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T-rexx
18 abonnés
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1,0
Publiée le 5 juillet 2021
Une fois de plus, le politiquement correct américain a frappé ! On a le héros black, amoureux de la brave fille blanche, le couplet anti- Blanc sortant de la bouche d'un argentin marié à un BG blanc et insipide (tampon LGBT garanti !), la dénonciation du méchant capitalisme par le biais d'un promoteur de projet de pipeline, le couplet écolo bon marché etc. Tout y est ! Il n'y a rien de très convaincant dans cette histoire. Reste la photographie, plutôt pas mal, le jeu des acteurs et une petite once d'humour qui, au début est plaisante, mais qui finit par devenir transparente. C'est tout. Vivement le moment où toute cette vague affligeante de bonnes pensées sirupeuses, culpabilisantes et moralisatrices bon marché prendra fin !
"C'est qui le loup ?" Voilà comment résumer au plus simple cette adaptation du jeu vidéo "Werewolves Within", lui-même basé sur le jeu de rôle "Les Loups-garous de Thiercelieux" (ne connaissant ni l'un ni l'autre, je ne m'aventurerai dans aucune comparaison), sympathique partie de cluedo en live-action où le coupable à trouver n'est autre qu'un loup-garou voulant croquer la petite communauté gentiment barge et isolée de Beaverfield.
À la réalisation, on retrouve Josh Ruben, révélée par son excellent premier long-métrage "Scare Me" qui, cette fois, délaisse l'écriture et l'interprétation pour se concentrer sur la seule mise en scène de ce whodunnit, clairement imprégnée de sa capacité à offrir un tempo comique tout aussi généreux que soutenu et celle de faire la part belle à un rôle féminin de premier plan pour bousculer le héros dans ses certitudes. En ce sens, Milana Vayntrub est la grande révélation de "Werewolves Within", l'alchimie sentimentale et désinvolte du duo entre son rôle de jolie factrice et celui du nouveau ranger en manque de confiance (Sam Richardson) sera pourvoyeur d'un lot conséquent d'étincelles dès les premiers instants du film et brillera à chaque fois qu'elle sera remise sur le devant de la scène ! Pour le reste, "Werewolves Within" saura toujours se montrer amusant, jouant comme attendu à fond sur la caractérisation décalée de ses personnages, plus souvent prompts à s'invectiver égoïstement entre eux qu'à chercher la vérité. Évidemment, en rebondissant sur certaines volte-faces plus ou moins inattendues et la menace lycanthropique, le film entretiendra le suspense sur les tenants et aboutissants de son joyeux jeu de massacre jusqu'à ce que sa révélation finale tant attendue survienne mais il aura aussi tendance à se cantonner à une folie douce parfois trop standarde. Le résultat aura beau être ainsi très divertissant (on ne voit vraiment pas le temps passer) et efficace en termes d'humour noir, il manquera toujours à "Werewolves Within" un palier de plus à franchir pour réellement espérer devenir une petite référence marquante en sa catégorie. Cela dit, si vous avez envie de jouer à deviner qui est le loup-garou, ne boudez pas votre plaisir, Josh Ruben vous a réservé une partie grandeur nature où il est bien difficile de s'ennuyer, les nombreux sourires qui accompagnent sa découverte en sont la meilleure preuve.
Film au scénario ridicule , aux acteurs nullissimes , aux effets spéciaux pathétiques . A fuir absolument sous peine de transformation en lycan pour de bon ...
Cette adaptation d’un jeu vidéo où l’on doit trouver qui est le loup-garou parmi plusieurs suspects n’était franchement pas nécessaire. « Loup-garous » fait le pari de la comédie horrifique, c’est-à-dire du grand écart délicat entre le rire et les frissons. Rares sont les œuvres mémorables dans qui performent dans ce type de mélange des genres. Preuve est de constater que ce microscopique film ne fait pas vraiment rigoler, pas plus qu’il n’effraie d’ailleurs. Pour autant, cette pantalonnade se laisse regarder avec plaisir, un peu comme un divertissement inoffensif destiné à combler des journées pluvieuses ou des soirées où on veut se vider l’esprit et regarder quelque chose de léger. Ce qu’est clairement cette petite série B insignifiante.
Ici on a donc un petit bourg enneigé où des habitants vont se retrouver piégés dans un hôtel avec ce qui semble être un lycanthrope à leurs trousses. « Loup-garous » est donc un mélange de deux genres proches (le whodunit à la « A couteaux tirés » et le slasher teinté d’humour à la « Scream ») saupoudré d’une bonne dose d’humour. Problème, on ne sursaute jamais et on n’a pas plus de sueurs froides et rares sont les gags ou situations qui nous font sourire. Tout cela est téléphoné et seul l’identité du coupable parvient à nous maintenir en haleine ainsi que quelques situations décalées dûes aux personnages hauts en couleur. Des personnages tous assimilables à des clichés sur pattes même si on peut dire que dans ce genre de films c’est fait exprès. Entre le couple de rednecks, le couple gay, la doctoresse frigide, le shérif black ou le chasseur plein aux as, le panel est varié et donne lieu à quelques dialogues bêtes et méchants mais plutôt amusants. Ce ne sont que des silhouettes destinées à se faire tuer, mais le jeu de massacre est assez plaisant vu la débilité assumée de la grande majorité d’entre eux.
Le rebondissement final est un peu réchauffé mais il y a assez de surprises et le rythme est assez soutenu pour qu’on ne trouve pas le temps long. Malheureusement c’est tellement pauvre en sang, dépourvu d’originalité, peu rigoureux dans la justesse d’écriture et la direction d’acteurs et surtout doté d’un budget que l’on sent ridicule, qu’il est difficile de prendre cette bobine proche de la série Z au sérieux. C’est le genre de film totalement adapté pour rigoler entre potes entre deux bières et un joint. Quelques trouvailles dans les mises à mort et le contexte de ce petit village de montagnes perdu viennent donner un peu de peps à ce « Loup-garous » qui sera aussi vite oublié qu’il a été vu.
