Mon compte
    Élémentaire
    Note moyenne
    3,9
    6410 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Élémentaire ?

    489 critiques spectateurs

    5
    113 critiques
    4
    174 critiques
    3
    120 critiques
    2
    57 critiques
    1
    16 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Nicolas Phemston
    Nicolas Phemston

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2023
    J'ai vraiment beaucoup aimé le film ! Que de belles couleurs, les textures sont incroyablement bien réalisées et l'histoire est douce et légère. Je recommande !!
    Ellionis
    Ellionis

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juillet 2023
    Le film est plutôt beau et mérite une étoile pour cette raison. Pour la suite, les personnages sont extrêmement classiques, il y a de nombreuses longueures, on est sur une histoire ultra classique d'amour entre deux familles différentes, je suppose que on est sur le classique vivre ensemble, bref rien de bien transcendant, y a pas d'enjeux à l'aventure et à l'intrigue. On a pas de schéma constructif ou l'individus grandit et se dépasse, pas vraiment de magie. Bref on peut se passer de ce film aisément.
    Gord
    Gord

    7 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2023
    On est jamais déçu avec Pixar, un bon moment rempli d'émotion avec un scénario très original, le message est bien passé chez mon fils, nous avons adoré.
    J'allocine
    J'allocine

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juillet 2023
    Pas drôle et long... on s'ennuie. Les blagues laissent à désirer et pourquoi se moquer des personnes en deuil, ça n'a rien de drôle. L.'histoire se veut originale mais se révèle décevante.
    lesjols
    lesjols

    5 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2023
    un nouveau dessin anime qui plaira peu- etre aux enfants...cela risque d etre un peu decevant pour les parents...
    JulieSyd
    JulieSyd

    25 abonnés 1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 août 2023
    J'ai eu la malchance de le voir en VF et je n'ai pas du tout aimé le choix des comédiens pour les 2 personnages principaux,, ça m'a dérangé tout du long. Dommage !
    ArtemusnH
    ArtemusnH

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2023
    Toujours une fille intrépide et un garçon pataud et tout perdu, la cancel culture est en marche et va détruire toute une génération de petits garçons qui vont se voir comme des losers. C'était déjà le cas dans Là-Haut (Pixar déjà), maintenant ça devient non seulement lassant mais inquiétant.
    Maxime T
    Maxime T

    4 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Magnifique ! Animation tout en couleurs très réussie et histoire efficace avec beaucoup d'émotions. Ça fait longtemps que je n'avais pas vu un Pixar aussi touchant.
    Christoblog
    Christoblog

    751 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juillet 2023
    Loin d'atteindre les sommets de la filmographie Pixar, Elémentaire marque un retour à une certaine qualité standard, susceptible de plaire au plus grand nombre.

    J'ai apprécié l'animation parfaite, la construction logique d'un monde dans lequel chaque élément (feu, eau, terre, air) a son quartier, et les idées qui fourmillent en relation avec les propriétés physiques du feu et de l'eau. De ce point de vue, Elémentaire prend des airs de petit cours de physique (comment fabrique-t-on le verre ?).

    Le propos sur la diversité est très consensuel mais bien mené, et la faculté de s'insérer dans un monde plus vaste quand on est issu d'une minorité est assez bien vue. Le réalisateur Peter Sohn a clairement indiqué que les personnages des parents de Flam étaient inspirés de l'histoire de ses propres parents, immigrés coréens.

    L'histoire d'amour entre la volcanique Flam et le placide Flack, sans être très originale, est toute mignonne.

