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    Breezy
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    76 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 août 2013
    film de classe plein de poesie rafraichissant kay lenz est retentissante vraie rayon de soleil ce film n'a pas eu sa place il est a classer tres haut dans la filmographie eestwoodienne quel dommage de n'avoir pas donne sa place a cette dame elle meritait davantage une carriere plus genereuse les bons n'ont pas toujours le meilleur merci de nous permettre de donner notre avis
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 202 abonnés 4 188 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 avril 2023
    « Breezy », troisième réalisation de Clint Eastwood et première où il n’apparaît pas à l’écran (hormis un caméo hitchcockien !), est aujourd’hui unanimement reconnu comme un joyau de sa foisonnante filmographie. Mal distribué par Universal qui avait accepté ce projet comme un cadeau fait à un acteur/réalisateur appelé à lui rapporter beaucoup d’argent, « Breezy » n’avait pas surmonté la déception du public de ne pas voir Eastwood au générique mais avait aussi pâti d’un sujet peu en rapport avec les thématiques jusque-là accolées au patronyme de l’acteur, essentiellement centrées sur celle du film de genre (policier, western). Eastwood avait pourtant initialement songé figurer dans son film mais il s’était jugé encore trop jeune pour incarner cet agent immobilier s’engageant doucement dans l’âge mûr et qui n’attend plus grand-chose de la vie notamment sur le plan sentimental après un divorce pénible. Bien lui en a pris tellement William Holden qui le remplace s’avère tout simplement excellent, projetant sur l’écran le mélange requis entre l’assurance tranquille de celui qui a réussi sa vie professionnelle et l’angoisse sourde s’infiltrant dans le corps et l’âme de celui qui sent l’âge gagner du terrain. Il faut profiter de l’occasion pour rappeler encore une fois le talent trop méconnu de William Holden qui se trouve alors sur une pente descendante en raison d’un alcoolisme récurrent. L’acteur vieilli prématurément a été une grande star dans les années 1950, récoltant au passage un Oscar (1953) pour son rôle de sergent peu recommandable dans « Stalag 17 » de Billy Wilder après avoir été le jeune scénariste bourré d’ambition à la fin tragique dans le mythique « Sunset Boulevard » (Billy Wilder en 1950). C’est pourtant lors de cette fin de carrière qui s’annonce que l’acteur va donner le meilleur de lui-même dans cinq films excellents. Tout d’abord « La horde sauvage » de Sam Peckinpah en 1969, « Deux hommes dans l’Ouest » de Blake Edwards en 1971, « Network » de Sidney Lumet en 1976, « Fedora » de Billy Wilder en 1978 et enfin « Breezy » qui nous occupe ici. Frank Harmon (William Holden) qui n’est pas encore tout-à-fait devenu un ours, croise un soir la route d’Edith Alice Breezerman (Kay Lenz), répondant au diminutif de Breezy, alors qu’elle rôde autour de sa superbe villa de Laurel Canyon sur les hauteurs de Los Angeles. La jeune femme à peine sortie de l’adolescence va décontenancer par son assurance, son enthousiasme et sa candeur celui qui s’apprêtait à gentiment « lâcher l’affaire ». Le sujet développé par Jo Haims, fidèle scénariste de Clint Eastwood avant qu’elle ne disparaisse prématurément en 1978, s’intéressant à la relation amoureuse entre un homme de plus de cinquante ans et une jeune fille de dix-sept ans, pouvait être facilement jugé scabreux. On n’ose en effet imaginer le sort réservé à un tel film en pleine ère « me too » . Ce qui à l’époque avait contribué à atténuer l’image machiste qui collait aux basques de Clint Eastwood, aurait en 2023, peut-être entravé pour un long moment la suite de sa carrière. Mais le réalisateur et sa scénariste ont parfaitement su agencer le rythme et la tonalité de leur film pour qu’il ne subsiste aucune ambiguïté sur la nature de cette relation qui pour incongrue qu’elle puisse paraître, n’affiche rien qui puisse permettre de la qualifier de contre-nature. Toutes les scènes d’intimité où la jeune actrice apparaît nue sont filmées avec une infinie délicatesse largement due à la définition du personnage masculin et à l’interprétation tout en retenue et en nuance qu’en donne un William Holden en parfaite osmose avec son réalisateur et sa jeune partenaire confondante de naturel en jeune provinciale venue vivre à L.A une aventure hippie qui touche à sa fin. Une interprétation de Kay Lenz très remarquée et remarquable qui ne lui a pourtant pas permis de confirmer par la suite sur grand écran. « Breezy », film d’amour complétement sincère qui démontre que par-delà les différences de générations et de conditions sociales ou culturelles, l’amour peut prendre racine et même fleurir sur un terrain aride pourvu que rien de malsain ne vienne le salir. Un très grand film de Clint Eastwood passé injustement inaperçu.
    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2013
    Une jolie petite histoire réalisé avec une grande finesse par Clint Eastwood, et interprété avec brio...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 janvier 2013
    Ce film retrace l'histoire d'amour entre un acheteur immobilier d'une cinquantaine d'années, célibataire endurci, (William HOLDEN) et une jeune hippie (Kay LENZ) qui change de toits comme elle change d'hommes.
    Ce type de relation, qui est rentré dans les moeurs aujourd'hui, était mal vu à l'époque.
    La force d'EASTWOOD est d'avoir su rendre leur relation crédible avec des dialogues pleins de répartie et justes. Surtout il excelle à montrer avec pertinence les conséquences de cet amour auprès de l'entourage du héros.
    C'est de la belle ouvrage agréable à regarder. A noter que ce film est le versant solaire d''Un frisson dans la nuit'', une de ses précédentes réalisations.
    cylon86
    cylon86

