Israël, le voyage interdit - Partie II : Hanouka : Critique presse
Israël, le voyage interdit - Partie II : Hanouka
Note moyenne
2,7
7 titres de presse
Transfuge
La Croix
Le Monde
Télérama
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Transfuge
par Serge Kaganski
Algérien, marxiste, antisioniste, le cinéaste Jean-Pierre Lledo a opéré un lent et tardif retour vers ses racines maternelles juives. Cette bascule existentielle est le sujet d’"Israël, le voyage interdit", film-fleuve qui sonde la société israélienne et la pensée juive.
La Croix
par Céline Rouden
Nulle objectivité à attendre du cinéaste dans ce cheminement personnel au cours duquel il se défait de son ignorance et de ses préjugés vis-à-vis du pays pour renouer avec une identité longtemps refoulée. Mais il y a des rencontres poignantes, des personnages atypiques, ainsi que les multiples histoires racontées par tous ceux qui un jour ont trouvé, ici, un refuge.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Road -movie au long cours qui, pendant onze heures, nous fait avaler des kilomètres en voiture, traverser des paysages désertiques, des jardins flamboyants, des villes, des villages, des places et des marchés bondés. Qui surtout nous fait voir des visages et croiser des personnalités dont la diversité enchante.
Télérama
par Marie Cailletet
Cette quête éminemment intime vaut par quelques échanges lumineux, mais irrite par ses approximations.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
En dédiant ce volet de sa quadrilogie à son oncle maternel parti vivre en Israël en 1961, Jean Pierre Lledo entend payer une dette car jamais plus, alors même qu’il l’aimait, il n’eut avec lui la moindre relation. Hanouka, ou l’analyse brouillonne de ce remord.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Le récit foisonnant aurait gagné à être plus resserré.
Première
par Sophie Benamon
C’est un peu répétitif parfois. La longueur de ce docu (11 heures) en rebutera certains mais passionnera ceux qui s’intéressent aux relations entre Israël et le monde arabo-musulman.
Transfuge
Algérien, marxiste, antisioniste, le cinéaste Jean-Pierre Lledo a opéré un lent et tardif retour vers ses racines maternelles juives. Cette bascule existentielle est le sujet d’"Israël, le voyage interdit", film-fleuve qui sonde la société israélienne et la pensée juive.
La Croix
Nulle objectivité à attendre du cinéaste dans ce cheminement personnel au cours duquel il se défait de son ignorance et de ses préjugés vis-à-vis du pays pour renouer avec une identité longtemps refoulée. Mais il y a des rencontres poignantes, des personnages atypiques, ainsi que les multiples histoires racontées par tous ceux qui un jour ont trouvé, ici, un refuge.
Le Monde
Road -movie au long cours qui, pendant onze heures, nous fait avaler des kilomètres en voiture, traverser des paysages désertiques, des jardins flamboyants, des villes, des villages, des places et des marchés bondés. Qui surtout nous fait voir des visages et croiser des personnalités dont la diversité enchante.
Télérama
Cette quête éminemment intime vaut par quelques échanges lumineux, mais irrite par ses approximations.
Les Fiches du Cinéma
En dédiant ce volet de sa quadrilogie à son oncle maternel parti vivre en Israël en 1961, Jean Pierre Lledo entend payer une dette car jamais plus, alors même qu’il l’aimait, il n’eut avec lui la moindre relation. Hanouka, ou l’analyse brouillonne de ce remord.
Ouest France
Le récit foisonnant aurait gagné à être plus resserré.
Première
C’est un peu répétitif parfois. La longueur de ce docu (11 heures) en rebutera certains mais passionnera ceux qui s’intéressent aux relations entre Israël et le monde arabo-musulman.