Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ainsi, James Norton, qui joue d’habitude les classes bourgeoises comme une seconde nature, dépouille ici son interprétation et atteint l’apothéose en mêlant le fonctionnalisme et l’émotion (...).
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le cinéaste cadre de près le visage de James Norton, bouleversant en père malade, fatigué, les traits tirés, mais qui ne cesse jamais de sourire et de tenir la main de son fils, tant qu’il est vivant. On ne sait pas si Norton jouera Bond, mais on sait qu’il est un grand acteur dramatique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Par sa retenue et sa dignité, James Norton donne au film une incroyable force émotionnelle.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce long-métrage sur une mort annoncée est un beau film paisible et intègre sur la vie, portant haut son sublime message d’espoir et d’amour.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
James Norton, avec son accent rocailleux, son blouson rouge et sa casquette, est sensible et doux comme un rugbyman.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Coup de cœur pour ce mélodrame sur l'acceptation de la mort qui réussit à ne jamais glisser complètement dans le pathos malgré son sujet et une musique tire-larmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Le film évite l’écueil du pathos et guide le spectateur avec douceur et bienveillance dans un récit des plus sombres. Une œuvre profondément touchante, délicate, interprétée avec une grande justesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O’Neill
Feel good movie, peut-être, mais de catégorie bien supérieure, sur le lâcher-prise, et tout en retenue et en tendresse.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Uberto Pasolini évite tous les écueils du genre. Il déploie son intrigue sans pathos, au rythme de cet adulte dont les gestes sont calmes et doux, comme s’il profitait de chaque seconde pour être avec son petit garçon en s’assurant de son autonomie future.
Télérama
par Cécile Mury
Le comédien britannique incarne un John si tendre, si sobre et pudique qu’il fait de ce film un endroit comme aucun autre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Douceur et délicatesse sont au rendez-vous de ce film qui ne succombe jamais à la facilité et la surenchère du mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène est d’une sobriété salutaire, relayée par la prestation impeccable de James Norton qui prend sous son aile le petit Daniel Lamont, dont le charisme naturel est ravageur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Au-delà de cette histoire assez étonnante de casting d’une famille par anticipation, « Un endroit comme un autre » pèche par ses longueurs et par sa tristesse un peu trop appuyée, qui plombe un peu le récit. Dans le difficile rôle principal, James Norton, pressenti comme l’un des futurs James Bond, s’en tire très bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thomas Baurez
Tout est affaire de distance, de regard. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Uberto Pasolini tente de répondre par la retenue, préférant distiller des touches délicates plutôt que d’ouvrir les vannes du mélodrame. C’est pourtant ce parti pris qui enferre le film dans la lourdeur.
Le Monde
par Murielle Joudet
Mais avec une retenue excessive et une mise en scène plate, Uberto Pasolini condamne son film à la fadeur.
Libération
par Camille Nevers
Un mélo insipide et embarrassant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
Ainsi, James Norton, qui joue d’habitude les classes bourgeoises comme une seconde nature, dépouille ici son interprétation et atteint l’apothéose en mêlant le fonctionnalisme et l’émotion (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le cinéaste cadre de près le visage de James Norton, bouleversant en père malade, fatigué, les traits tirés, mais qui ne cesse jamais de sourire et de tenir la main de son fils, tant qu’il est vivant. On ne sait pas si Norton jouera Bond, mais on sait qu’il est un grand acteur dramatique.
Femme Actuelle
Par sa retenue et sa dignité, James Norton donne au film une incroyable force émotionnelle.
Le Dauphiné Libéré
Ce long-métrage sur une mort annoncée est un beau film paisible et intègre sur la vie, portant haut son sublime message d’espoir et d’amour.
Le Figaro
James Norton, avec son accent rocailleux, son blouson rouge et sa casquette, est sensible et doux comme un rugbyman.
Le Journal du Dimanche
Coup de cœur pour ce mélodrame sur l'acceptation de la mort qui réussit à ne jamais glisser complètement dans le pathos malgré son sujet et une musique tire-larmes.
Les Fiches du Cinéma
Le film évite l’écueil du pathos et guide le spectateur avec douceur et bienveillance dans un récit des plus sombres. Une œuvre profondément touchante, délicate, interprétée avec une grande justesse.
Positif
Feel good movie, peut-être, mais de catégorie bien supérieure, sur le lâcher-prise, et tout en retenue et en tendresse.
Sud Ouest
Uberto Pasolini évite tous les écueils du genre. Il déploie son intrigue sans pathos, au rythme de cet adulte dont les gestes sont calmes et doux, comme s’il profitait de chaque seconde pour être avec son petit garçon en s’assurant de son autonomie future.
Télérama
Le comédien britannique incarne un John si tendre, si sobre et pudique qu’il fait de ce film un endroit comme aucun autre.
aVoir-aLire.com
Douceur et délicatesse sont au rendez-vous de ce film qui ne succombe jamais à la facilité et la surenchère du mélodrame.
L'Obs
La mise en scène est d’une sobriété salutaire, relayée par la prestation impeccable de James Norton qui prend sous son aile le petit Daniel Lamont, dont le charisme naturel est ravageur.
Le Parisien
Au-delà de cette histoire assez étonnante de casting d’une famille par anticipation, « Un endroit comme un autre » pèche par ses longueurs et par sa tristesse un peu trop appuyée, qui plombe un peu le récit. Dans le difficile rôle principal, James Norton, pressenti comme l’un des futurs James Bond, s’en tire très bien.
Première
Tout est affaire de distance, de regard. Une réussite.
Cahiers du Cinéma
Uberto Pasolini tente de répondre par la retenue, préférant distiller des touches délicates plutôt que d’ouvrir les vannes du mélodrame. C’est pourtant ce parti pris qui enferre le film dans la lourdeur.
Le Monde
Mais avec une retenue excessive et une mise en scène plate, Uberto Pasolini condamne son film à la fadeur.
Libération
Un mélo insipide et embarrassant.