de tels films.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mars 2008
    Programmer un film méconnu de Clint Eastwood, c'est ce que nous propose La Filmothèque du Quartier Latin, cinéma généreux et attachant, à l'image de son patron. Breezy, c'est le prénom de cette ravissante jeune fille éprise d'un quinquagénaire. Elle, femme-enfant à première vue ingénue, et lui faux-solitaire cynique, vont voir leurs coeurs transformés par cette rencontre. Ce couple improbable révèlera toute sa profondeur lorsqu'il acceptera de vivre intensement ce moment à deux. Une réflexion sur le temps qui passe, les bonheurs de la vie et ses rencontres. Délicatement filmés par Eastwood, William Holden est touchant en quinqua désabusé plus tendre qu'il ne laisse le croire et Kay Lenz magnifique de fraîcheur et de malice.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 mars 2008
    Un des films les plus ennuyeux que j'aie vu!! A fuir
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    43 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2008
    Bonne idée que d’avoir programmé ce film de 1973 qui n’était pratiquement pas sorti en salle, et qui constituait l’un des premiers pas de Clint Eastwood derrière la caméra. Cette romance entre un quinquagénaire séduisant et une jeune hippie en âge d’être sa fille, dépasse le cadre de la gentille comédie romantique pour nous convier à une vraie réflexion sur le vieillissement et l’amour, servie par un William Holden épatant de charme et de naturel. C’est le futur Clint Eastwood de la Route de Madison qui pointe ici sa tendresse et sa sensibilité. A connaître absolument.
    norman06
    norman06

    345 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2008
    Méconnu, ce chef-d'oeuvre de Clint Eastwood est un récit à la fois intimiste et lyrique d'une passion au delà des préjugés sociaux. Pour ceux qui en douteraient encore, Eastwood est vraiment le dernier des cinéastes classiques et le premier des modernes. Interprétation magistrale de Holden en vieil ours rattrapé par l'amour.
    Spiriel
    Spiriel

    37 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 février 2008
    Clint l'acteur ne variait pas trop de registre. Le cinéaste, lui, a vite montré des talents divers. Breezy n'est pas des films qui marquent, mais de ceux qui éclairent. L'Amour impossible est l'un des sujets les plus rebattus du cinéma, mais Clint fait fi des clichés. L'héroïne, incarnation rêvée de la libération des moeurs, n'a ni passé sordide, ni addiction. Apparemment naïve dans son utopie et en même temps sacrément malicieuse, les paroles de Breezy interpellent.
    Une des forces du film, c'est de distiller les réflexions en évitant les pontifs du genre "peu importe la différence d'âge, tant qu'ils s'aiment". Pas de romantisme baveux. Par petites touches, on finit par saisir ce qui rend Breezy mystérieuse. Il s'agit d'arrêter de tout estimer, de tout compter. Elle offre son amour à tous, ne se soucie pas d'un quelconque retour, et encore moins de savoir si elle a gagné au change ou pas.
    Bien sûr, le film parle du vieillissement, de la fatigue et du renfermement associés, de la disparition de la spontanéité des sentiments, le refus de la prise de risque, de l'engagement. Mais résumer le film à cela est manquer sa substance. Finalement, Breezy est la petite soeur de la femme de Jules et Jim, elle recherche la forme d'amour parfaite. Seulement l'émancipation est passée par là, et Breezy est nettement plus sereine. On a envie de la serrer dans ses bras à la fin lorsqu'elle dit "Un an?! tu te rends compte!". Le film permet surtout, plus particulièrement pour les gens nés après 1980 comme moi, de comprendre en quoi la société a vécu une authentique régression depuis les années 70. Aujourd'hui, il est impossible même d'envisager les choses sous cet angle. On comprend mieux les incompréhensions inévitables avec la généraion du baby boom qui a vécu un véritable élan social et humain, alors qu'aujourd'hui l'obsession de la réussite, le règne de l'argent, l'apologie de la concurrence, conduisent à appréhender les choses à l'opposé de Breezy.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    294 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2008
    Comment passer à coté de cette histoire d'amour montée de toutes pièces ( surtout quand on sait comment s'est passé l'engagement premier de Kay Lenz ) hystériquement drôle ou Eastwood semble réagir au vent de liberté qui soufflait à l'époque - En effet loin de ses films ! - en nous contant cette histoire admirable et pas crédible une seule seconde - Pire : Et encore... - ou une jeune "Jewish princess" hippie rencontre en un coup de foudre un vieux fétichiste bien entendu différent en tout que le premier conducteur. Et Kay lenz a de une belle poitrine. Phrases-clés : " J'ai croisé un jour une étudiante qui m'a menacé de crier 'Au viol !' si je ne lui donnait pas 20 $ : Donc, je lui ai donné & je lui ai tout fait..." " Je me sentirais comme un vieux pervers si je faisais quoique ce soit avec elle." " He's a loner." ( PLAYBOY52@idoo.com )
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 février 2008
    Tout simplement le meilleur film de Clint Eastwood, et le plus beau qu'il m'ait été donné de voir.
    Les acteurs sont magnifiques (où William Holden prouve que les hommes ne sont jamais aussi séduisants qu'entre 50 et 60 ans... Quant à Kay Lenz, elle est un miracle de joliesse et de fraîcheur), les dialogues subtils et spirituels, la musique belle à pleurer.
    Une merveille d'humanité (l'histoire d'amour, celle du chien Earle alias Love-a-Lot), qui embrasse l'esprit d'une époque poétique qui ne reviendra plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2007
    Deuxième film d'Eastwood réalisateur, et peut-être son meilleur.
    Oeuvre injustement oubliée, Breezy est une comédie dramatique sentimentale sur la différence (d'âge, de milieu social, d'idéal...) magnifiquement filmée, dans une Californie splendide, sur l'une des plus jolies musiques de Michel Legrand.
    William Holden vieillissant (mais toujours très beau) y trouve un de ses rôles les plus touchants, et Kay Lenz est épatante (dommage que sa carrière n'ait pas décollé depuis).
    Quelques scènes magiques qu'on n'oublie pas : le chien renversé, l'accident de l'ex-femme, le sauna avec le copain, le dîner improvisé dans la cuisine...
    Clint Eastwood, dès le début de sa carrière de cinéaste, s'affirme comme un sentimental ; La Route de Madison, 20 ans plus tard, ne surprendra pas les amateurs de Breezy.