    Il manque cependant une petite étincelle de folie, une once de cruauté bienveillante, un méchant convaincant, bref quelque chose de saillant, pour que le film soit pleinement satisfaisant pour un public adulte.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    485 abonnés 929 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2023
    Élémentaire se sent pousser des ailes d'entrée de jeu. Le préambule exemplaire installe Element City, la famille Lumen, l'héroïne Amber (Flam en V.F) et le programme du jour en une poignée de minutes. Ce sera une romcom (la première dans l'histoire du studio). Pour l'occasion, Pixar semble avoir regonflé d'ambitions. Les prouesses accomplies sur le design du peuple de l'eau et du feu sont renversantes, avec moultes propositions jouant sur les particularités physiques ou modes de vie avec poésie. La plupart sont de petites choses mais disséminées tout au long du long-métrage, ce qui lui donne une certaine harmonie. Avec quelques belles séquences à la clé, une poursuite dans la ville et l'exploration d'un parc naturel souterrain. Si le concept et les premières images évoquaient Vice-Versa, le film s'éloigne de la métaphysique pour narrer une vraie fable sociale, où les notions d'immigration et de communautarisme sont exprimées en filigrane mais de la manière la plus accessible. Un sujet qui résonne particulièrement pour le réalisateur Peter Sohn (enfant d'immigrés coréens). Quel dommage que la romance au premier plan soit si convenue et exempte de l'ingéniosité des Pixar haut de gamme. Sur l'amour comme l'humour, Élémentaire souffle le chaud et le froid tout comme il bâcle un peu son univers (l'air et la terre sont réduits à de fugaces apparitions) et son déroulé avec peu de péripéties. La flamme veut rejaillir, mais Pixar navigue encore sur de l'eau tiède.
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juillet 2023
    Le temps a durablement joué en faveur de Pixar, autant dans les thématiques que le studio d'animation défend que dans les esprits. Quand bien même les enfants qui ont pu grandir avec des jouets pleins de vie, explorer les fonds marins, goûter aux plats rustiques francais, voyager dans un espace onirique, célébrer la réconciliation avec ses aïeux, il s'agit souvent d'une aventure à deux avec son ou ses accompagnants. Un Pixar n'est pas un rendez-vous aussi calibré qu'un Disney sans prétention, c'est avant tout une délicieuse épopée qui nous renvoie à nos réalités désenchantées. En gardant cet objectif à l'horizon, la majorité de ces films ont eu raison de notre sensibilité, révélant ainsi le cœur de tout spectateur en convoquant de pures émotions. Qu'en est-il de cette dernière échappée ?

    Présenté en clôture du festival de Cannes 2023, Élémentaire fait la promesse de retrouver l'équilibre que Pixar a perdu depuis un moment. La maison mère Disney en avait déjà piqué l'esthétique et gommé la magie émotionnelle dans Encanto. Il est difficile de croire que le studio avance sans une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Après la débâcle interstellaire de Buzz, l'éclair et cette stratégie diabolique de Mickey pour nous écarter des salles obscures, nous sommes en droit de nous demander si un avenir radieux est envisageable depuis le départ anticipé de John Lasseter, patriarche et âme de Pixar. Cela concorde avec le discours d'une seconde vie, d'une seconde chance, avec Soul. L'enjeu est donc de taille dans cet ultime carrefour où les quatre éléments risquent d'entrer en collision.

    Peter Sohn, qui avait déjà détourné l’astéroïde de la trajectoire des dinosaures dans Le Voyage D’Arlo, revient avec un récit personnel, un peu à l’image de Domee Shi sur son Alerte Rouge. Il ne s’agit pas pour autant d’évoquer son enfance, mais bien de traiter de la xénophobie ambiante à travers une romance qui prend également ses distances de West Side Story. Dans un néo New-York fumant, liquide, gazeux et terreux, Flam aide ses parents à tenir la boutique de leur quartier. Quand bien même, cette dernière s’enflamme un peu vite, son père cherche à lui transmettre ce bien familial, ainsi que toute la culture volcanique qui les concerne. Ces immigrés à l’accent identifiable, s’efforcent d’exister en périphérie d’Element City, dont les transports et autres services publics ne sont pas adapté à leur présence. C’est là que la jeune Flam déjoue toutes les attentes des ses aïeux, en se rapprochant de plus en plus de Flack, un être aussi émotif que le reste de sa famille embourgeoisée.

