Une épopée culturelle, politique et humaine. A la fois outil de mémoire, leçon musicale et d'amitié, il adopte un ton personnel qui sait communiquer son enthousiasme. La spontanéité du vécu et des rencontres illumine les échanges musicaux tandis que le film joue sur le suspens d'un projet qui n'aboutit qu'après de multiples péripéties. "C’est ce qui en fait aussi un film sur le temps qui passe", dit Richard Minier. (...) Africa mia est ainsi une évocation sensible des premiers temps d'instabilité politique d'un pays qui vient de connaître à nouveau un coup d'Etat. Sans doute est-ce dans cette double résonance, historique et musicale entre deux continents, mais aussi dans l'engagement qu'il représente pour en rendre compte, que ce film trouve son impressionnante puissance. (lire l'intégralité de la critique d'Olivier Barlet sur le site d'Africultures)