Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
La cinéaste crée des instants de tranquillité sublimes. Tel un refrain poétique, scandant les dires et les vers des intervenants, notre regard se dirige vers la fenêtre aux rideaux tremblants dans une brise, vers le bruissement des feuillages, vers les toits de Paris aux angles cubistes, vers la rumeur du monde captée par les satellites à Tel-Aviv. On sent de la paix et de la joie.
Transfuge
par Serge Kaganski
Rien de plus bouleversant que de voir des jeunes d’aujourd’hui et de toutes nationalités tenter de faire revivre cette langue et cette culture assassinées dans un film lui-même très yiddish spirit par son attention aux visages, à la parole et à la polysémie linguistique et culturelle.
Culturopoing.com
par Guillaume Goujet
Une expérience précieuse pour tous ceux qui aiment les livres et la culture.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Genica Baczynski
Yiddish de Nurit Aviv est un film miroir où se reflète notre méconnaissance, où le regard palpite au sons de rythmes oubliés et où surtout une langue humble, dont la poésie irradie dans l’au-delà des mots, fait taire le néant.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Dans Yiddish, de jeunes yiddishistes d’aujourd’hui évoquent leur apprentissage du yiddish, la poésie yiddish moderne, la modernité du yiddish avant solution finale. Face à un tel objet de cinéma, le rôle de la critique devient très vite très secondaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
Le film est sobre, épuré, afin de mettre la poésie en valeur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Martine Gozlan
C’est pourtant du retour de l’amour qu’il est question dans le film de Nurith Aviv, intitulé simplement « Yiddish », et qu’illuminent les visages de jeunes gens et jeunes filles nés en Orient ou en Occident.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Bande à part
par Nadia Meflah
Une élégie de la langue yiddish à visage humain. De toute beauté.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le film affiche donc clairement sa visée pédagogique et son adresse aux néophytes. Dommage cependant que Nurith Aviv n’ait pas su trouver une forme plus ample et moins répétitive.
Le Figaro
par La Rédaction
Un florilège vivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il en résulte un troublant télescopage, une déconcertante opiniâtreté. Les poètes se nomment Moyshe-Leyb Halpern, Peretz Markish, Anna Margolin, Avrom Sutzkever. Leur style, érotique ou expressionniste, lyrique ou intimiste, flambe.
Télérama
par Marie Sauvion
Des shtetls aux gratte-ciel, d’hier à aujourd’hui : on voyage par les mots dans ce film aussi sobre qu’intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
La cinéaste crée des instants de tranquillité sublimes. Tel un refrain poétique, scandant les dires et les vers des intervenants, notre regard se dirige vers la fenêtre aux rideaux tremblants dans une brise, vers le bruissement des feuillages, vers les toits de Paris aux angles cubistes, vers la rumeur du monde captée par les satellites à Tel-Aviv. On sent de la paix et de la joie.
Transfuge
Rien de plus bouleversant que de voir des jeunes d’aujourd’hui et de toutes nationalités tenter de faire revivre cette langue et cette culture assassinées dans un film lui-même très yiddish spirit par son attention aux visages, à la parole et à la polysémie linguistique et culturelle.
Culturopoing.com
Une expérience précieuse pour tous ceux qui aiment les livres et la culture.
L'Humanité
Yiddish de Nurit Aviv est un film miroir où se reflète notre méconnaissance, où le regard palpite au sons de rythmes oubliés et où surtout une langue humble, dont la poésie irradie dans l’au-delà des mots, fait taire le néant.
Les Fiches du Cinéma
Dans Yiddish, de jeunes yiddishistes d’aujourd’hui évoquent leur apprentissage du yiddish, la poésie yiddish moderne, la modernité du yiddish avant solution finale. Face à un tel objet de cinéma, le rôle de la critique devient très vite très secondaire.
Libération
Le film est sobre, épuré, afin de mettre la poésie en valeur.
Marianne
C’est pourtant du retour de l’amour qu’il est question dans le film de Nurith Aviv, intitulé simplement « Yiddish », et qu’illuminent les visages de jeunes gens et jeunes filles nés en Orient ou en Occident.
Bande à part
Une élégie de la langue yiddish à visage humain. De toute beauté.
Cahiers du Cinéma
Le film affiche donc clairement sa visée pédagogique et son adresse aux néophytes. Dommage cependant que Nurith Aviv n’ait pas su trouver une forme plus ample et moins répétitive.
Le Figaro
Un florilège vivant.
Le Monde
Il en résulte un troublant télescopage, une déconcertante opiniâtreté. Les poètes se nomment Moyshe-Leyb Halpern, Peretz Markish, Anna Margolin, Avrom Sutzkever. Leur style, érotique ou expressionniste, lyrique ou intimiste, flambe.
Télérama
Des shtetls aux gratte-ciel, d’hier à aujourd’hui : on voyage par les mots dans ce film aussi sobre qu’intéressant.