    Malheureusement, les éléments terriens et aériens sont mis en retrait ou au service de gags insignifiants. La connexion entre Flam et Flack intéresse particulièrement le cinéaste, qui en profite pour nous dévoiler l’impasse de son héroïne vis-à-vis de sa trajectoire sentimentale et sociale. Leur complémentarité possède pourtant un avenir et Flam peut entrevoir sa destinée à travers Flack, littéralement. Ces instants de pureté volés sont d’une sincérité qui nous ramène aux plus grandes sensations de Pixar. Il ne manque que l’effroi et la possibilité de tout s’effondre pour que l’on s’implique davantage dans une aventure aussi prévisible. On choisit alors de rabattre la carte des traumatismes, séparant inévitablement deux générations distinctes, l’un conservatrices et l’autre ouverte au partage. Le rouge impulsif peut en effet se mêler au bleu mélancolique et cette idée se confirme lorsque l’on découvre les personnalités des héros, un peu à contre-emploi des modèles de virilité et de sagesse.

    Il est seulement navrant d’apprendre que la musique est trop discrète. Et c'est avec ce genre de détails que Pixar perd du terrain sur son identité visuelle et narrative, celle qui nous agrippe à la gorge jusqu'au souffle libérateur de l'humanité. Une partie clipesque témoigne de la pauvreté d'un scénario qui préfère s'accrocher à l'intimité de son héroïne au lieu de traiter des bouleversements sociétaux d'Elément City. Ce n’est pas une évidence, mais il manque des couleurs sombres à ce portrait, un geste qui ouvrirait sur une confrontation avec la réalité dans laquelle vivaient les habitants avant que l'on brasse les différentes cultures entre elles. De même, le climax ne préfère pas se justifier, car on ne prend pas le temps de développer cette peur qui peut briser l’union de Flam et de Flack à tout instant. Le potentiel part en fumée et revient sous la forme d’une larme qui peine à sauter de nos yeux, davantage émerveillés par la maestria des matières en mouvement.

    Si on est loin de lui accorder tout le mérite d’explorer les failles sociales de l’humanité, nous ne pouvons reprocher à Élémentaire de vouloir retrouver sa flamme à travers une comédie romantique, dont on retient davantage son enrobage que son propos d'inclusion à moitié assumé. Il n’y a pas de quoi se mettre dans tous ses états lorsque la tension ou un antagoniste manque à l’appel, ne serait-ce que cet environnement New-yorkaise, qui pose des étiquettes sur ses citoyens. Là où il s’agissait du propos de Zootopie, où proies et prédateurs devaient unir leur effort, l’eau et le feu se maintiennent ici davantage à distance qu’ils ne resserrent l’espace entre leurs deux mondes, leurs deux cultures et leurs deux générations. C’est bien connu que les opposés s’attirent, mais l’attraction manque encore d’étincelle et de magie pour qu’on se laisse pleinement envouter.
    Cinévore24
    Cinévore24

    305 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2023
    "Le feu ça brûûûle, et l'eau ça moouuuille."

    Il y eu d'abord l'Âge d'Or de Pixar, période durant laquelle le célèbre studio à la lampe enchaînait quasiment réussite sur réussite, nous offrant de petits bijoux visuels, mais aussi et surtout des histoires qui savaient nous toucher droit au cœur et nous restaient durablement en tête.
    Et depuis le début des années 2010 (dès «Cars 2» pour être plus précis), cet Âge d'Or est derrière lui, voguant entre œuvres marquantes et originales (Vice Versa, Coco, Les Indestructibles 2, Soul, pour ne citer qu'elles), et suites-préquels plus opportunistes/créations mineures. Une baisse de régime qui se ressent encore plus avec ses dernières productions (Luca, Alerte Rouge, Buzz l'éclair).

    Et malheureusement, ce «Élémentaire» ne va pas vraiment changer la donne, malgré des qualités évidentes.

    Réalisé par Peter Sohn (déjà à la barre du sympathique mais plutôt oubliable «Le Voyage d'Arlo»), le film nous plonge dans le quotidien de la ville d'Element City et de ses habitants (des êtres d'air, d'eau, de feu et de terre), et se concentre en particulier sur la rencontre entre Flam, être de feu au tempérament instable et explosif, et Flack, être d'eau émotif et plein d'espoir. Deux êtres que tout semblait séparés, mais qui vont peu-à-peu se rapprocher et réaliser qu'ils sont complémentaires l'un.e pour l'autre.

