Mon compte
    Toubib
    Note moyenne
    3,7
    115 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Toubib ?

    25 critiques spectateurs

    5
    13 critiques
    4
    8 critiques
    3
    2 critiques
    2
    1 critique
    1
    0 critique
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Yetcha
    Yetcha

    907 abonnés 4 418 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2025
    Un excellent documentaire sur ce cursus finalement mal connu et les difficultés qu'elle comprend. L'idée du frère réalisateur en herbe à l'époque fait de ce témoignage en direct reste et restera un élément essentiel de notre société et de la difficulté du monde de la santé. Très intéressant
    Arcalexxx
    Arcalexxx

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 novembre 2024
    Le film Toubib réalisé par Antoine Page est une véritable pépite cinématographique qui conjugue humanité, émotion, et réalisme avec une finesse rare. Ce drame poignant, centré sur la vie d’un médecin urgentiste, transcende les simples codes du film de genre pour offrir une réflexion puissante sur l’engagement, le sacrifice et les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les soignants. Dès les premières minutes, Antoine Page parvient à capter l’attention avec une mise en scène immersive et un rythme parfaitement maîtrisé, plongeant le spectateur au cœur de l’action et de l’intimité de ce métier à la fois exaltant et éprouvant.

    Le jeu des acteurs est exceptionnel, avec une mention spéciale pour l’interprète principal qui incarne le médecin avec une intensité bouleversante. Il réussit à transmettre toute la complexité de son personnage : à la fois héros du quotidien et être humain vulnérable, en proie à ses propres doutes et fragilités. Les seconds rôles sont également magnifiquement interprétés, apportant une profondeur et une richesse au récit. Chaque personnage, qu’il s’agisse des patients, des collègues ou des proches, semble authentique, contribuant à ancrer le film dans une réalité poignante.

    Le scénario, brillamment écrit, mêle habilement des moments de tension dramatique et des instants de tendresse. Il explore les relations humaines avec une sincérité désarmante, abordant des thèmes universels comme la maladie, la mort, l’espoir, et surtout l’amour du métier. Antoine Page évite le piège de la caricature ou de la surenchère émotionnelle, préférant miser sur une approche sobre et nuancée. Cette sobriété confère au film une force émotionnelle brute, qui reste gravée longtemps après le générique final.

    La réalisation, quant à elle, est un véritable tour de force. Antoine Page adopte une esthétique épurée, où chaque plan semble pensé pour refléter l’état d’esprit des personnages. Les scènes d’urgence, filmées avec une précision quasi-documentaire, alternent avec des moments d’introspection, où la caméra capte avec subtilité les regards, les gestes, et les silences chargés de sens. Le choix des lumières et des couleurs contribue à créer une atmosphère tantôt oppressante, tantôt apaisante, en écho aux montagnes russes émotionnelles vécues par le personnage principal.

    Un autre aspect remarquable du film est la manière dont il traite le système de santé et les pressions qui pèsent sur les soignants. Sans tomber dans le militantisme, Toubib offre un regard lucide et sans concession sur les défis quotidiens de ces professionnels : les horaires harassants, les moyens insuffisants, et le poids émotionnel d’un métier où chaque décision peut avoir des conséquences irréversibles. Cette dimension sociale enrichit le propos du film, en lui conférant une portée universelle.

    La bande originale mérite également d’être saluée. Discrète mais envoûtante, elle accompagne le récit sans jamais le surcharger, renforçant l’immersion et les émotions du spectateur. Les choix musicaux reflètent à la perfection les différentes tonalités du film, ajoutant une dimension supplémentaire à l’expérience.

    En définitive, Toubib est une œuvre profondément humaine et marquante. Antoine Page livre un film d’une intensité rare, qui parvient à toucher au cœur tout en interrogeant la société sur des questions essentielles. C’est un hommage vibrant aux soignants, mais aussi une exploration intime de la condition humaine dans toute sa complexité. Ce film est à voir absolument, que l’on soit passionné par le monde médical ou simplement à la recherche d’un récit puissant et authentique.

    En sortant de la salle, on ne peut qu’être admiratif devant la maîtrise de ce film et reconnaissant envers Antoine Page pour avoir su capturer avec autant de vérité et d’émotion la réalité d’un métier souvent méconnu. Toubib n’est pas seulement un excellent film, c’est une expérience humaine inoubliable. Très bon film !
    Haddadkarel
    Haddadkarel

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 novembre 2024
    Ce film est passionnant, par sont histoires touchante et la passion mis dans ce documentaire. Foncée
    Je recommande fortement
    Taem Maet
    Taem Maet

    77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2024
    modeste, authentique, frais, filmé avec beaucoup de simplicité et d'émotions, de réflexion sur le métier de médecin généraliste
    Mary-Jane P
    Mary-Jane P

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    C est un film prenant par sa vérité , on accroche tout de suite à l histoire de ce jeune étudiant en médecine et on le voit évoluer.

