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    Black Rain
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    3,3
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    166 critiques spectateurs

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    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2022
    Purement inscrit dans son époque ce film de Rydley Scot est vraiment à tous points de vues un best of du réalisateur. Les couleurs et les éclairages font partis du film comme si elles étaient des personnages. Le scénario est passionnant et Michael Douglas ultra crédible en flic entêté. Un bon polar.
    JM Szn
    JM Szn

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2022
    vu aujourd'hui...un film magnifique
    je l'avais vu plus jeune...mais il ne m'avait pas autant marqué...cette fois-ci, j'ai apprécié la relation entre ces deux collègues de travail qui s'unissent pour venger la mort d andy garcia
    Mia Wallace
    Mia Wallace

    13 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2022
    Ridley Scott, son âge d'or. Encore aujourd'hui, Black Rain se regarde avec plaisir. Michael Douglas et Andy Garcia font une prestation digne de ce nom, le reste du casting est aussi impressionnant. L'histoire est prenante, originale de part son lieu, pleine de suspens et mêlant action et drame avec soin.

    Les scènes sont marquantes, la réalisation est travaillée, les jeux de lumières sont incroyables. Bref, une pure réussite !
    Santu2b
    Santu2b

    250 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2021
    La seconde partie des années 1980 est marqué par une première grande diversification pour Ridley Scott. En 1989 sort "Black Rain", polar porté par Michael Douglas et Andy Garcia. Le film marque d'ailleurs la rencontre avec le compositeur Hans Zimmer. Situé au Japon, le film mise beaucoup sur un humour basé sur les différences de culture et de méthode entre policiers américains et nippons. Magnifiquement filmé, "Black Rain" fait en effet figure de "Blade Runner" situé à l'époque contemporaine. L'ensemble reste conventionnel mais "Black Rain" démontre le talent de son auteur pour s'attaquer à plusieurs genre différents. Un polar noir et efficace à souhait.
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2023
    Mis en scène par Ridley Scott dans une esthétique très clippesque, un polar solide et efficace,
    qui confronte la culture ricaine et nippone avec malgré tout pas mal de clichés et quelques longueurs, mais porté par un casting séduisant et notamment un superbe Michael Douglas. 3,25
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    Un formidable film policier signé Ridley Scott. Le scénario nous fait suivre un duo de policiers new-yorkais qui se trouve confronté à des yakusas. Après avoir arrêté un yakusa à New York, ils sont containts d'escorter leur prisonnier au Japon. Mais à peine arrivé le prisonnier leur échappe. Mais ils décident de rester sur place pour le retrouver. Michael Douglas trouve ici un de ses meilleurs rôles. Il campe parfaitement ce policier obstiné prêt à tout pour remettre la main sur son prisonnier. A ses côtés, Andy Garcia incarne son adjoint, un jeune policer idéaliste qui cherche à remettre son équipier sur le droit chemin. La mise en scène très stylisée de Ridley Scott est une réussite et donne une image léchée du Japon et de son milieu mafieux. C'est d'ailleurs un des meilleurs de Scott. Un très grand film qui n'a pas pris une ride.
    Oli Marsch
    Oli Marsch

    1 abonné 33 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    Un thriller classique, un buddy movie un peu tiède au niveau humour et complicité, mais un film plus profond qu'il n'y parait. L'amitié forcée et frileuse entre les USA et le Japon à la fin des 80s est parfaitement retranscrite ici, jusqu'au bout puisque même avec la meilleure volonté, l'équipe de tournage n'a pas réussi à s'associer correctement avec les nippons (et vice-versa). Quelques scènes sont d'une beauté formelle assez fracassante si on aime le clinquant à la... Tony (!) Scott, Michael Douglas et Andy Garcia ont un charisme assez démentiel, et que dire de la B.O. de Hans Zimmer qui est un des plus grands classiques de l'histoire du soundtrack depuis 30 ans.
    pierrre s.
    pierrre s.