    Nouvelle relecture assez évidente de «Roméo et Juliette», située cette fois-ci dans le monde des éléments, ce nouveau Pixar peut à nouveau compter sur une animation de très belle facture, dans ses décors (la ville d'Element City, fortement inspirée dans l'esprit de celle de «Zootopie») comme dans le design de ses personnages, et la spécificité de leurs "pouvoirs" y sont exploités plutôt intelligemment.

    À l'intérieur de ce visuel très soigné, l'histoire principale, celle de deux êtres épris l'un de l'autre mais ne pouvant se toucher, reste malheureusement trop conventionnelle, trop attendue pour nous cueillir comme il le faudrait. Rajoutez à cela une histoire de barrage à colmater à tout prix, très secondaire et très fonctionnelle, dont on voit le rôle qu'il va jouer à des kilomètres, ainsi que quelques jeux de mots très forcés, et vous obtenez un Pixar qui remplit son cahier des charges habituel de manière appliquée, mais pas vraiment plus.

    La seule vraie surprise vient à mes yeux du côté de Flam et du rapport qu'elle entretient avec son père fatigué, qui va lui confier la boutique qu'il a monté de ses propres mains. Un père qui a tout quitté, tout sacrifié pour se reconstruire une vie ailleurs, à Element City. Pour sa famille, et surtout pour sa fille. Ses quelques scènes avec Flam sont clairement les plus touchantes du film.

    Abordant des thématiques très contemporaines comme l'immigration, l'intégration, le communautarisme ou encore la suspicion de l'autre (là aussi, des thématiques déjà traitées, en mieux, dans le très bon «Zootopie»), nous voilà face à un Pixar original pas si original que ça, où l'émotion ne passe qu'occasionnellement.

    Un beau film d'animation devant lequel tu passes un plutôt bon moment, mais dont tu ne retiens pas tant que ça au final. Bref, un Pixar à l'image des derniers Pixar. 6,5/10.
    Fabien D
    Fabien D

    170 abonnés 1 107 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Élémentaire n'est pas un Pixar qui marquera l'histoire des studio. D'un point de vue visuel, le film est d'une grande beauté, même si on pense beaucoup à Vice Versa et même à Soul, et certains passages sont d'une maestria technique impressionnante. Le message sur la tolérance, la question de la discrimination est un peu facile et le scénario du film ne dévie jamais d'un schéma bien balisé. Et malgré son côté programmatique, le film est charmant. C'est un film romantique touchant avec deux personnages attachants, deux hypersensibles que tout oppose mais qui tombent peu à peu amoureux. C'est cet aspect d'élémentaire qui est le plus intéressant et non pas l'histoire de transmission familiale vue et revue ni me pseudo suspens autour des inondations. Élémentaire aurait mérité une meilleure écriture mais on y retrouve, par intermittences, ce qui faisait la magie et la beauté des plus belles productions Pixar. Cette sensibilité transparaît au détour de quelques jolies scènes noyées dans une structuré narrative conventionnel et policée. Sympathique même si cela aurait pu être encore mieux.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    94 abonnés 1 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2023
    Élémentaire est un belle comédie qui oriente son histoire vers des instants légers. Le film ne s'attarde pas en profondeur sur son univers et n'explore malheureusement pas les promesses tendues et évidentes du départ : le mix d'éléments. Si en surface l'histoire se regarde aisément avec des moments tendres, de comédie et de moments plus dramatiques, on peut attendre davantage d'un tel univers si foisonnant, si riche. Mais force est d'admettre qu'on a une bonne réalisation, complétée par Thomas Newman à la musique, et des visuels détonants. Dommage car potentiellement il y avait matière à faire un Inside Out avec les éléments.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 768 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2023
    Bénéficiant d'un visuel féerique identifiant clairement les quatre univers élémentaires, ce récit initiatique adolescent doublé d'une histoire d'amour prônant l'ouverture à la différence et l'acceptation de soi ou des choix de son enfant n'innove guère en termes d'intrigue ou de péripéties mais fait sourire, amuse et attendrit, d'autant que les dialogues évitent le didactisme et le pathos. Mignon.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top