    Magnifique et gros travail de montage et une musique qui accompagne bien ( j ai adoré le morceau joué à la guitare.)
    Bravo!
    Bouvier Eric
    Bouvier Eric

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2024
    Film plaisant. Film pas moralisateur, mais qui prête a réfléchir. On s'attache a Angel tout au long de son histoire.
    Didier Roland
    Didier Roland

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 octobre 2024
    Un film tragiquement long et ennuyant
    Une série de cut scènes brutes et malheureusement inintéressantes.
    Pour être médecin et avoir fini l’internat depuis 5 ans, ce « documentaire » est très loin de refléter et de détailler un minimum les études. On sort donc du cinéma en se demandant quel était l’intérêt de ce visionnage, hormis être un film souvenir à ressortir lors d’un mariage ?
    De plus à la fin on nous parle de 12e année… non les méd gé ne font pas 12 ans mais 9 années d’étude (sauf s’il compte ses 3 redoublements, mais 10 années à redoubler la 1ere année de fac ne fait pas de nous un Bac +10).
    Le plus probable étant que ce héro qui nous bassine d’un discourt politique sur les déserts médicaux (dixit « il faut voter gauche »), s’écroule quand on sait que ceux qui passent leur thèse bien après la fin de l’internat font des remplacements et très souvent juste quelques jours par semaine. Ils contribuent donc eux même à cette désertification.
    Bref même en dehors de ça le film reste ennuyant et même pour un néophyte de la médecine il n’y a aucune expérience à en tirer.
    L’une des pires séances de mes 10 dernières années
    Isabelle K.
    Isabelle K.

    3 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Toubib, un documentaire d’Antoine Page

    Un docu touchant et profond : Antoine filme son frère Angel pendant 12 ans, de sa première année de médecine à la douzième, sur une bande-son de leurs vies entremêlées alliant musique et cinéma. Angel évoluer tout en conservant une apparence juvénile. Proche de celle qu’il affiche à ses 11 ans, lorsque leur père, médecin-généraliste, meurt, comme si ce stade était indépassable.

    Les premières années, c’est un apprentissage par-cœur : ni sens ni réflexion. Des connaissances emmagasinées. Des plages horaires de travail strictes : 8h-midi, 13h-19h, 20h-minuit. Ça laisse peu de place pour les loisirs, les amis, la famille. L’objectif est le concours : Angel termine 5ème. Viennent les années à l’hôpital. Angel choisit le dispositif Erasmus. Première expérience hors de la famille, en coloc, entre cafards et étudiants. Angel goûte le célibat et apprécie la routine qu’il se construit. Il a trouvé sa place et comment l’investir. Retour en France où il acquiert son indépendance et loue son premier appart. C’est le temps de l’Internat et des stages. Il sillonne la France au gré des saisons. À l’hôpital, le temps est plus administratif : la rentabilité s’impose au détriment des valeurs incarnées par le serment d’Hippocrate. Dans les villages, une médecine de proximité renforce sa conviction d’avoir « fait médecine », surtout lorsqu’il est question de favoriser les conditions de départ de ceux résolus à mourir chez eux, auprès des leurs. "Merveilleux" : Angel est fier d'y avoir contribué.

    Au départ il ne sait pas très bien pourquoi il entame ce cursus, tout en étant convaincu qu’il dépassera le découragement, le doute, la bureaucratie. Ce n’est pas l’humain qui l’intéresse dit-il. Il raisonne en termes de perspectives : quel est l’enjeu de la médecine dans nos sociétés occidentales ?

    Peu à peu, l’humain prend toute la place. Angel sera généraliste et conscientise l’absence du père et sa profession. Vivre sans père, c’est se forger une carapace et tracer. La médecine, paradoxalement l’invite à ralentir et à faire preuve d'humanité. En France, les hôpitaux des villes sont équipés à la pointe de la technologie : d’un point de vue technique, les équipes peuvent tout réaliser. À tel point, qu’ils ignorent l’humain, au profit de la perf’. Ailleurs en Europe, plus à l’Est, il a vécu l’inverse : l’économie de moyens qui rend les médecins plus soucieux des diagnostics, afin de soigner au plus juste. Ils n’ont pas le droit à l’erreur. Ailleurs, la santé est un privilège. Pour nous, elle est tout acquise, on n'y réfléchit plus.