    2 549 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2012
    Dès le début de sa carrière de réalisateur, Clint Eastwood s'interroge déjà sur la vieillesse et la peur du temps qui passe. "Breezy" est un très beau film d'amour improbable où une jeune hippie un peu naïve (Kay Lenz, très mignonne et pleine d'énergie) rencontre un quinquagénaire grincheux qui ne croit plus en l'amour et qui le fuit (William Holden, très convaincant en vieux solitaire). Le scénario s'attarde sur la construction de leur relation où les préjugés (y compris ceux de William Holden) empêchent d'avancer. Mais jamais le film ne tombe dans le mélo ou la mièvrerie, résonnant toujours juste et teinte de mélancolie mais aussi d'espoir : qu'importe les probabilités, que l'amour soit présent est tout ce qui compte. Et l'on n'est pas prêts d'oublier la déclaration d'amour des deux personnages, Holden disant à Lenz "Bonjour mon amour" et elle lui répondant "Bonjour ma vie". Superbe.
    Jipis
    Jipis

    40 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2012
    Cette sucrerie mièvre et simpliste donnera du baume au cœur à tous les quinquagénaires riches de préférence espérant être subitement touchés par la grâce d'une jeune paumée visiblement intéressée par un long parcours avec le facies aux tempes grises d'un homme aigri aux portes de la vieillesse.

    Et en plus ça marche. C'est pour quand l'activation en temps réel de cette aguichante utopie ?
    manuinho
    manuinho

    5 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juillet 2012
    Sans doute que la morale de l'histoire veut qu'un homme élégant de la 60taine bourgeois aura bien plus de chance de découvrir le bonheur ( l'Amour ) suprême que s'il etait sans un sous , malgrès tout , ses deux acteurs forment une alchimie dévorante qui me permet de penser que ce film est d'un positivisme rare . Merci .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 juin 2012
    Un film léger, très léger un peu comme un conte de fée: un prince, vieux riche un peu grincheux, rencontre et tombe amoureux d'une bergère, une innocente hippie . La bergère apprivoise le grincheux
    moonboots
    moonboots

    60 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juin 2012
    un petit film d'Eastwood, pas d'une originalité folle mais plein de charme, les acteurs y sont pour beaucoup
    TommyDuke
    TommyDuke

    58 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 février 2012
    presque vingt ans avant Sur la route de Madison, Clint Eastwood signe sa première love story. Une histoire très touchante entre un quinquagénaire bourgeois et une jeune hippie, vingt ans de moins que lui. Le cinéaste ne joue pas dans le film et laisse place à un William Holden qui compose avec brio un célibataire au caractère rustre.
    Eastwood, avec sobriété, capte les personnalités et fait ressortir leurs états d'âme avec une très grande justesse. Il fait parler son expérience de vie à travers ce récit dur et tendre à la fois, à l'aide aussi d'un bon scénar et d'excellents dialogues nottement sur les rapports amoureux. On n'est pas vraiment dans la tension dramatique de Madison mais Breezy reste suffisament fort pour que l'on s'attache à ses personnages et à leur histoire sentimentale.
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 novembre 2011
    Un film sympathique sur l'amour compliqué entre un homme de 50 ans et une fille de 20 ans. Le film a quand même bien vieilli mais reste correct!
    stillpop
    stillpop