    429 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2021
    Un polar bien foutu et à l'esthétique soignée. Côté histoire, c'est assez conventionnel mais très efficace.
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    10 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2021
    Je ne suis pas un grand fan de Ridley Scott mais je gardais un souvenir plutôt bon de « Black rain ». Trente ans plus tard, la douche est un peu semblable à cette pluie noire qui s’abat sur le Japon. Pur produit des années 80 (qui n’a, pour le coup, pas donné beaucoup de bons polars), le film lorgne du côté de son frère Tony avec sa réalisation très clipesque, le rythme en moins. Michaël Douglas, toujours aussi charismatique, incarne un flic très caricatural aux méthodes expéditives, au vocabulaire fleuri et à la moralité douteuse qui se heurte forcément à la culture japonaise. Ken Takakura, tout en retenu, est parfait face à un Andy Garcia très « paccinesque » dans son jeu. Kate Capshaw complète le casting pour donner une touche féminine qui ne s’imposait pas.
    L’histoire n’a rien d’original et le film est sans surprise. Le flic amerloque, tête brûlée et tête de bois, ne va en faire qu’à sa tête justement pour atteindre son objectif, entraînant le rigide flic jap hors de ses sentiers battus. Dans une ambiance sombre (on n’est pas loin de « Blade runner ») avec de nombreuses scènes nocturnes ou grises, la musique très synthétique de Hans Zimmer, quelques éclairs de violence parfois gratuits, le film n’est pas inintéressant, loin de là, mais il accumule les clichés et appuie beaucoup trop ses effets (soleil couchant, soleil levant, ralentis, musique larmoyante ou pétaradante). Du coup, le film ne brille pas par sa finesse et se révèle très maladroit, le temps mettant en évidence plutôt ses faiblesses, ce qui n’est jamais bon signe.
    Le résultat n’est pas mauvais cependant et le film comporte ses moments de tension et d’action, mais c’est artificiellement poisseux et le tout est trop tape-à-l’œil pour être totalement convaincant. L’enchainement de péripéties parfois saugrenues manque ici ou là de tonus, et la fin laisse perplexe sur la véritable évolution de certains personnages. S’il demeure regardable, le film aurait gagné à être épuré dans sa mise en scène, à être plus nerveux dans son traitement et à être plus novateur au niveau de son récit. Autrement dit, il aurait été préférable que le fond soit plus recherché que la forme.
    SAVONAC
    SAVONAC

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 septembre 2021
    Les deux flics américains sont des cadors. Les flics japonais sont des nuls qui prennent des leçons et s'inclinent, soumis, devant le génie des deux occidentaux. Le Japon est un pays de caricatures peuplé de flics incompétents et stupides, de geishas soumises et ricanant bêtement, subjuguées qu'elles sont devant le charme des 2 compères. Les méchants ont des gueules pas possibles, avec rictus ou air crétin. Le reste, tout le reste est la description d'un pays moche, sous-développé.

    Voilà l'oeuvre de Ridley Scott, décidément capable du meilleur (Blade Runner, Gladiator, le trop méconnu "Traquée") comme du pire. Et là, on est bien dans le pire.
    Si Andy Garcia est supportable en beau gosse ironique, Michael Douglas est grotesque d'un bout à l'autre.

    Alors, soyons juste, la dernière partie qui voit le personnage de Douglas devenir moins con, sauve presque le film. Presque...