    À mesure que sa pensée se politise, Angel décide de prendre du recul : une année sabbatique pendant laquelle il devient berger, allant jusqu’à accoucher une jument. À ce stade, il a pointé dans tous les services : obstétrique, gynécologie, traumatologie…

    En 2013, il fait part d'une approche visionnaire de la médecine : il s’imagine en médecin itinérant, s’investissant à fond en rase-campagne où les services publics et petits commerces ont déserté, quelques mois, avant d’exercer dans d’autres contextes moins chronophages et sans doute, moins relationnels. Angel en est convaincu : le médecin de famille est un personnage d’un autre temps. L'heure est à la flexibilité. Au médecin de s’immerger au plus près des patients, selon un traitement équitable pour tous, sur tout le territoire.

    "La médecine, c’est simple" conclut-il : "Une part de connaissances techniques, et de l’observation". Un sens qu’il apprend à développer dans une structure associative installée dans les quartiers Nord de Marseille, fonctionnant avec une équipe pluridisciplinaire (infirmiers, médecins, chirurgiens, traducteurs). Un centre de soins communautaire où tout est mutualisé, dans une grande maison au pied des cités, et réparti avec équité jusqu’aux salaires entre les femmes et les hommes. On n’est plus dans l’esprit de compétition : le caducée se détend. Ces douze années prennent d’un seul coup tout leur sens : Angel est utile, administrant une médecine concrète et sans contrainte.

    Un film qui m’a fait réfléchir en tant que patiente, après avoir emménagé dans une ville où je n’ai pas trouvé de médecin disponible depuis un an. Plus aucun généraliste n’accueille de nouveaux patients, dans la ville et dans les communes avoisinantes. Un jeune médecin expérimenté, réserviste de défense et de sécurité intérieure (médecine d’urgence, du sport, générale, thérapeutique, télémédecine) a eu l’idée géniale de mettre son expertise au service de ceux désormais éloignés des soins. Dans un Algeco, il reçoit sur rendez-vous le soir de 20h à minuit, les week-ends et jours fériés, après (en plus de) son propre job. On réserve son créneau sur le net en fonction des disponibilités proposées au jour le jour, et de la problématique (une cinquantaine de motifs identifiés, brassant tous les cas ou presque, d’une médecine généraliste). Efficace, simple et convivial.

    En matière de système de santé en état limite, je laisse le mot de la fin à Angel Page : "L’urgence, est une politique de gauche". "Comme la culture", renchérit son frère réalisateur qui a autofinancé son film à travers La Maison du Directeur.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 435 abonnés 7 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2024
    Angel, 18ans, vient d’obtenir son bac et se lance dans de longues études pour devenir médecin. Son frère Antoine, 31ans, décide de le filmer en suivant son parcours. Un tournage au long cours, puisqu’il durera 12 années, ponctuées d’apprentissage, d’examens, de stages, les premières consultations, …

    Toubib (2024) est un journal de bord passionnant qui nous plonge en plein coeur du cursus d’études médicales de son jeune frère. Sous la forme d’une immersion intime d’un futur médecin, on suit pas à pas les doutes et l’apprentissage de cet étudiant en médecine (et sa discipline de fer pour emmagasiner tout ce qu’il soit apprendre), tout en nous faisant découvrir de l’intérieur le microcosme hospitalier.

    Année après année, on suit Angel dans ses études (le 1er cycle, puis le 2ème et le 3ème, soit une décennie d’apprentissage), alternant avec des examens, des stages dans divers hôpitaux de l’hexagone et ses années en externat (lui permettant de s’essayer à plusieurs spécialités telles que la gynécologie, la pédiatrie, la pneumologie ou encore l’orthopédie). Passé la 10ème année, il endosse (enfin) la blouse blanche de médecin de ville (lors d’un remplacement), avant celle de médecin de campagne (là aussi, pour un remplacement). Ce qui lui permet de découvrir deux univers diamétralement opposés entre le monde rural et urbain.

    Ce qui est intéressant ici, c’est que l’on assiste à l'évolution, non seulement physique mais surtout psychologique de ce jeune médecin en devenir. De ses doutes et questionnements (à ses débuts) à son entrée dans la vie active plus d’une décennie plus tard. Un documentaire qui n’est pas sans rappeler d’autres, sur le même sujet, tels que Premières urgences (2022) et ses jeunes internes ou plus récemment Sauve qui peut (2024) et ses jeux de rôles pour former les thérapeutes de demain.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    elisabeth87
    elisabeth87

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2024
    Très joli moment de cinéma ! Une belle complicité entre le réalisateur qui filme avec tendresse son frère pendant ce long et difficile parcours.. Très touchant, Beaucoup de fond et de questions soulevées sur l'évolution de la médecine et du système de santé en France. Ce film-documentaire mériterait d'être bien plus largement diffusé au grand public vu l'actualité !! Grand bravo
    Yves G.
    Yves G.