    83 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 septembre 2011
    L'histoire d'un vieux plein d'oseille qui tombe amoureux d'une hippie.
    Ce genre de résumé a le mérite d'être clair sur la grande originalité du scénario !
    Mais ce serait méchant de réduire ce film d'Eastwood à la caricature du démon de minuit. Surtout qu'à cette époque, il était plutôt jeune.
    Le ressenti est plus mitigé, tout est très sympathique, on y voit une certaine amérique à la fois immonde, machiste, sexiste et avide de fric, paumée, droguée et complètement à la masse, loin de l'idéal écologique d'aujourd'hui ou politique du socialisme radical.
    Et c'est au milieu de ces personnes à la fois peu agréables et très superficielles que l'on suit le cheminement de deux laissés pour compte, à leur manière. Qui vont évidement se trouver, même si, face à la « normalité » ambiante, ils auront quelques problèmes à résoudre, avant tout avec eux-mêmes.
    Ce qui fait la beauté du film, c'est le personnage de Kay Lenz, Clint lui a écrit des répliques d'un angélisme poétique, d'une tournure d'esprit ciselée au fer de la liberté de vivre et de penser. Il n'y a pas de poncifs, ce petit bout de fille est simplement original, pur, agréable à vivre, loin des habituels travers donnés aux marginaux.
    Holden lui, est parfait, dans le rôle du vieux beau passant son temps à éviter les attachements de toutes sortes, jusqu'au moment où il se rend compte que sa vanité et son orgueil lui coûte cher. Au moins psychologiquement. Heureusement, le goût du plaisir de la vie n'a pas disparu avec le désenchantement de l'agent immobilier de luxe. Et il va le redécouvrir avec Breezy. Voilà pour les fleurs bleues, une petite histoire d'amour sans grosses épines.
    Le scénario tient en deux lignes, l'action en une, la photo est du niveau normal de l'époque, seul les lieux sont Californiens en diable, et les voitures de 1970 sont extraordinaires. Dépaysement garanti, le film est tourné juste avant le choc pétrolier de 1973, les américains ne savent pas encore que l'American Way of Life va prendre du plomb dans l'aile à cause de l'entente des trusts pétroliers avec les Saoudiens pour faire monter les prix. Bref, de l'oisiveté choisie, on passera bientôt au SMIC subi.
    Le problème, c'est que si ce film était un peu sulfureux en 1970, surtout pour Clint qui n'a jamais été un hippie, aujourd'hui il ne fait que sourire devant si peu de folie.
    Il reste un beau personnage de lolita qui heureusement est mille fois plus intelligente. Le charme d'Holden opére ainsi de plus belle. Le côté comédie gentille est aussi intéressant. Un long métrage pour meubler, mais des choses plus prenantes ont été filmées depuis.
    Labouene
    Labouene

    21 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2011
    Bien avant "Sur la route de Madison", Clint Eastwood faisait étalage de son talent dans la veine sentimentale avec simplicité et pureté... William Holden (que je connaissais surtout pour son rôle dans "la Horde Sauvage") est excellent en quinquagénaire en crise, tandis que la "petite" et fragile Kay Lenz est tout bonnement magnifique de simplicité et de naturel, quel dommage de ne l'avoir jamais revue! Après "un frisson dans la nuit" et "l'homme des hautes plaines" (à l'affiche au cinéma dans le film "Breezy"!!!), Eastwood faisait plus que réussir ses débuts. En jetant un coup d'oeil à sa carrière de réalisateur, on peut vraiment se demander comment Eastwood a pu être accusé de fasciste et réactionnaire (même si sa carrière d'acteur est plus sujette à caution, l'inspecteur Harry par exemple...) alors qu'il faisait preuve d'un humanisme et d'une grande ouverture d'esprit dés ses premiers longs métrages... Aurélien Ferenczi de "Telerama" n'a toujours pas compris.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 septembre 2011
    Pâle copie de ‘Lolita’, ce deuxième film d’Eastwood en tant que réalisateur ne parvient pas du tout à émouvoir. Cette relation entre Frank (William Holden) et Breezy (Kay Lenz) n’est pas clairement montrée et ses motifs sont très vagues. C’est le cas dans l’original (le seul et le vrai sur les relations avec une grande différence d’âges) mais au moins le mystère avait un sens. Ici, l’ensemble est vide, Breezy est dénuée d’expériences, pleine de bons sentiments exaspérants et sans aucun intérêt (c’est une tête à claque d’une naïveté affligeante) alors que Frank manque légèrement de crédibilité. L’angoisse de la vieillesse et l’insouciance de la jeunesse des 70’s sont les deux thèmes du film. Le point fort aurait pu être le final rendant compte de l’impossibilité d’une telle relation. prend cela trop à cœur et ne se complait que dans la solitude et les conquêtes éclair et malgré ces oppositions, le dénouement tombe dans le classicisme le plus académique qui soit, à savoir des retrouvailles et un plan large sur fond de musique mièvre et ridicule. Le plus gros problème est que l’ambiance est trop datée, musique lancinante des années 70, vêtements flashy et vestes avec coudières en croute de cuir, restos à la déco au goût douteux. Clint Eastwood s’est arrêté bien vite sur sa lancée à l’époque et n’a tellement pas su dupliquer la verve de ‘Play Misty for me’ que l’on se demande à quoi on pourrait attribuer cette faute grave. Un film trop vieillissant.
    NeoLain
    NeoLain

    5 066 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2011
    Une des meilleurs réalisation du grand Clint. Breezy vous enivres certes avec une simplicité au niveau du scénario, mais son histoire est d'une fraicheur et beauté des plus belles à l'écran. Les prestations de la mignonne et fragile Kay Lenz et de l'acteur William Holden sont à l'unisson du coeur. Cette homme qui s'éprend petit à petit d'une fille beaucoup plus jeune que lui, difficile d'y résister face à la fragilité de cette fille si naturel. La vie peut-être étonnante et belle. Ne louper pas ce long métrage.
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