    Injustice : Breezy chef-d'oeuvre oublié, au profit du très médiocre "Play misty for me", précédente réalisation de Clint.
    Un oubli à réparer. Vivement la sortie DVD Zone 2 de Breezy !
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    228 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2007
    Premier des films réalisés par Eastwood et dans lesquels il ne joue pas. "Breezy", un de ses meilleurs films, narre l'histoire d'un amour impossible. Très touchant et simple, le film est un peu comme un Woody Allen de la grande époque, mais le coté 'comique psychanalitique' en moins. Une oeuvre rarissime, un des films les moins connus de Eastwood, et c'est bien dommage, car c'est un excellent film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2007
    Il y a comme ça des fims que l'on n'oublie jamais sans qu'on ait besoin de les revoir, qui nous accompagnent toute notre vie comme une petite musique de Michel Legrand, toute simple. Et pourtant si belle. Histoire d'amour impossible filmé par celui-là même qui, oubliant son art, signerait par la suite tant de films bourrins ou sur commande, jusqu'à retrouver quelque peu cette innocence perdue des 70's avec son autre chef-d'oeuvre Madison County, grâce à la sensibilité inégalable du jeu de Meryl surtout aussi, à qui le vieux Clint la réplique - telle la dernière supplique d'une âme vagissante - reprenant la route là où William Holden l'avait laissée trente ans plus tôt devant sa caméra, tentant de retenir malgré lui le bonheur qui toujours lui échappe... Sommes-nous donc condamnés à mourir de ne pouvoir aimer en âmes libres ? Mais cette âme aurait-elle été aussi bouleversée par cet amour jugé si exceptionnel si celui-ci eut été pérénnisé ? Clint mieux que quiconque peut-être a su traduire cette insoutenable légèreté de l'Amour "pur, qui garde ses mystères" (Sur la Route) au travers du visage d'une jeune actrice inconnue qui, à l'instar d'une Naomi Watts amoureuse éperdue de Mullholand Drive, allait cristalliser toute la détresse, la fragilité d'un amour subliminal, trop libre, trop rêvé pour être vivable plus qu'il ne peut l'être. L'affiche à ce titre, sublime, résume toute la pensée de l'auteur. Comme un générique de Truffaut (La peau douce) sur un air de flûte traversière (de Georges Delerue) ; une grâce éternelle auréole ce film tant universel qu'atemporel, loin de toutes contingence industrielle non exclusivement artistique. Loin de tout battage médiatique. Loin de toute récupération politique... Loin de tout, et pourtant si proche. Quintessence de l'être. Divin de l'âme. Âme flottant tel un nénuphar dans un champ de lotus d'une vallée d'Indochine... Oeuvre inaltérable. Impérissable. Imnarcescible Amour.
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Breezy est le premier film de Clint Eastwood dans lequel il ne joue pas. A partir d'un scénario digne d'un roman photo à deux balles il réalise un film rempli d'émotions, dépeignant avec finesse la complexité psychologique du couple central (admirable Kay Lenz). Pour son troisième essai derrière la caméra, Eastwood se place donc à l'opposé de ce qu'il incarnait exclusivement à ce moment de sa carrière: le héros du film d'action. Ce jalon intéressant montre des qualités inattendues à l'époque et que confirmera beaucoup plus tard "Sur la route de Madison". Avec le recul, le choix d'un scénario plus ambitieux lui aurait sans doute permis de réaliser un chef d'œuvre. Mais Peut-être n'avait il pas encore assez confiance en lui.
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