    1 518 abonnés 3 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2024
    Pendant douze années, de sa rentrée en première année de médecine à Besançon jusqu’à la soutenance de sa thèse en 2021 à la Timone à Marseille, Antoine Page a filmé son frère cadet.

    On pourrait croire le sujet ultra balisé. Il l’est. L’hôpital en général, la formation des jeunes médecins en particulier ont fait l’objet d’une palanquée de fictions et de documentaires. Il suffit de citer "Hippocrate" ou "Première Année". Le réalisateur Thomas Lilti semble s’être même fait une spécialité de ce sujet au point de l’ériger en nouveau genre cinématographique.

    Pour autant, ce "Toubib" réussit à surprendre et à émouvoir.

    On ne peut d’abord qu’être admiratif devant l’ambition de ce projet au long cours mené sur plus de dix années. On imagine les écueils qu’il a rencontrés, les aléas qu’il a subis. Combien de fois le réalisateur ou son frère ont-ils failli y renoncer avant de finalement le mener à bien et lui conserver, grâce à un montage intelligent, son unité ?

    "Toubib" nous parle de médecine. Il interroge la formation des futurs médecins, obligés, durant la première année, à un bourrage de crâne qui sollicite moins leur intelligence que leur mémoire et leur endurance. À rebours des valeurs portées par la profession, la sélection ne retient pas les plus humains ni les plus altruistes, mais les plus endurants et les plus déterminés. "Toubib" interroge aussi le sens du soin, l’attention portée à l’autre, à sa souffrance, l’écoute nécessaire… Comme en a la révélation le jeune étudiant « la médecine, c’est très simple : ce sont quelques connaissances et beaucoup d’observation ».
    Le propos est politique. Soigner les corps ne sert à rien dans une société malade. « Voter à gauche est le meilleur service à rendre à la santé publique » nous dit-il en riant lors d’un remplacement dans le désert médical des monts des Cévennes.

    Mais "Toubib" est aussi un Bildungsroman. C’est la formation, de dix-huit à trente ans, d’un homme qu’on voit murir sous nos yeux en moins de deux heures. Toubib est servi par son héros : Angel , non content d’être très intelligent et diablement séduisant, est profondément sympathique. Le documentaire nous apprend qu’il a perdu son père dans son enfance et qu’il marche sur ses traces en devenant, comme lui, médecin généraliste. Mais sa vocation n’est pas purement le produit de l’hérédité. Elle s’affine avec l’expérience. Sous nos yeux, Angel devient médecin social, façon Bardamu, dans les quartiers nord de Marseille.

    Cette évolution est d’autant plus émouvante qu’elle a été filmée par son propre frère. On s’imagine ce qui s’est noué entre eux pendant le tournage, le lien fraternel qui a utilisé ce prétexte pour se prolonger et peut-être se renforcer après la fin de l’enfance. La pudeur avec laquelle il est suggéré ne le rend que plus touchant.
    Masse Severine
    Masse Severine

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    Magnifique documentaire ; touchant, drôle, le tout avec beaucoup de modestie. C’est un très beau journal intime sur le passage à l’âge adulte et la recherche de son avenir professionnel.
    Virginie Cosson
    Virginie Cosson

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2024
    En immersion dans le monde de la médecine avec franchise, pudeur et humanité.
    Ce film permet de comprendre le déroulement des études.
    De se rendre compte de l'investissement des futurs médecins.
    Merci à l'ensemble des participants
    Merci de nous avoir ouvert votre cœur
    Sandra Spano
    Sandra Spano

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    Courez voir Toubib, c'est une merveille de film ! il y a le meilleur du cinéma dedans : la lumière (par la grâce d'un jeune homme de 18 ans Angel Page qui va devenir sous nos yeux le merveilleux Docteur Angel Page, l'amour (d'un frère pour son cadet, ça transpire à chaque image et on l'aime nous aussi), l'humour, la musique, les rebondissements (6 mois berger ;)), la réflexion, Angel doute, avance, pense juste et droit. la solidarité. la joie, la musique de Gardel à la fin fait exploser votre cœur. Foncez !
    Michele
    Michele

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    1h53 d’ennui abyssal ! Film réalisé avec les moyens du bord et on le sent …Touchant par moment mais insupportable dans ses jugements à l’emporte-pièce à propos de la santé.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top