    Les cascades, poursuites, scènes de bagarre sont confondantes de bêtise et d'invraisemblance.
    Un dernier mot pour adresser mes condoléances au formidable acteur japonais, affublé d'un rôle ridicule et qui se nomme Takakura Ken. Mieux vaut revoir le palpitant "Yakuza" de Sidney Pollack où il est grandiose, film dont R. Scott s'inspire en partie pour l'attaque du repaire des brigands. Mais arrêtons là la comparaison entre un très grand film et ce minuscule ouvrage de R. Scott à ignorer par charité.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 juin 2021
    Tout d'abord je ne suis pas un snob du cinéma. J'aime les films d'action ridicules et j'apprécie un bon film policier des années 80. Il y a toujours une part de sexisme et d'insensibilité culturelle inhérente à tout film plus ancien cela fait partie de leur territoire. D'habitude je fais abstraction de tout cela je l'ignore ou j'en ris. Mais moins de 30 minutes après le début de ce film je me demande pourquoi la police japonaise n'a pas expulsé ces deux stupides policiers américains de leur pays. Michael Douglas joue le rôle de Nick un détective new-yorkais tout à fait détestable et sans aucune qualité apparente. Le film le présente comme le héros à problèmes avec des enfants une ex-femme des factures à payer et ces fichus flics des affaires internes qui le harcèlent. Il est peut-être un peu sale mais bon il est comme vous et moi. S'il a ses qualités mais vous les oubliez dès qu'il ouvre la bouche. Dans ce film il ne dit pas un mot à un ami ou un ennemi qui ne soit pas une sorte d'insulte montrant son attitude de dur à cuire son personnage de je suis un flic américain dur à cuire regardez comme je suis viril et brutal. Il débite tellement d'injures à tous les personnages qui croisent son chemin que j'espérais vraiment qu'il serait tué mais non pas de chance. Ridley Scott essaie de nous refaire une sorte de Blade Runner mais malheureusement Michael Douglas n'est pas Harrison Ford ni par ses manières ni par son style de jeu d'acteur...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2021
    Black Rain entretient une filiation très forte avec Blade Runner (1982), précédent long métrage de Ridley Scott, tant du point de vue de sa forme que de celui de son propos : soit une chasse à la créature dans une ville aux allures futuristes, insérant un flic à la morale douteuse dans une Babylone ultramoderne qui procède par fusions de la culture occidentale, venue « tuer » – comme son nom l’indique – la culture orientale. Même dégustation de nouilles, même importance accordée aux néons et au chaos urbain fait de dédales de rues et de ruelles que traversent des foules pressées. Le cinéaste prend le risque d’épouser le point de vue de son duo initial, deux Américains arrivés au Japon malgré eux et qui portent sur ce dernier un regard ethnocentrique et raciste : le bureau de police se transforme en un terrain d’observation que verbalisent deux camarades soucieux de dérider le sérieux environnant. Ce faisant, ils semblent apporter avec eux un chaos, à l’image de la bombe atomique qui frappa le pays à la fin de la Seconde Guerre mondiale ; ou plutôt, le dérèglement auquel ils assistent résulte d’une Faute passée, mémorielle en quelque sorte, dont ils héritent et qu’ils réactualisent par la faute morale de Nick : sa corruption. La tension entre l’Américain et le Japonais rejoue ainsi une rivalité politique entre deux puissances concurrentes dont l’une, jadis dominante, se voit rattrapée et battue par la technologie innovante : « l’avenir c’est nous », affirme fièrement Masahiro. La suite du film attestera le statu quo de deux modèles culturels stériles et cruels : l’Osaka de Masahiro rejoint le New York sans foi ni loi de Nick. Les deux policiers pleurent également la disparition de Charlie Vincent, dont la caractérisation angélique ainsi que les vêtements clairs assimilent à un agneau sacrifié, à un être pur qui, en pénétrant dans le chaos, voit sa pureté ternie. Sa décollation n’est en outre pas sans évoquer celle d’un saint bien connu. Avec Black Rain, Ridley Scott compose son propre Godzilla en le personnage de Sato, monstre cupide et sanguinaire né des bombardements américains : il cultive l’individualisme et l’auto-consécration, revendique sa liberté et son statut de Créateur indépendant des traditions et des aïeux qui la représentent. Il veut devenir oyabun, soit « le grand chef » responsable d’une famille ancestrale, alors qu’« il ignore la loyauté et le respect ». Son écriture manichéenne accentue l’abstraction qu’il figure, et son châtiment lui cause non de la douleur mais un plaisir sadique, preuve qu’il incarne un avatar de Satan – son prénom justifie un tel rapprochement. « Il se livre ici une guerre d’Enfer », indique Joyce aux Américains fraîchement débarqués. La rédemption finale de Nick achève de faire du long métrage une parabole biblique sur le rachat des fautes et sur la rédemption, cachée derrière un buddy movie stylisé, parfaitement rythmé et efficace.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    186 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 février 2021
    Un très bon film d'action assez classique en scénario (on aura droit à une déclinaison russe avec Double Détente). Une belle réalisation, et atmosphère, un jeu d'acteurs épatant. A voir et à revoir
    maxou1425.
    maxou1425.

    9 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2021
    Je comprend pas pourquoi ce film est aussi sous estimé il est pourtant très bon ce polar !!

    On a un Michael Douglas génial tout comme Andy Garcia et les autres acteurs, des personnages intéressants une super mise en scène de Ridley Scott sublimée par la photo de Jan de Bont qui nous offre une ambiance et une esthétique incroyable avec une ville d'Osaka très proche du Los Angeles du Blade Runner (mais également au début du film un New York bien crépusculaire)

    On a également un scénario des plus efficaces qui montre bien les différences entre les 2 pays/villes/personnages mais qui au final sont identiques dans leurs cotés sombres mais surtout une bande originale d'un jeune Hans Zimmer encore peu connu vraiment superbe.

    Pour ma part l'un des meilleurs de Ridley Scott.
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2020
    Le choc des cultures. Tout le film de Ridley Scott est construit sur ce décalage entre Douglas, flic magouilleur et un environnement auquel il est étranger et dans lequel il se débat. Et ça commence dès les relations avec son collègue. Andy Garcia, qui a laissé son côté sanguin, chien fou, au vestiaire, pour jouer les sages alors qu'il débute dans la police. Arrivé au Japon (photographié magnifiquement par De Bont), c'est pire. Il y a ces tours Kenwood énorme. Osaka, ce serait la technologie. Avec un poil d'arrogance. "Vous (sous-entendu les États-Unis), ce sont les films et la musique". Ce policier n'est pas forcément détestable. Il fait son boulot. Il a des résultats. Ce n'est pas un ripoux. Il magouille car sa situation personnelle (divorce, enfants, pension alimentaire, salaire qui ne suit pas) ne lui laisse pas le choix. Il va prendre goût petit à petit aux coutumes du Japon. Et je ne parle pas que des nouilles et d'apprendre à manger avec des baguettes. Il va prendre conscience qu'il y a un code d'honneur à respecter. Du coup, même s'il entame ce long voyage en traînant des pieds et qu'il pestera contre la rigidité des policiers japonais, il en sortira enrichi. Pourquoi cet excellent polar de Ridley Scott est aussi méconnu ? Pourquoi le DVD n'a-t-il pas connu le même traitement que celui de Gladiator ? Ou même de la plupart de ses autres films car Scott est connu pour soigner la sortie de ses œuvres en vidéo.
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