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Petite comédie sympas et sans prétention où l'on a l'impression de plonger dans un Cluedo des la deuxième partie. Après les présentations plutôt originales des rares habitants qui seront tous aussi suspects les uns que les autres, la "partie commence". C'est parfois drôle, mise en scène burlesque dans un décor nocturne, et cela fait rarement peur. Voilà un petit divertissement aux personnages ultra clichés dont le final de l'histoire est un peu brouillon à mon sens.
Les critiques sont dures. Oui le film cassera pas 3 pattes à un canard mais il mérite d'entre vu avec toutes les daubes qui déboulent en ce moment. Personnellement j'adore le coté déganté sans limite incarné par les personnages, cette humour de bas étage qui ne convient peut être pas à tlmd en tout cas pour moi la sauce a prise. Ne pas avoir d'attente particulière et on passe un moment sympa.
Les personnages sont chiants , pas attachants et en plus parfois totalement cons. Les acteurs jouent aussi mal les uns que les autres mais j'étais pourtant très content de voir Wayne Duvall ( The Hunt ) et Harvey Guillèn ( IZombie , les Thundermans ) mais les 2 comédiens jouent aussi mal que les autres. Les musiques sont assez anodines. Le peu d'effets spéciaux du métrage sont merdiques. Les dialogues sont la moitié du temps futiles cherchant un quart du temps à apporter de l'humour , humour qui d'ailleurs ne fonctionne pas n'arrachant même pas un rictus. En plus l'identité du lycanthrope est cliché au possible et tellement évidente. Et même si les 30 dernières minutes sont divertissantes , elle ne sont pas du tout cohérente et en plus sont sans intérêt .
Jamais je ne comprendrai jamais pourquoi des studios, des boîtes de prod US, mettent du pognon sur de pareilles daubes. tout est mauvais : le scénar et la réalisation pour commencer, puis suivent des acteurs plus mauvais les uns que les autres, des SFX que j'aurai pu faire sur mon Amstrad MO5 de l'époque...etc... Bref, une vraie bouse ce truc.
Adapté du jeu vidéo du même nom, "Werewolves Within" se déroule de nos jours contrairement à ce dernier qui prenait place dans un village médiéval. Pour le reste, le concept reste sensiblement le même avec ici les habitants d'une petite ville coupée du monde suite à une tempête qui doivent trouver qui est le loup-garou qui se cache parmi eux. Il s'agit presque d'un huis clos donc il ne faut pas s'attendre à un vrai film de loup-garou avec une traque ou à un déroulement dans le style d'un slasher. Le film écrit par Mishna Wolff a un petit côté "Knives Out", mais sans que ce soit aussi réussi, maitrisé ou plaisant à suivre. À vrai dire, le film aurait vraiment pu être génial, mais il lui manque quelque chose. Je n'ai pas spécialement été pris par cette "enquête" qui n'en est d'ailleurs pas vraiment une. Au-delà de son scénario finalement très décevant, les personnages n'ont aucun intérêt. Milana Vayntrub est géniale lors des rares moments où elle est mise en avant, mais le reste... Comme quoi, ce n'est pas parce que les personnages sont "déjantés" sur le papier que la magie opère ou que l'alchimie prenne. J'avais bien apprécié "Scare Me", le précédent film de Josh Ruben qui était un huis clos simple, inventif et efficace seulement, ce nouveau film ne m'a jamais pleinement convaincu.
Un film qui ne me laissera pas un grand souvenir, mais qui "se laisse voir" selon l'expression (consacrée par beaucoup de spectateurs). Quelques passages amusants et surprises.
spoiler: C'est l'histoire d'un black qui fait des gros efforts pour s'assimiler dans une communauté qu'un monstre poilu préfère commencer à manger.
The Werewolves Within débute avec beaucoup d'atouts: des décors magnifiques, des personnages hauts en couleur, une réalisation rythmée, de l'humour et des acteurs "au poil", le tout appuyé par un consensus critique RT (trop) flatteur.
Malheureusement ce qui est vendu comme un film d'horreur / comédie à lycanthropes est en fait un Agatha Christie façon Loups-Garous de Thiercelieux. Le film est une "enquête" menée avec suffisamment d'entrain et de dynamisme pour ne pas lasser mais elle laisse également sur sa faim. Les personnages sont trop caricaturaux et politiquement correct: le gentil black, le couple gay, le capitaliste et son pipeline, la factrice trop jolie pour être vraie, la vieille veuve un peu folle, le couple de prolos rednecks, l'ermite au fond de la forêt... Nos personnages de Cluedo semblent déjantés mais le film reste trop sage. Les dialogues manquent de travail, de fulgurances et de drôlerie. Car si les dents se dévoilent en sourire à plusieurs reprises on ne rie pas et on a encore moins peur. Y compris lors d'un final dont les rebondissements deviennent vraiment abracadabrantesques.
Au final un divertissement agréable mais dispensable
Film sans prétention autre que divertir, le contrat est rempli pour moi. On n'est pas en présence ici du film de l'année, mais pour un DTV, c'est honnête. On suit ce groupe de personne parmi lequel se cache un tueur, suspecté d'être un loup-garou. Les personnages ont chacun une personnalité haute en couleur et le film de par sa durée et sa réalisation assez efficace est fait d'une façon où on ne s'ennuie pas. Aprés, vu une fois et on en restera là, mais le moment passé ne fût pas mauvais.